TITANS #16-17 (John Layman / Pete Woods)

DC Comics has released a 5-Page Preview and Covers of Titans #16 comic, that will be on sale on October 16, 2024 as a print and digital issue.

A LEAGUE OF THEIR OWN!

The Official Synopsis of Titans #16 comic:

TITANS LEAGUE – Part One

After the events of Absolute Power, the team looks towards the future and their place in it. Will their failure to control Amanda Waller mean lasting consequences for the hero community?

Ah ! John Layman !

Jim

Excellent binôme !

Pas mal ; pas excellent, un peu lent, mais pas mal. John Layman prend ainsi la suite de Tom Taylor, alors que les Titans doivent « encaisser » le retour de la Justice League suite à Absolute Power. Bon, déjà, ça se marche un peu sur les pieds car ils sont dans le nouveau satellite qui, selon DC All In Special #1, est inauguré un an après Absolute Power, alors que les personnages semblent réagir encore à chaud aux événements récents ; dommage. Les Titans découvrent le satellite, comprennent qu’ils sont membres de la JL étendue tout en demeurant des Titans (ils tiquent, oui). Flash se retire car Wally est le dernier Speedster actif, Arsenal rejoint les Titans qui rentrent à la Tour où Dick décide de ne plus être leader et laisse Donna, qui est validée par tous… hormis Roy, qui grogne car il voulait que « tout soit comme avant », pour le rassurer après la vraie-fausse trahison d’Ollie durant Absolute Power. Tous ont des flashbacks brutaux, qui les troublent et sont provoqués par… Clock King, qui fait revenir leurs esprits dans le passé ; mais Donna tient et va à la bagarre.
C’est pas mal, oui ; sans plus, mais pas mal. John Layman y va doucement, perd du temps à mon sens sur un bête souci sur un Beast Boy un peu neuneu et grondé par Question, cheffe de la sécurité du satellite. Bon, les échanges en dehors de ça sont plutôt bons, notamment les voix-off de Donna ou les discussions avec Roy. Je suis circonspect sur cette attaque, mais… pourquoi pas, c’est ultra classique mais ça se lit. Pete Woods illustre tout ça solidement, mais sans être « beau » et les couleurs ne sont pas tops.

Pas mal, même si c’est lent et peu emballant.

DC Comics has released a 4-Page Preview and Covers of Titans #17 comic, that will be on sale on November 20, 2024 as a print and digital issue.

THE TITANS ROSTER GROWS!

The Official Synopsis of Titans #17 comic:

OUT OF TIME – Part One

It’s a new day in the DCU, and the future is bright! Why, then, are the Titans looking backward, reliving their most horrific and traumatic moments, again and again, stuck in an endless loop? And who’s the temporal tyrant behind this time-bending torment? Here’s a hint: Time will tell.

Pas mal ; pas emballant-emballant, mais pas mal, et mieux que le précédent. John Layman a en effet le bon goût de finir rapidement sa propre intrigue, en deux épisodes. Clock King emprisonne les Titans dans des machines et il explique disposer de super-pouvoirs sur le Temps et les mémoires depuis qu’on lui a sorti la bombe neurale qu’il avait eue dans la Suicide Squad et la découverte d’un « espace » dans son cerveau. Il veut se faire un nom, plonge les Titans dans leurs pires défaites et plus grandes peurs - mais Donna se joue de lui, se force à penser à sa peur d’échouer comme leader peu avant lors de sa nomination, ce qui ramène les Titans ensemble qui rejettent Clock King avec leurs entraînements mentaux. Les machines se brisent, Clock King s’enfuie alors que Nightwing félicite Donna. Dans un bar de super-vilains, Clock King déprime mais est félicité et sollicité pour continuer par… Deathstroke, donc sorti de son coma post Dark Crisis et à nouveau opposé aux Titans.
C’est pas mal, oui. John Layman livre un récit assez classique mais efficace, qui laisse la part belle à un Pete Woods qui a toujours des couleurs trop fades pour moi, mais qui livre de belles planches et de jolies images. Le scénario est limité mais correct, avec une Donna bien écrite et un ensemble plaisant. Le cliffhanger est redondant mais bien amené, et l’ensemble est solide en soi, sans surprendre mais sans décevoir.

Une bonne reprise après un lancement difficile, mais ça reste moyennement intéressant.