Vraiment dommage. Merci, Doc.
Oui dommage… Je vais en rester là.
Written by: Tom Taylor.
Art by: Lucas Meyer.
Covers by: Ivan Reis, Bjorn Barends, Serg Acuna, Clayton Henry,
Description: A Titan falls! With the greatest minds and killers of the DCU at her disposal, Amanda Waller unleashes her malevolent master plan to remake the world in her image. With the Titans off the board, do the beasts stand a chance? The Wall’s hunt begins here!
Pages: 32.
Price: $4.99 (Variants, $5.99, $6.99).
Available: Jan. 9.
Efficace.
Tom Taylor avance dans sa saga, en bougeant bien ses pièces et en livrant un final dur… mais peu crédible. Ici, on voit Giganta qui veut bien agir mais est transformée et provoque des dégâts dans Ivy Town. Jon Kent aide, mais doute alors que des gens meurent. Les Titans évacuent Giganta, Jon bloque des spores, alors que Peacemaker enlève Chester Runk mais aussi Lex Luthor. Ce dernier hésite à aider Amanda Waller mais accepte, tandis que le Bureau de la Souveraineté critique les Titans et entend anéantir Garro. Nightwing veut le protéger, Swamp Thing aide au sol, mais… Dr Hate stoppe Raven. Waller et Lex envoient Chester dans l’espace - et Chester meurt en tuant Garro !
C’est bien, oui. Tom Taylor gère bien la tension, multiplie les rebondissements et écrit bien « ses » personnages, comme Jon ici. Il gère aussi bien Peacemaker et Waller, mais… bon, le final est bien, mais peu crédible au fond. Ca se lit bien, c’est prenant, c’est déjà ça.
Graphiquement, Lucas Meyer livre une prestation correcte mais l’ensemble souffre de l’absence d’Ivan Reis. C’est dommage et décevant.
Bon en soi, mais graphiquement décevant vu le départ.
Ca a pas l’air dégeu sur les premières pages pourtant.
C’est bien.
Mais du bien de Lucas Meyer, ce n’est pas le moyen d’Ivan Reis. Hélas.
Faut être positif! Mais c’est vrai qu’Ivan Reis a un tel niveau…
C’est dommage pour Meyer mais ce n’est pas pro qu’un événement subisse encore des soucis graphiques.
Dans l’absolu, tu as totalement raison.
Petite question : Lucas est le frère de Jon Boy?
Beast World #5
WALLER VERSUS THE WORLD!
After the shocking events of the last issue, the world stands divided: half with the Titans and half with the woman whose vicious methods have saved them for now. All this and more as Dr. Hate returns to revel in and spread their own unique brand of chaos
Creative Team
- Writer: Tom Taylor
- Artist: Ivan Reis & Eduardo Pansica
- Inker: Danny Miki & Júlio Ferreira
- Colorist: Brad Anderson
- Letterer: Wes Abbott
- Cover Artists: Ivan Reis, Danny Miki, Brad Anderson
- Variant Cover Artists: Bjorn Barends; Javier Fernández; Clayton Henry
- Group Editor: Paul Kaminski
- Editor: Brittany Holzherr
- Associate Editor: Chris Rosa
- Cover Price/Page Count: $3.99/32 Pages
Efficace et prenant. Tom Taylor avance et prépare la conclusion de son événement, en livrant le fond de ses projets : le Président révèle qu’Amanda Waller est « l’héroïne » qui a organisé la fin de la menace Garro, en manipulant la présentation du sacrifice de Chester. Waller annonce qu’elle va faire tuer le million de personnes transformées, les Titans veulent réagir alors que Raven refuse de libérer sa part démone présente dans sa gemme. Nightwing fonce chez Waller, bat Peacemaker, la confronte et permet à Cyborg de pirater les drones qui allaient massacrer les possédés… mais les Titans viennent de pirater l’Armée, le public ne va pas aimer. Raven attaque, énervée, mais Dr Hate la stoppe, parce qu’il s’agit de la part démone de Raven, ayant pris forme autonome et liée à Waller !
C’est bien, oui. Tom Taylor avance bien ses pièces, gère bien le deuil de Raven et il écrit bien Waller. La révélation est cool, l’ensemble est prenant. Ivan Reis livre de bonnes pages, trop rares, et Eduardo Pansica assure correctement, mais dommage que le premier ne fasse pas tout.
Bien et solide.
Written by: Tom Taylor.
Art by: Ivan Reis, Lucas Meyer.
Covers by: Ivan Reis, Bjorn Barends, Mike Deodato Jr., Clayton Henry.
Description: Dr. Hate revealed! As Raven makes her final stand against the chaotic evil sorcerer, the Titans race against time to cure the world of the epidemic caused by Beast Boy. How far will the team go? How much will the friends sacrifice? Watch as the DCU is forced to evolve or die in this shocking conclusion!
Pages: 48.
Price: $5.99 (Variants, 6.99).
Available: Jan. 30.
Alors perso, ça m’est passé complètement au dessus de la tête.
Trop facile me concernant alors que je pensais que TT allait creuser dans le passé de Beast Boy.
Par contre, la Waller mise sous le feu des projecteurs, j’aime beaucoup.
Allez, on conclue et on passer à autre chose, merci.
Je pensais à un Nelson, moi, alors j’ai été surpris.
Prévisible mais efficace. Tom Taylor livre un final classique mais agréable, où les Titans obtiennent l’aide du Président suite à un entretien avec Nightwing, et les plus forts super-héros attirent les spores des possédés pour les détruire puis les appréhender en espérant ramener Gar. Raven affronte sa part démoniaque, le Heaume de Hate est détruit par Wally dans un volcan, et les Titans arrivent à ramener Gar qui fusionne avec ses bouts manquants, mais… Waller reprend le Hall of Justice pour en faire le Hall of Order et la part démoniaque de Raven a gagné et l’a emprisonnée elle.
C’est convenu mais ça fonctionne. J’aime le côté pro et efficace des Titans, avec un Nightwing en contrôle et stratège mais avec de l’humain. Les conclusions sont bonnes, et ça se lit de manière sympathique. Dommage que Ivan Reis, Lucas Meyer et Eduardo Pansica se partagent le dessin, ça fait brouillon.
Sans surprise mais agréable.
Alors c’est drôle mais l’épilogue m’a bien plu (contrairement à l’identité du Doc Hate dévoilée lors du dernier épisode). Autant la mini en elle-même m’a laissé presque de marbre malgré quelques moments forts (bon finalement la mort de « » est annulée) et le fil conducteur autour de Waller.
Aussi, je retiens la fin de l’ère Ivan Reis sur ce « petit » event. J’aurais presque voulu le voir partir sur un beau numéro de Batman ou un bel annual d’un gros perso. Le truc rigolo aurait de le zieuter sur JSA avec son compère Geoff Johns.
Bravo, l’Ami.