Titans: Beast World – Waller Rising #1
BATWING, VIXEN, VAL-ZOD SUPERMAN, AND BLACK MANTA MUST STOP DR. HATE!
This consciousness unifies the Red, Green, Rot, Clear, Melt, Metal, and Grey into a harmonious realm of peace. In their struggle against Dr. Hate, these heroes and villains also face the task of unraveling how Amanda Waller’s rise is entwined with the ongoing crisis.
The saga features guest appearances from Nubia, Dr. Mist, Red Tornado, Dead Eye, and more!
Creative Team
- Writer: Chuck Brown
- Artist: Keron Grant
- Letterer: Wes Abbott
- Cover Artists: Keron Grant
- Variant Cover Artists: Jerry Gaylord; Clayton Henry
- Editor: Paul Kaminski
- Associate Editor: Chris Rosa
- Cover Price/Page Count: $4.99/48 Pages
Très content de retrouver l’artiste. Sa couverture est un peu bordélique mais les pages intérieurs sont assez dynamique.
Couv disponible à la vente pour 2500$ sur le site du dessinateur : https://kerongrant.net/wp-content/uploads/2023/10/JLA-inks-2-ss.jpg
Quel bordel.
Chuck Brown livre un récit massif, touffus, et dont le rendu est amplifié dans la confusion par des planches léchées mais difficiles à suivre de Keron Grant.
Ici, un agent Deadeye est sollicité par Amanda Waller (spoiler : on apprend que c’est sa tante) pour stopper Docteur Hate, qui profite du chaos de Beast World pour enfermer des gens (les sbires de Black Manta, Val-Zod, Dr Mist, Nubia, etc.) dans la dimension dite The Kingdom, liée au Red, afin d’en prendre du pouvoir sur Terre. Deadeye agit, rejoint Vixen aidée par Batwing (premier du nom), et tous interviennent pour libérer les gens de The Kingdom et repousser Docteur Hate. Ce dernier est emprisonné par Waller, alors que Deadeye rejoint le « commencement » d’une alliance de superhumains liés à l’Afrique… et essentiellement noirs de peau.
C’est intriguant, en soi. Chuck Brown semble préparer une super-équipe noire, ce qui est intéressant en soi et peut surfer sur l’ancienne équipe The Kingdom, qui a peu duré. Mais… quel bordel, pour en arriver là. Le scénariste livre beaucoup de dialogues pour finalement une intrigue simple, et le numéro est en soi trop long. Dommage.
Surtout, graphiquement, j’ai du mal à lire. Keron Grant livre de belles images, mais la narration est bordélique et chaotique. Un repoussoir, pour moi.
Intriguant mais trop flou pour moi.