TRANSMETROPOLITAN t.1-5 (Warren Ellis / Darick Robertson)

[quote=« KabFC »]

[quote=« Le Doc »]
Je ne sépare pas les 2 pour ma part…et Transmet n’est pas la seule BD (ou roman ou film, ça peut s’étendre à tous les supports) à développer un discours par le biais d’un genre particulier…[/quote]

Je suis d’accord, mais moi je sépare. Transmet n’a à proprement parlé pas de thèmes de SF, du coup j’ai du mal à le catégoriser dans de la SF[/quote]

Euh, je ne suis pas trop d’accord.
Alors bon, ma lecture de Transmetropolitan date de la sortie des TPB, donc ça remonte, mais c’est quand même une série qui parle de génétique, d’implants, de technologie. Même les premiers gags sont basés sur des idées SF (ne serait-ce que la douche dépilatoire, qui se trouve, je crois, dans le tout premier épisode).
Sans compter que la série a débuté dans le label Helix, un label de SF, avant d’être transférée en Vertigo.
Transmetropolitan, c’est de la SF. Dans un futur proche, si proche qu’il ressemble au nôtre, mais c’est de la SF. Son propos tient en grande partie sur de la prospective technologique et sur comment la technologie influence notre vie (et la vie de la cité : la politique).
À ce compte, Strange Days ou Existenz ne sont pas de la SF. Alors je me demande bien ce que c’est.

Jim

Ouais pour une fois je vais être en désaccord avec toi Jim. Il y a bien quelques approches de SF je ne dis pas le contraire, mais c’est mineur.
Le premier arc avec le transgenre ça parle de modifié son corps, tu le met à notre époque et tu parles de transsexuel c’est pareil, le fait de mettre des aliens permet de parlé de ghettoïsations et de magouilleurs en même temps. La suite est du même acabit on parle de mémoire, de politiques, de relations interpersonnel, des médias…

Il n’y a pour moi qu’un épisodes difficile à mettre dans un autre contexte et encore c’est celui ou Sharon assiste avec Spider au changement de corps de son petit ami qui devient un nuage de nanobots.

Maintenant visuellement et pour de nombreux gags c’est clairement de la SF, mais sur le fonds je pense qu’Ellis aurait très bien pu écrire Transmetropolitan à notre époque sans changer grand grand chose, 'est juste que ça aurait donné un truc plus noir (c’est d’ailleurs un peu ce qu’est Doctor Sleepless dans le ton, même si ce n’est pas les mêmes thèmes car cette série est vraiment plus orienté anticipation).

[quote=« KabFC »]Ouais pour une fois je vais être en désaccord avec toi Jim. Il y a bien quelques approches de SF je ne dis pas le contraire, mais c’est mineur.
Le premier arc avec le transgenre ça parle de modifié son corps, tu le met à notre époque et tu parles de transsexuel c’est pareil, le fait de mettre des aliens permet de parlé de ghettoïsations et de magouilleurs en même temps. La suite est du même acabit on parle de mémoire, de politiques, de relations interpersonnel, des médias…

Il n’y a pour moi qu’un épisodes difficile à mettre dans un autre contexte et encore c’est celui ou Sharon assiste avec Spider au changement de corps de son petit ami qui devient un nuage de nanobots.

Maintenant visuellement et pour de nombreux gags c’est clairement de la SF, mais sur le fonds je pense qu’Ellis aurait très bien pu écrire Transmetropolitan à notre époque sans changer grand grand chose, 'est juste que ça aurait donné un truc plus noir (c’est d’ailleurs un peu ce qu’est Doctor Sleepless dans le ton, même si ce n’est pas les mêmes thèmes car cette série est vraiment plus orienté anticipation).[/quote]

SF, anticipation, ce sont des termes qui s’appliquent parfaitement à TRANSMET, parce qu’il s’inscrit dans la veine du cyberpunk qui est un sous-genre de tout ca. Ellis n’a fait qu’extrapoler sur les technologies et les comportements sociaux de son temps. Que ses anticipations se révèlent si proches de ce que nous vivons maintenant n’est pas surprenant. La SF a toujours parlé du présent sous couvert de fiction futuriste.

Oui enfin Kab c’est un peu un faux problème non? Le truc c’est que Transmet, c’est un amas de genres différents dont la SF. Je vois pas les choses autrement en fait.

[quote=« KabFC »]Ouais pour une fois je vais être en désaccord avec toi Jim. Il y a bien quelques approches de SF je ne dis pas le contraire, mais c’est mineur.
Le premier arc avec le transgenre ça parle de modifié son corps, tu le met à notre époque et tu parles de transsexuel c’est pareil, le fait de mettre des aliens permet de parlé de ghettoïsations et de magouilleurs en même temps. La suite est du même acabit on parle de mémoire, de politiques, de relations interpersonnel, des médias…

Il n’y a pour moi qu’un épisodes difficile à mettre dans un autre contexte et encore c’est celui ou Sharon assiste avec Spider au changement de corps de son petit ami qui devient un nuage de nanobots.

Maintenant visuellement et pour de nombreux gags c’est clairement de la SF, mais sur le fonds je pense qu’Ellis aurait très bien pu écrire Transmetropolitan à notre époque sans changer grand grand chose, 'est juste que ça aurait donné un truc plus noir (c’est d’ailleurs un peu ce qu’est Doctor Sleepless dans le ton, même si ce n’est pas les mêmes thèmes car cette série est vraiment plus orienté anticipation).[/quote]

Mais justement, Ellis a choisi de ne pas écrire Transmetropolitan dans notre époque (contrairement à Global Frequency, par exemple). C’est déjà un signe. Ensuite, écrire les choses « à notre époque » ne présage en rien de l’intention, SF ou non, de l’auteur. Ses récits de super-héros (je pense à ses Astonishing X-Men ou ses Secret Avengers) se passent « aujourd’hui », mais parlent de dérives technologiques et font de la prospective. Et n’en demeurent pas moins politique (ses Astonishing X-Men nous parlent clairement de l’exploitation du Tiers-Monde et de la néo-colonisation industrielle).
Ce que tu dis, c’est un peu comme si tu disais que Neil Blomkamp aurait pu raconter District 9 sans extraterrestres. Oui, sans doute qu’il aurait pu, mais il ne l’a pas fait. Il a choisi d’utiliser des extraterrestres et des vaisseaux spatiaux et des armes de l’espace. Et pourtant son film est une allégorie de l’Apartheid et une métaphore des régimes surfonctionnarisés.
J’irais même plus loin : dénier le caractère de science-fiction d’une œuvre de science-fiction sous prétexte qu’elle a « un message » (qu’on me cite une œuvre de fiction, quelle qu’elle soit, qui n’en a pas…), ça me fait penser à tous ces cuistres qui ne veulent pas se salir les mains et qui affirme faire des « métaphores » ou des « contes modernes ». Ça revient grosso modo à dire que la science-fiction, c’est sale, que c’est au bas de l’échelle culturelle, qu’elle a besoin d’une caution intellectuelle pour accéder à une certaine légitimité.
Dire « Transmetropolitan, c’est pas de la SF parce que ça parle de la société », ça revient à dire que parler de la société place d’office sur un piédestal, et que la science-fiction ne peut pas être légitime en soi.
L’argument qui consiste à dire que la SF n’est que le décor du récit et que, par conséquent, c’est secondaire, me semble également irrecevable. Ça revient à définir un dosage en deçà duquel c’est pas de la SF, et au-delà duquel c’est de la SF, ce qui est particulièrement spécieux. Surtout quand on sait qu’une œuvre de fiction mélange plein de genres, assez souvent. J’ai revu récemment Les Grandes Gueules, de Robert Enrico, et c’est un western, même si ça cause d’un entrepreneur qui fait tourner sa scierie dans les Vosges en embauchant des repris de justice (film que je conseille vivement à ceux qui ne connaissent pas). L’ouverture du film est une note d’intention évidente et place le film dans la catégorie western (comme Un Homme est passé est aussi un western). Mais pas que.
Les définitions de genre sont casse-gueule, en général. Et en l’occurrence, si j’ai bien compris, la conversation a commencé à propos des « nominés » dans une catégorie précise. La définition n’engage que ceux qui ont fait la liste, mais ma foi, autant respecter leur choix.

Jim

Et puis il y a la définition de Spinrad (qui s’y connaît un peu en SF, je crois) (en plus il a sauvé la vie de Philip K. Dick, une fois), qui dit « la science-fiction, c’est tout ce qui est publié sous l’étiquette de science-fiction »

Il y a aussi le beau mot de « fiction spéculative », que j’ai souvent vu utilisé au sujet des travaux de Ballard. Certains critiques la préfèrent…
Ceci étant dit, pour moi Ballard c’est bien de la SF, et je dirais qu’il en va de même pour « Transmetropolitan ».

« Speculative », c’était l’étiquette que se donnait la bande de New Worlds, réunie autour de Moorcock, avec notamment Ballard en tête de liste.

Ah d’accord, j’ignorais que ça venait de Moorcock et consorts eux-mêmes…

[quote=« KabFC »]
Le premier arc avec le transgenre ça parle de modifié son corps, tu le met à notre époque et tu parles de transsexuel c’est pareil, le fait de mettre des aliens permet de parlé de ghettoïsations et de magouilleurs en même temps. La suite est du même acabit on parle de mémoire, de politiques, de relations interpersonnel, des médias…[/quote]

perso je partage l’avis de kab !
l’histoire se déroule dans un univers futuriste/de sf (…), mais pour moi c’est juste un support.
un moyen détourné pour critiquer la société actuelle (…).

il en profite certes pour poser aussi des questions via des thématiques sf qui se poseront peut être quelques générations plus tard (…)

mais pour moi c’est pour l’essentiel montrer que la société n’évoluera probablement jamais et restera la même
bref qu’elle n’apprendra pas et que les critiques d’aujourd’hui seront les mêmes encore demain vu qu’elles étaient déjà la « hier »

perso pour transmet même si ça se passe dans un univers de sf
c’est pas du tout ce que je retiens du comics
contrairement a district 9

la ou l’un en valeur un ,discours/réflexion l’autre met plus en valeur le coté action spectacle

sans être aussi extrémiste ou catégorique c’est pourtant comme ça que moi je perçois ce comics

si on me demandais de le mettre dans une catégorie je mettrais pas sf en premier mais en deuxieme

[quote=« cdgcg »]
l’histoire se déroule dans un univers futuriste/de sf (…), mais pour moi c’est juste un support.
un moyen détourné pour critiquer la société actuelle (…).[/quote]

OK.
Alors poussons le raisonnement plus loin.
Si ce n’est pas de la SF, c’est quoi ? Ça parle de la société, donc c’est un document ? Un essai ?

Ensuite, une histoire avec des policiers, des voleurs, des flingues, des enquêtes, mais qui s’articule sur les dérives du pouvoir, l’incurie de l’administration, l’impuissance des citoyens, c’est pas un polar, c’est une analyse sociale ? Un drame ?
Dernier domicile connu, ça parle de la société, donc c’est pas un polar ?
Démineurs, ça parle de la machine à broyer les citoyens, de l’incapacité que les tueurs préfabriqués ont à se réinsérer dans la société, de la déshumanisation, donc c’est pas un film de guerre ?

Soyons sérieux.
Vous confondez le propos et le genre.
J’y vois deux choses.
D’une part l’incapacité honteuse de la France à parler des genres en leur reconnaissant une légitimité en tant que tels.
D’autre part la difficulté du regard du lecteur (ou du spectateur) à voir le fond au-delà de la forme. Il faut que l’un l’emporte sur l’autre, comme s’ils étaient mutuellement exclusifs. Un récit de genre qui a du fond, c’est pas un récit de genre.
Je trouve ça particulièrement limité, comme vision.

C’est la définition même de la prospective, donc de la « speculative fiction », donc de la science-fiction.

[quote=« cdgcg »]

mais pour moi c’est pour l’essentiel montrer que la société n’évoluera probablement jamais et restera la même
bref qu’elle n’apprendra pas et que les critiques d’aujourd’hui seront les mêmes encore demain vu qu’elles étaient déjà la « hier »[/quote]

Quoi de mieux que la science-fiction pour tenir un tel discours ?
Quoi de mieux que la science-fiction pour réfléchir à demain afin d’expliquer aujourd’hui ?

[quote=« cdgcg »]
perso pour transmet même si ça se passe dans un univers de sf
c’est pas du tout ce que je retiens du comics
contrairement a district 9

la ou l’un en valeur un ,discours/réflexion l’autre met plus en valeur le coté action spectacle[/quote]

Alors déjà, je trouve ça faux. Le grand spectacle il est là dans Transmetropolitan, je trouve (décors impressionnants, scènes d’action), et la réflexion politique et l’émotion poignante dans District 9 font sacrément réfléchir.
Et ensuite, le fait qu’il y ait de l’action, ça anéantirait toute possibilité de réflexion ? Attention, dans les romans de Dune, y a des assassinats, des charges de troupes d’assaut, des vers géants. Pif paf boum. Pas de réflexion.

[quote=« cdgcg »]
si on me demandais de le mettre dans une catégorie je mettrais pas sf en premier mais en deuxieme[/quote]

OK.
Et en premier, tu le mettrais en quelle catégorie ?

Jim

premièrement je n’ai pas dit que ce n’était pas de la sf
j’ai dit que ce n’était pas ce que je retenais en premier

ou pas !
quand ce que je retiens d’une oeuvre c’est plus un message qu’une histoire
c’est comme tu le dit que son genre c’est plus satyre de la société ou l’analyse sociale

deplus il y a aussi une différence entre les oeuvres de sf qui servent leur propres discours donc indissociable du genre sf

et celles qui sont transposées dans un univers de sf pour dénoncer quelque chose d’actuel pour eviter de nommer des gens ou des institutions mais que tu pourrais ne pas transposer ou transposer dans un autre univers non sf donc ou le genre n’est pas important !!!

oui ou pourquoi absolument la sf pour tenir un tel discours ? pourquoi pas un documentaire ? un biopic ? ou une transposition dans le passé, un autre pays ou une autre culture ?

si moi je suis ton raisonnement alors
le « nom de la rose » c’est pas une enquête ou un triller mais un film sur le moyen age !

non mais ça amoindri l’impact du message
deplus toutes les oeuvres de sf n’ont pas forcement un message ou une réflexion a soumettre
toutes les oeuvres ne sont pas toute la pour faire réfléchir ouvertement
parfois c’est en filigrane,
parfois c’est un plus et parfois ya rien a chercher c’est jute du pure divertissement
mais j’ai l’impression que pour toi elles en ont toute un et c’est peut être bien ça au final le « probleme »

Mais c’est évident que « Le Nom de la Rose » est un film sur le Moyen-Âge…!

c’est vrai alors dans ce cas pourquoi il n’est pas catégorisé comme film moyennageux mais comme policier (a lepoque medieval) ? …

Mais on s’en fout dans l’absolu comment il est catégorisé. Il faut se faire une opinion à soi, non ?
Je veux dire par là que le film parle du Moyen-Âge, ou plutôt du passage d’une ère de superstition totale à une autre, qui commence lentement à être éclairée par la lueur du rationalisme, idéalement incarné par un personnage de détective (les « raisonneurs » par excellence). Et c’est assez évident comme approche.

C’est intéressant que tu donnes cet exemple car il illustre bien la mésentente sur « Transmetropolitan » : la question du genre et du fond, ce sont les deux branches d’une même spirale qui s’enroulent l’une autour de l’autre. Oui, Ellis nous parle bien de la société de la fin du 20ème siècle et du début du suivant, mais le faire à travers le prisme de l’anticipation (c’est-à-dire la SF) lui permet de le faire idéalement, en utilisant le genre comme caisse de résonance. Car la SF n’a jamais fait, en plus d’anticiper sur demain, que nous parler d’aujourd’hui.

L’action qui amoindrirait l’impact d’un message ca me questionne assez. Ou alors on résume action par « grosse explosion sur le soleil couchant de L.A avec la musique pourri de Hans Zimmer » (et même là encore).

Je ne pense pas que la mort d’un androïde sous la pluie battante d’une mégalopole polluée soi amoindrit par la traque et le combat avec un policier se questionnant sur sa propre humanité. De la même façon enlever les scènes d’actions de film comme Speed Racer, Die Hard, Sorcerer, Batman Returns, Conan, Spider-man, Akira, Les Dents de la mer, La mort aux trousses, La Horde Sauvage, The Incredibles ou bien encore Robocop ne renforcerait pas le message ou propos du réalisateur ca serait même tout le contraire.

Penses-tu que les scènes comiques de La vie de Brian ou du Sens de la vie amoindrissent le discours des Monthy Pythons ?

(après, pour ma part, j’estime que tout film aussi pourri soit-il porte en lui un message ou un propos aussi mince, tenu, mauvais ou involontaire qu’il soit)

Et puis le Nom de la Rose, c’est aussi un film sur la sacralisation de l’écrit (et donc la nécessaire destruction des écrits discordants), et ça demeure tout à fait actuel.

La bonne SF parle toujours du présent. Ce en quoi Transmet est non seulement de la SF, mais de surcroît de la très bonne SF.

Toute œuvre digne de ce nom a quelque chose à dire sur sa propre époque, même si elle peut toucher à l’universel et à l’intemporel par ailleurs.

Les catégorisations n’aident qu’à faire des catégories, et quand on les sacralise, elles ne sont plus que des outils de cuistrerie, un moyen de se faire mousser en distribuant des bons et mauvais points, façon Métal Hurlant première manière, Télérama ou les Cahiers du Cinéma.

[quote=« Photonik »]Mais on s’en fout dans l’absolu comment il est catégorisé. Il faut se faire une opinion à soi, non ?
[/quote]

je suis d’accord, c’est jim qui s’est montré catégorique sur le sujet.

pour ma part je n’exclu d’ailleurs pas le coté sf de l’oeuvre,
comme je l’ai dit je ne place pas cette catégorisation en premier c’est tout.
car je ressent trop la critique de la société actuelle malgré l’univers futuriste qui ne me semble être qu’un masque.
c’est mon ressenti (sachant que je découvre l’oeuvre et n’ai donc lu que les deux premiers tomes urban sortis à l’heure actuelle)

[quote=« Lord-of-babylon »]L’action qui amoindrirait l’impact d’un message ca me questionne assez…
[/quote]

pour un film par exemple je parle principalement de ce qu’un réalisateur voudrait mettre en avant dans son œuvre, la réflexion ? l’action ? un juste milieu entre les deux ?

je pense par exemple qu’on peu aisément voir la différence entre un Michael Bay et un Ridley Scott.
il n’y a d’ailleurs pas autant d’action que ça dans blade runner.

de même pour robocop le propos est t’il le même ? a t’il le même poids ?
entre la version verhoven et le récent remake ?
je ne pense pas.

de même que je ne voie pas vraiment de message dans les dents de la mer, die hard, ou conan

biensure tout ça repose sur une part de subjectivité,
on ne voit pas tous le message de la même façon s’il y en a un
mais c’est justement pour ça que je ne vois pas comment on peut être catégorique sur le sujet.

moi qd je lit transmet je ne voie pas de la sf je voie une critique de la société : de la religion, du communautarisme, des media, de la politique, ect …

Et pourtant y’a des messages dans les films que tu cites, pour les dents de la mer c’est que dès que tu mets un pied dans l’eau tu rentres dans la chaîne alimentaire. Et pour les deux autres films, faut pas faire chier john mac lane et le cymérien.

:laughing: