Une case du prochain album (source : Facebook de Ralph Meyer).
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Un aperçu des storyboards de Ralph Meyer pour son prochain album :
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Sur le Facebook de Ralph Meyer :
Couverture du tome 6 d’Undertaker intitulé « Salvaje! ».
43x54 cm.
Gouache acrylique.
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Undertaker - Tome 6 - Salvaje
Dans L’Indien blanc, Sid Beauchamp était chargé par Joséphine Barclay de retrouver la dépouille de son fils, Caleb, réduit en esclavage par les Apaches et enterré au cœur des terres interdites d’Arizona. Pour mener à bien cette mission, il a fait appel à Jonas Crow, son ami de jeunesse devenu croque-mort. Ce qu’il ne lui a pas dit, c’est qu’il a lui-même empoisonné Caleb. Et que celui-ci, marié à une Indienne nommée Salvaje, avait embrassé la cause du peuple Apache sous le nom de guerre d’Indien Blanc. De retour avec le cadavre de Caleb, Salvaje et Chato, l’enfant né de leur union, Beauchamp savoure son triomphe. Il va enfin pouvoir épouser Joséphine, la femme la plus riche de Tucson. À condition que Jonas Crow s’en tienne à la version officielle et ne révèle à personne que Sid est responsable de la mort du jeune homme. Mais Salvaje, avec l’aide de Jonas, est bien décidée à venger la mémoire de l’Indien Blanc…
Ce sixième tome de la série, servi par la maestria graphique de Ralph Meyer, associé pour les couleurs au talent de Caroline Delabie, et l’imagination puissante de Xavier Dorison, confirme la place d’Undertaker au sommet du western en bande dessinée.
- Éditeur : DARGAUD (27 août 2021)
- Langue : Français
- ISBN-10 : 250508338X
- ISBN-13 : 978-2505083382
- Poids de l’article : 505 g
Très chouette sixième volet. Ambiance tendue dès les premières séquences, avec Jonas Crow et Salvaje en fâcheuse posture. Ça continue avec la préparation d’un enterrement censé apaiser la ville, et les retrouvailles douloureuses entre le héros et un vieux complice, passé désormais du côté obscur en quelque sorte.
Quand le héros décide de passer à l’action et de retourner le pouvoir de ses adversaires contre eux, ça fait mal. Ça explose littéralement de partout. La narration est très chouette (il n’y a qu’une altercation dans un escalier que j’ai du mal à comprendre vraiment…), les enchaînements sont limpides, la caractérisation est très réussie.
Ça charcle, ça bastonne, ça véhicule aussi un discours sur le pouvoir de l’argent associé au racisme (en cela, ça renvoie aussi au premier cycle, d’une certaine manière). Vraiment, très réussi. Le dessin est magnifique, avec une maîtrise évidente et un encrage d’une grande richesse.
L’album se conclut sur le pitch de ce que sera la prochaine aventure, et ça donne envie.
Jim
Début du storyboard pour Undertaker #7 (posté le 12 avril par Ralph Meyer sur Facebook) :
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