URBAN COMICS - Les dernières infos

Il manque encore un numéro, mais pour l’instant, je ne vois pas en quoi ça aura un impact sur la continuité, ça sent le truc fait dans son coin (comme d’hab avec Snyder) qui malgré les annonces restera tel quel, presque comme un elseworld.
C’est a peine évoqué sur les nouvelles séries qui sont censés en découler.

Eh eh eh …

Ca lance la gamme New Age of Heroes et ça influencera l’événement Justice League : No Justice, puis des éléments seront repris dans la série Justice League de Snyder.

Sortie en septembre :

  • Super Sons t.2
  • Nightwing Rebirth t.4
  • 52 t.4

En gros, ça sera du Justice League pré Snyder et du Justice League de Snyder, ça confirme qu’il fait toujours les trucs dans son coin.

Sortie en septembre :

Ether tome 1 (Matt Kindt / David Rubin)

Boone Dias est non seulement un brillant scientifique, mais aussi un détective interdimensionnel de talent.
Aucun mystère ne lui résiste, sur Terre comme sur Ether, l’un des royaumes fantastiques dans lesquels il se rend régulièrement pour mener ses enquêtes hors du commun. Mais le jour où la magie vient s’immiscer sur une scène de crime, rien ne semble plus lui apparaître avec autant d’évidence. Pourtant, l’avenir de ce monde en dépend.

Public : 6+
Collection : Urban Indies
Date de sortie : 21 septembre 2018
Pagination : 136 pages
Contenu vo : Ether volume 1 (#1-5)
Prix : 10 EUR

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Arf … du Rubin … c’est vilain ça !

du Rubin, hmmmmmmmmm

Sortie en août :

Batman detective comics tome 4

En formant une équipe, Batman n’avait pas seulement pour but de protéger Gotham, il voulait également mettre ses alliés à l’abri d’attaques ciblées.
Mais faire partie d’une équipe n’a pas que des bons côtés pour ses membres, surtout quand les fantômes de leur passé resurgissent soudain… Et l’heure est grave, puisque la Bat-Family est dans la ligne de mire de l’Ordre de St. Dumas, un groupuscule qui a formé Azrael et qui dispose d’un nouvel assassin, une intelligence artificielle nommée Ascalon. Afin de sauver ses amis, Batman va devoir se servir du plus puissant des artéfacts magiques : la Machine de Dieu. Mais cela sera-t-il suffisant pour vaincre Ascalon ?

Contenu vo : Batman: Detective Comics #957-962

Sortie en septembre :

Batman rebirth tome 5

Ils ont mis des années à se décider mais le Chevalier Noir de Gotham et la cambrioleuse de renom Catwoman vont enfin se marier !
Malheureusement, l’annonce de leurs fiançailles n’est pas accueillie avec la même liesse partout dans le monde, et Talia al Ghul, terrible leader d’une organisation criminelle et mère du propre fils de Batman, va bientôt se trouver sur la route des deux tourtereaux.

Je confirme : colorisation moderne (comprendre : ça plaira à Blacki) et même des retouches par rapport au dessin (j’ai les épisodes d’époque en scann, et je confirme). Et ces retouches datent d’avant l’édition Semic, puisqu’elles y figurent.
Dans l’édition Semic, les colos modernes concernent les Batman et les World’s Finest, tandis que les Brave and the Bold semblent seulement « remastérisés » (comprendre : on remet des couleurs identiques, mais on fait ça propre sans déborder)

Il va un peu plus loin, je crois : les TPB US sont au nombre de trois, là, il y en aura deux. Donc je pense que ça fait une fois et demi l’épaisseur du Semic, à vue de nez.

Jim

Merci Jim (Faich’)

Ahahahah… MAis c’est tellement vrai xD

Edit : remarque si on parle bien de neal adams y’a pas besoin d’une colo moderne…

Sur ce point, on est totalement d’accord : justement, en refeuilletant rapidement les pages de Brave and the Bold qui n’ont pas de colo moderne, je me dis qu’on ne perd rien, que tout est là.
En fait, je soupçonne Adams de vouloir recoloriser les trucs les plus anciens, ainsi que certains récits qui lui tiennent à cœur. Dans le premier cas, c’est sans doute parce qu’il est mû par une sorte de révisionnisme à la George Lucas, qui le pousse à être maladivement insatisfait de ses premiers travaux, alors qu’il pourrait très bien vivre avec l’idée qu’il était moins bon à ses débuts.
Rajoutons à cela le fait que, peut-être, les matrices de couleurs ont été perdues (genre, les films de reproduction), ce qui implique de devoir refaire les couleurs quelle que soit la motivation derrière (ses Green Lantern / Green Arrow ont connu au moins trois colorisations, en comptant l’originale).
Toutes ces raisons accumulées font qu’on a des couleurs modernes sur un truc qui n’en nécessite aucune.

Jim

Quelqu’un sait quand Multiversity doit sortir ?

Ce n’est pas encore annoncé, mais probablement d’ici la fin de l’année j’imagine.

Voilà ce que j’en disais un peu plus haut dans la discussion :

AH désolé j’avais zappé ton message. Merci !

Merci pour toutes ces précisions.
Moi, j’ai dû lire tout cela dans le désordre (à savoir Countdown avant Final Crisis, ce qui n’est pas un « désordre » par rapport à ce que l’éditorial avait en tête, mais ce qui est un désordre par rapport aux intentions des auteurs), et j’ai eu du mal à comprendre. Et prenant les notes d’intention pour argent comptant, j’ai trouvé Final Crisis incohérent par rapport à son « tremplin », alors que c’est visiblement l’inverse.
Je me souviens mal de Countdown, mais j’ai le souvenir que la fin m’avait pas déplu. Mais bon, faut se fader tout le reste. Je demeure persuadé que ces projets hebdomadaires sont de fausses bonnes idées.

jIm

Même « 52 » ? J’ai vraiment trouvé ça très riche et abouti pour ma part.

Clairement, pour Final Crisis, je ne lis « que » la mini-série principale, Superman Beyond, et les one-shots Resist et Submit ; rien d’autre. Ca se suffit parfaitement, et ça en fait ma saga de ce type préférée.
Maintenant, il est clair que ce n’est pas forcément « classe » ou correct de la part de Morrison d’avoir laissé DC dans les ombres sur Final Crisis, notamment parce qu’il s’agissait de son employeur et qu’il « doit » également participer aux projets communs ou ne pas les gêner, mais le principe de Countdown me semblait une mauvaise idée (lancer une série mensuelle sur un événement créé par Morrison, connu pour ses méthodes, et tout concentré sur Paul Dini, un bon auteur mais qui ne peut qu’être débordé par 52 épisodes à écrire).

Je suis d’accord, je conserve un très bon souvenir de 52.
Mais je pense que 52 bénéficie du fait qu’il est le premier, qu’il se concentre sur des personnages secondaires, qu’il disposait d’un pool de scénaristes qui savaient où ils allaient et qui se concentraient sur un groupe précis de personnages.
Les autres tentatives, Countdown par Dini et Trinity par Busiek/Bagley, avaient trop parié sur trop peu d’auteurs, et se centraient trop sur des personnages ou des histoires « phares » (là où 52, finalement, se concentre sur le détail : les séries One Year Later indiquent clairement que « rien de grave ne s’est réellement passé », la Trinité a été en pause, et 52 s’occupe de gérer des personnages secondaires vers un destin déjà tracé dès le début).