VIENS DANS MON COMIC STRIP

Moi non plus, mais je vais me refaire, je crois…

Ah tiens, j’étais persuadé que vous l’aviez lu, vous deux.
Bon, bah voilà ce qu’il vous reste à faire : j’ai déjà que je ne pensais pas énormément de bien de la traduction, mais le bouquin vaut quand même d’être lu. Y a des trucs édifiants.

Jim

J’ai du Lainé et du Niko encore à lire !

Merci pour les liens.
Je me suis permis de coller ça ici : vu qu’on y cause de Quasar, ça m’a semblé approprié.

Jim

j en ai lu pas mal des anecdotes comme celle-là…
c est là ou en dehors de lifield… beaucoup pensent que la mort de Gruenwald est lié à la direction de Marvel.
1996 c est l epoque où reborn commence mais aussi où la Direction a débarqué Defalco et n a pas remis d EIC.
Chaque famille de titres a un editor principal qui doit faire un max de benef…
Chacun est donc en compétition avec les autres familles autant qu avec DC ou Image.
L ambiance est donc au plus bas et la cohérence au plus bas aussi (tu pretes pas tes personnages à la famille d a coté…)
Je sais meme pas si c est pas la periode où il est indiqué que celui qui fera le plus de benef deviendra EIC global (surprise c est celui d xmen qui gagne…)

Et donc l ambience bonne enfant qu affectionnait Gruenwald était bien loin…
Il etait editor et c etait la periode où Marvel a commencé a reduire ses commandes, a virer du monde, a ne plus prendre certains artistes etc etc…
et ce sont les editors qui s en chargent…

Ah ouais quand même… :open_mouth: Super exemple de management bien pensé, tiens. :confused:

Il faut voir aussi qu’un an après Marvel était en banqueroute. le milieu des années 90 c’est la période noire de Marvel ou des mecs qui connaissaient rien au business gérait Marvel.

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À propos de la série Quasar, je suis tombé sur cette couverture provenant de ce tumblr, qui met en avant une des marottes de Gruenwald, à savoir la réunion des personnages par catégories, les « speedsters » dans ce cadre-là (ou encore les lycanthropes et certains mutants dans l’arc avec Cap-Wolf).
La méthode de Slott dans Spider-Verse est assez similaire, dans une veine encore plus exhaustive à la manière de Morrison sur le caped crusader, allant jusqu’à tous les convoquer, même les itérations les plus obscures comme Spider-Ham ou Leopardon.

Historiquement, je crois que c’est Roy Thomas qui a un peu initié le truc, en essayant de regrouper et de classer logiquement les choses. Il l’a fait notamment en classant les Captain America, par exemple. L’approche Thomas, sensible aussi chez Steve Englehart, c’est de rassembler des personnages par thématique générale, par époque, etc (la guerre Kree-Skrull, chez Thomas, sert à ranger les Skrulls, la saga de la Celestial Madonna, chez Englehart, sert à ranger les voyageurs temporels…). Rassembler autour du thème du pouvoir, c’est plus l’orientation Gruenwald (et c’est davantage balourd), mais ça procède de la même logique.
Ces auteurs cherchent en fait à structurer le chaos d’un catalogue en constante expansion, à mettre de l’ordre, à donner de la logique. La création du Projet Pégasus (par Gruenwald et Macchio), ça procède du même schéma : on va prendre des vilains (voire des héros) dont les pouvoirs sont énergétiques, ce qui veut dire qu’on va définir ces pouvoirs s’ils ne le sont pas déjà.
Après tout, Gruenwald est le grand promoteur de la Société des Serpents, émanation de l’Escouade des Serpents créée par Englehart. C’est lui aussi qui a promu les super-vilaines de Superia.
Mais là encore, il n’est pas le seul à procéder ainsi. Steve Englehart a été, je crois, le premier à rassembler les Doyens de l’Univers, dans Silver Surfer. Ou à cartographier les sous-sols de la Terre, dans Fantastic Four, avec l’Homme-Taupe, le Peuple-Chat et plein d’autres (Bill Mantlo avait déjà travaillé sur le sujet, cela dit).
Gruenwald est très branché sur cette approche, mais c’est un peu consubstantiel aux univers partagés, aussi, je crois.

Jim

Ce cloisonnement entre familles de titres n’a pas l’air de s’être toujours arrangé avec les années, à quelques exceptions près en cas de personnages « bankable » comme Wolvie ou Spidey qui intègrent aussi bien les Vengeurs que les FF. C’est sans doute ce qui explique pourquoi Slott n’a pas pu avoir Nightcrawler pour ses Mighty Avengers.

[size=150]Viens Dans Mon Comic Strip : Araña Caramba ![/size]

http://www.comics-sanctuary.com/public/superpouvoir/img/Viens_dans_mon_comic_shop/Spider_Mexico/13-Fesses1.jpg

[size=85]« Toujours est-il que les plans sur les fesses de Gwen Stacy sont plus nombreux que dans la version américaine. »[/size]

Il faut avouer que les filles sont plutôt sexy.

Chouette trouvaille !

Que je dois, comme souvent, à Jérôme Wicky.

Jim

je l’ai lu qu’à cause de l’image de Gwen :frowning:

Ahah Coquin :smiling_imp:

Et pourquoi un smiley triste, alors ?

Jim

Ah, tiens, j’étais tombé à plusieurs reprises sur des sites concernant ces parutions, en cherchant tout autre chose (je crois que j’arpentais le web bédéphile hispanophone à la recherche de trucs sur Mortadelo & Filemón ou El Botones Sacarino, et surtout sur les sources d’inspiration/plagiat de Francisco Ibáñez)… J’avais gardé ça dans un coin de ma tête en me disant que je m’y intéresserais plus tard.

Tori.

c’est la raison qui l’a fait cliquez c’est un peu la loose. J’aurais du lire même sans cette image racoleuse.

Ce n’est pas mon idée, mais je l’applaudis bruyamment.

Et puis, un joli fessier, ce n’est jamais la loose.

Jim

Oh je viens de revoir quelques épisodes, dont celui-ci, et c’est encore pire que dans mon souvenir. C’est mal fait, les maquettes sont nulles, le montage est mou, les maquillages sont miteux, les transformations à l’informatique sont nulles, et la moitié des acteurs jouent mal.
C’est vraiment dommage qu’une série avec une production aussi pitoyable soit à peu près la seule à oser explorer le Tarzan des romans, à savoir en le remettant dans son époque et en le saupoudrant de fantastique. Avec une belle production et des acteurs convaincus, ça pourrait être super.
Bon, à part ça, les images des Mahars ne sont pas celles que j’ai en tête. Faudrait que je revoie le film avec Casper Van Dien : c’est peut-être dedans (j’ai le souvenir d’une fusillade au pied d’un temple en pierres), mais là, le courage me fait grandement défaut.

Jim