WALDO, DÉTECTIVE PRIVÉ (Tim Kirkby)

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DATE DE SORTIE PREVUE

Indéterminée

REALISATEUR

Tim Kirkby

SCENARISTE

Howard Michael Gould, d’après son roman

DISTRIBUTION

Charlie Hunnam, Mel Gibson, Morena Baccarin, Clancy Brown, Dominic Monaghan…

INFOS

Long métrage américain
Genre : action/policier
Année de production : 2020

SYNOPSIS

Charlie Waldo, un policier du Los Angeles Police Department en disgrâce, revient aux affaires après trois mois d’errance. Il doit enquêter sur la mort de l’épouse excentrique d’une star de télévision.

Mel Gibson est devenu le nouveau Nicolas Cage ? oÔ
Il est partout.

C’est vrai que quatre films annoncés cette année, alors qu’il a tourné dans moins d’une dizaine lors de la décennie écoulée, ça surprend un peu. Ceci étant :

…ça fait un sacré casting ! (Apparemment il y a aussi Rupert Friend, alias Peter Quinn dans Homeland, et Paul-Ben Victor.) Suffisamment en tout cas pour rendre curieux, alors que le réalisateur m’est totalement inconnu et que le pitch est des plus classiques.

Et il a eu le temps de jouer dans un autre film avant l’arrêt des tournages…

alors que le réalisateur m’est totalement inconnu

Tim Kirkby fait surtout de la TV. Des séries comme Veep, Man seeking woman, Fleabag, Brockmire

Le jour où Cage aura une carrière de réalisateur aussi impressionnante que celle de Gibson on pourra faire la comparaison ^^

Je ne trouve pas. Gibson n’a pas tourné pendant presque dix ans à cause de sa mise à l’écart par Hollywood et pas forcément par choix personnel

Définis « impressionnante » stp. :sweat_smile:

J’imagine que tu connais ses réalisations et à te lire je pense qu’on ne partage pas la même appréciation sur ces films. J’adore Braveheart ou Tu ne tueras point malgré des gros défauts, je trouve Apocalypto grandiose et Passion est un Z fascinant, toujours pas vu L’homme sans visage par contre.

Mais au delà de ça il n’empêche que sa carrière en tant que réalisateur est particulière et unique notamment par son jusqu’auboutisme, ses choix artistiques, ce que cela reflète de son auteur et son indépendance.

Du coup la comparaison avec Cage j’ai du mal à la voir parce qu’on est dans deux parcours bien différents.

On va dire ça comme ça ! :yum:

De mon côté c’est Tu ne tueras point que je me suis abstenu d’aller voir, la lecture des critiques m’ayant convaincu, s’il en était besoin, que j’allais y retrouver tout ce que je n’avais déjà pas aimé dans les précédents.

Oui et non, aurais-je envie de dire. Je vois surtout, d’une part, un mélange de grand-guignol et de gros budget, d’autre part, une fascination / complaisance pour la violence se trouvant (bizarrement ?) mêlée avec une volonté d’asséner des leçons de morale à base de religion - famille - patrie. Pris isolément, aucun des deux « cocktails » n’est particulièrement inédit, même si je reconnais que Gibson pousse le bouchon fort loin, dans son genre.

Au fond, pour résumer, j’ai tendance à penser que le cinéma de Gibson, c’est un peu Il faut sauver le soldat Ryan avec les potards poussés à onze (mais moins de maîtrise de la mise en scène) (et déjà, je dis ça, mais je n’aime guère ce film de Spielberg). On peut appeler ça du jusqu’au-boutisme peut-être, mais l’intérêt reste limité, de mon point de vue.

Je ne suis pas nécessairement le meilleur interprète de la pensée de Sylvain, mais en l’espèce je subodore que ça ne visait pas plus loin que la (soudaine) prolifération de rôles tous azimuts et avec ce qui semble s’annoncer comme, disons, une totale absence d’égo vis-à-vis de la qualité des différents projets (Boss Level et Force of Nature semblent plutôt s’annoncer dans le registre de la bisserie…).

C’est peut-être celui que je préfère dans sa filmo, au coude-à-coude avec « Apocalypto » ; dans son genre, le film est incroyable. J’aime même « La Passion du Christ », qui est un formidable film d’horreur gore, presque dans la tradition italienne du genre.

C’était tout à fait ça. :slight_smile:

Charlie Waldo ? Sérieusement ?

Ha ha ha !!

Il est bien, son cosplay Georges Brassens, à Mel Gibson !

Jim

1 « J'aime »

Mel Gibson sans la voix de Jacques Frantz, ça fait tout de même bizarre. Il fut son doubleur pendant tant d’années…

Vu et très sympa, un bon petit polar, dans la veine d’un Shane black, c’est pas le film de l’année, mais ça se tient bien et c’est assez fun.