Perso, je pense aussi plus à Master Pandemonium, vu le degré d’inspiration de la série à cette période Byrne des West Coast Avengers ; vous allez me dire : oui, mais Méphisto aussi intervient là-dedans. Certes, mais quelque chose me dit que cet antagoniste-là, Marvel se le réserve pour d’autres occasions (« Loki » peut-être) (EDIT : ah, j’ignorais qu’il était teasé pour « Loki », merci pour l’info Blackie).
Et je me dis aussi que ce mystérieux facteur qu’on voit régulièrement, avec ses sentences mystérieuses, pourrait bien être Ralph en fait, non ?
En tout cas, c’est cool d’avoir une série qui permette un peu d’élaborer des théories. Habituellement, je déplore les adaptations dont les twists (lorsqu’il y en a) reposent sur des infos que le lecteur de comics a déjà : le pompon, c’est « The New Mutants », où le twist c’est le pouvoir de Danielle Moonstar. Je me suis dit : OK, tout ça pour ça ? Puis j’ai pensé au spectateur vierge de toute connaissance préalable, ce n’est évidemment pas la même chose.
Là on se dirige vers autre chose apparemment.
Excellent cru que cet épisode 7 en tout cas, qui élève un peu les enjeux et se révèle très excitant. La longue mise en place de la série s’avère plus que payante. Concernant Kat Dennings, l’actrice est certes craquante au possible, mais c’est surtout que son perso est infiniment mieux écrit ici que dans les « Thor », où elle était à la limite de l’insupportable. Dans l’épisode 4 ici, elle fait preuve d’une force de caractère et d’un sens de la dérision tout à fait jouissif.