DC annonce trois nouvelles mini-séries qui seront publiées cet automne sous la bannière The New Golden Age de Geoff Johns.
Geoff Johns :
« It’s long past time that the heroes of the Justice Society had their own titles again. At the same time, they had to be special, important, and emotional stories, each one exploring character, revealing secrets, and introducing new heroes and villains to the DC Universe. »
Wesley Dodds : The Sandman sera écrit par Robert Venditti et dessiné par Riley Rossmo.
« [Wesley Dodds] has given up on the hope of a peaceful world, but he hasn’t stopped believing that people can be better to each other, if they’re only given the right tools. Possessing a scientist’s optimism and romanticism, he is convinced that humanity can invent cures for its own ills. Having learned about the battlefield horrors of World War I from his father, he sought to create a sleep gas that would allow for ‹ humane › warfare. During his research, he recorded all of his attempts in his science journal - even those with horribly deadly consequences - swearing to never show them to the world. Now his journal has been stolen, and he must find the culprit and stop them before his deadly mis-inventions fall into the arsenals of the belligerent nations threatening to pull the United States into the next world war. »
Il fonctionne bien sur des ambiances déviantes, divergentes. La maxi série sur Martian Manhunter avec beaucoup de transformations physiques était très bien pour lui.
THE GOLDEN AGE SANDMAN RETURNS IN A NEW NOIR MYSTERY!
After years of testing and experimentation, Wesley perfected his sleep gas as the optimal weapon to fight crime without causing undue harm. But when his journal detailing all his failed and far more deadly formulas is stolen, the Sandman must hunt down the thief and the people in the shadows pulling the strings before the contents of the journal are released!
Writer: Robert Venditti
Artists: Riley Rossmo
Colorist: Ivan Plascencia
Letterer: Tom Napolitano
Standard Cover Artist(s): Riley Rossmo & Ivan Plascencia
Variant Cover Artist(s): Riley Rossmo & Ivan Plascencia; Baldemar Rivas;
Group Editor: Katie Kubert
Editor: Andrew Marino
Assistant Editor: Marquis Draper
Format: Limited Series
Cover Price/Page Count: $5.99/ 32 pages
Wesley Dodd’s Golden Age adventures are told in Wesley Dodds: The Sandman #1, on shelves and digital platforms on Tuesday, October 10, 2023, from DC Comics
Très agréable.
Robert Venditti fixe son récit en 1940, récupère des éléments de Sandman: Mystery Theatre pour acter la chronologie, et place cela avant la création de la JSA. Cool. On y voit un Wesley Dodds qui est Sandman depuis des années, est avec Dian qui « sait », mais veut sortir de l’ombre de son père (créateur d’armes) en proposant à l’armée non pas ses essais de gaz mortel, mais son gaz endormant. Refus brutal du colonel, mais Wesley va quand même en soirée guindée. Il en sort pour stopper un vol violent en pleine rue, puis rejoint des pompiers qui interviennent, car… sa maison est en feu ! Quelqu’un s’y est introduit, et le foyer de son père et de sa famille s’évapore…
C’est bien, oui. Robert Venditti gère bien Wesley Dodds, qu’il caractérise un peu comme un Bruce Wayne (le majordome, les rondes nocturnes, la cave…) fusionné avec Tony Stark (l’inventeur qui veut échapper à la lignée familiale), et c’est cool. Wesley demeure quelqu’un de « gentil », c’est agréable et le voir avec Dian et des éléments bien installés, c’est top. Il n’en demeure pas moins que ça ne raconte pas beaucoup de choses, mais c’est un bon début.
Graphiquement, Riley Rossmo est appliqué et adapté, ici. Son style étrange convient bien aux interventions du Sandman, et ça donne un aspect éthéré, irréel à cette vision du passé. Bien.
Je suis content de relire WD après un blockbuster de l’été plutôt réussi. Relire du Venditti, c’est lire un récit maitrisé, détaillé et qui va de l’avant.
Et puis, oui, Riley Rossmo est comme il est. C’est toujours bien au début et ensuite on se lasse de son trait. Sa dernière prestation sur Robin était épouvantable. Là, il nous promet mieux.
Wesley’s journal of deadly gases is out there in the city, in the hands of a villain who knows he’s the Sandman! Can Wesley solve the mystery of who broke into his home before these noxious weapons are unleashed on the world, or is Sandman fated to fade away into the mists?
Creative Team
Writer: Robert Venditti
Artists: Riley Rossmo
Colorist: Ivan Plascencia
Letterer: Tom Napolitano
Standard Cover Artist(s): Riley Rossmo & Ivan Plascencia
Variant Cover Artist(s): Daniel Warren Johnson; Martin Simmonds
Lent mais sympathique.
Robert Venditti avance tout doucement sa saga, avec Wesley qui voit les ruines du manoir familial, comprend le vol de ses notes sur des utilisations mortelles de ses inventions puis se remet chez un ami de son père. Dian l’aide, le couve, il enquête mais n’aboutit à rien alors que le voleur met son propre costume pour mal agir.
Cest lent, quand même. J’ai connu Robert Venditti plus dynamique, avec ici une avancée toute douce de l’intrigue finalement très classique en elle-même. Ce n’est pas désagréable mais il va falloir aller plus vite, quand même, et donner plus.
Graphiquement, Riley Rossmo livre des planches agréables dans cette ambiance avec un style moins grandiloquent et des atmosphères réussies.
