WHATEVER HAPPENED TO THE CRIMSON JUSTICE ? #1-2 (Frank Tieri / Inaki Miranda)

Mad Cave Studios has revealed Whatever Happened to the Crimson Justice? Join the Eisner-nominated team of Frank Tieri, with interior art and Cover A by Inaki Miranda, as they unravel the mystery in this 5-issue series of heroes and villains—and the consequences of being either. Featuring colors by Eva de la Cruz and letters by Dave Sharpe, and Cover B by Dan Panosian, the series promises a dark, noir-inspired take on the superhero genre.

There was a time when the Red Alert shone in the sky, Empire City’s greatest hero, the Crimson Justice, would answer the call. But now it’s been years and neither he– nor his sidekick Reddy, nor their psychotic arch foe, Dr. Mayhem– have been seen since the Great Empire City Hospital Fire decades ago. What happened that fateful night? Did they all die? But if that’s the case, who or what is this Dr. Mayhem who’s reappeared in the modern day, brutally murdering Commissioner Thomas Kent and challenging the Justice to return? Is that possible? Does the Crimson Justice still live? And if so, what could have made him disappear and abandon his crimson hood in the first place?

Whatever Happened to the Crimson Justice? #1 (of 5) arrives in comic shops on May 21, 2025.

Ah, pas original en soi mais ça m’intéresse. Mad Cave propose des choses qui attirent mon attention.

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Nouveau titre de Miranda chez Mad Cave après Blade Forger.

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Un #1 simple et efficace… mais peut-être un peu trop simple, quand même. Frank Tieri livre un scénario qui correspond pleinement à l’accroche : un double de Batman (Crimson Justice) a disparu mystérieusement depuis des années après une dernière confrontation avec son Joker (Dr Mayhem) dans l’incendie d’un hôpital, sa ville Empire City se délite mais cela va changer. L’on voit en effet le pseudo commissaire Gordon, en retraite, utiliser le signal écarlate une fois de plus en vain, et il se fait tuer par le Dr Mayhem de retour. Un tenancier de bar âgé et certain que Crimson Justice n’a jamais existé en discute avec un copain commerçant (avec revue de la « famille de justiciers ») quand des criminels viennent prendre le petit-déjeuner chez lui, avec l’équivalent de Batgirl désormais droguée jusqu’aux yeux et jouet sexuel du meneur. Le barman laisse faire puis rentre chez lui et découvre une lettre du pseudo Gordon, qui lui dit avoir toujours su la vérité et qu’il a besoin de lui… car le vieux barman est Crimson Justice, qui remet son costume !
Bon, c’est sympathique car c’est exactement ce qui était annoncé… mais ce n’est que ce qui était annoncé. Zéro surprise, zéro innovation réelle dans cet énième dernier round d’un super-héros brisé qui remet le masque pour un ultime tour d’honneur. Ce n’est pas décevant en soi mais ce n’est pas vraiment emballant, bien que tout soit efficace et dessiné solidement par un Inaki Miranda qui livre des planches bien réalisées, sans plus.

C’est correct ; sans surprise, mais correct.

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(W) Frank Tieri (A/CA) Inaki Miranda (C) Eva de la Cruz (L) Dave Sharpe

As Dr. Mayhem pays a visit to his old partner in crime– the Mad Bomber–and with the continuation of his murder spree, the question remains… where is the Crimson Justice? Will the sinister surgeon’s inexplicable return spark John Redding to don the crimson cowl once again to face him? Or will the demons from his past that John still faces prevent him from doing so…especially when another of them has possibly returned from the grave like Mayhem has?

Sympathique, mais si simple que ça en est presque… grossier. Frank Tieri avance doucement sa saga, mais avec si peu de gants que c’est très, très visible. Ainsi, un vieux bibliothécaire est enlevé après une séance de lecture aux jeunes par Dr Mayhem, car il a été jadis Mad Bomber. Mayhem le torture et le mutile pour le transformer en bombe vivante, car jadis il a trahi leur entente quand Crimson Justice est devenu enragé pour retrouver son jeune assistant. Mad Bomber meurt dans l’explosion de la bibliothèque, avec les médias qui évoquent son identité et le retour de Dr Mayhem. Le vieux barman suit ça de manière blasée, repense au commissaire moet mais l’équivalente de Batgirl revient pour consommer seule avec des brutes de son mec, un client sympathique veut l’aider mais elle le frappe car elle refuse toute aide. Le barman est molesté puis entend une voix qu’il est seul à détecter… et cela semble être celle de son jeune assistant, qu’il pensait mort et celui-ci dit qu’on le lui dit souvent récemment (comme Dr Mayhem…).
Bon, ça se lit mais les ficelles sont grosses. Le traumatisme de la mort du pseudo Robin est évident, et je sens que Mayhem est cet ancien assistant. C’est pas grave en soi mais lourd, sans gant et c’est quand même dommage. Inaki Miranda illustre efficacement mais sans briller non plus.

Sympathique mais vraiment avec de gros sabots.

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