Oui, c’est la chose.
C’est dingue qu’il puisse produire des trucs si moche et si beau à la fois.
Son Batman (la mini), c’est quand même une purge d’encrage. Et je suis sympa…
Complètement d’accord!
L’éditeur a eu peur de se faire virer.
Alors il n’a rien dit!
Silvestri ça souffle le chaud et le froid selon les projets, dans sa mochitude la cover est fidèle à certaine cover des 90s, j’attend les prochains numéros pour voir comment ça évolue mais ça me donne moins envie que lorsque cela avait été annoncé en 2019/2020.
Witchblade #3
Series: Witchblade
Read the First Issue of Witchblade Online
Arriving: September 18, 2024
Lunar Code: 0724IM431
Age Rating: MBuy
Cover price: $3.99
Sara Pezzini grapples with the deadly powers of the Witchblade while corrupt cops, human traffickers, and supernatural conspiracies tighten the noose around her neck. A terrifying new hunter emerges in the form of Ian Nottingham, but is he here to save her, sabotage her—or seduce her?
« After me! », hahahahaha.
Jim
Arriving: September 18, 2024
Lunar Code: 0724IM431
Age Rating: M
Cover price: $3.99Sara Pezzini grapples with the deadly powers of the Witchblade while corrupt cops, human traffickers, and supernatural conspiracies tighten the noose around her neck. A terrifying new hunter emerges in the form of Ian Nottingham, but is he here to save her, sabotage her—or seduce her?
Writer
Marguerite Bennett
Artists
Giuseppe Cafaro, Arif Prianto
Cover A
Giuseppe Cafaro, Arif Prianto
Cover B
David Mack
Cover C
Witchblade #4
Arriving: October 16, 2024
Lunar Code: 0824IM477Buy
Cover price: $3.99
Detective Sara Pezzini is on the threshold of a world of monsters, demons, and hellspawn when the mysterious hunter, Ian Nottingham, promises to teach her to unlock her true terrifying potential. Will he guide her through the darkness—or let it devour her?
Un remake habillé en plus.
On perd 70% de l’intérêt ; ils ont pas idée.
Ca serait bien que l’intrigue monte rapidement en intérêt.
Le premier arc mérite plus de qualité pour lancer et moderniser cette franchise.
Pour l’instant, c’est léger léger.
J’adorerais voir Brubaker sur le titre.
Pas bête.
Jim
Idée séduisante mais j’ai l’impression qu’il s’éclate bien plus à faire ce qu’il veut, sans suivre les bibles d’autres univers écrites par d’autres que lui, avec son pote Sean Phillips.
( cependant, si Silvestri est plus souple avec Sara que McFarlane avec Spawn , il pourrait avoir une petite ouverture possible si l’idée lui venait - je crois que Silvestri est moins rigide que McFarlane cela dit mais ça c’est un autre sujet. Et la spéculation sur un changement de scénariste à ce stade , c’est pas un pari. C’est un vœu fait au Génie de la lampe malheureusement).
Plus, c’est pas possible.
Toi, t’as pas vu Magritte.
C’est surréaliste.
Blague à part : The Darkness et Witchblade ne sont pas entièrement ses bébés, ça aide peut-être à éviter d’être mono-maniaque avec eux, à l’inverse de Spawn avec McFarrlane. Ron Marz et Paul Jenkins semblent avoir eu le droit de jouer avec le couple symbiotique-mystique un peu comme ils voulaient, pour re-dynamiter la chose.
Spawn, son papa est possessif. Au point que plus d’une série spin-off sera stoppée et placée en tant que " continuité alternative " ( HellSpawn de Bendis et Niles par exemple ).
Je tiens pas vraiment à voir ta gritte surréaliste
Il est resté super longtemps sur Witchblade.
Oui, c’est ce qui me fait dire que Silvestri n’est pas un papa poule dopé aux hormones et accro au contrôle que ne peut l’être McFarlane avec Spawn.
Ron Marz a recréé une mythologie sur le perso tout en ne reniant pas le passé.
McFarlane bizarrement a une approche de soap opera et pas à la Claremont, non non, c’est le show runner des Enfers de l’amour à Dallas : inutile d’être respectueux à 100% du passé pour faire évoluer Spawn. Vous, scénaristes et artites, devez seulement respecter MA direction. Sauf que…en 30 ans, un peu de régénération des cellules , ça fait du bien au corps.
Spawn tourne en rond. Mais comme le monde dans lequel il évolue ressemble au nôtre, son univers ne tourne pas rond. Sans l’horreur bien humaine que nous créons, Spawn ne saurait perdurer. Qu’une série qui veut mettre en garde contre les dérives humaines (petites et immenses ) qui mèneront à un événement eschatologique soit si dépendante de ce qu’elle dénonce ( sans jamais être un peu à l’avance ) , c’est presque drôle.
Et sans relancer l’affaire Angela (parce que c’est presque une guerre civile qui s’ouvrirait ) , restons sur le factuel. Neil Gaiman et son copain Alan Moore auraient pû apporter énormément sur Spawn tout en suivant les grandes lignes de McFarlane. Mais ça ne s’est pas fait. Et je suis certain que ça l’a coupé des anglais comme Ennis, Ellis , Carey ( bref, les HellBlazer boys ) qui auraient trouver en Spawn un bel allié pour défoncer le monde politique ( et sa vision sociale ) des maîtres du monde (et de continuer sans doute dans la foulée de pisser sur celui du fidèle toutou albion ).
Tout était là : les opportunités, les contacts , l’actualité du monde réel , les questionnements des auteurs. Sans DC pour venir voir ce que Vertigo est en train de faire parce que ça va bien deux minutes.
Malgré son empire ( et les $ qui vont avec ) , qui de connu, de couillu , d’artistiquement intéressant ou que le monde s’arrache ou qui se fera un nom peut-il vraiment faire venir chez lui ? Capullo est son pote mais on le voit jamais rester plus longtemps que quelques couvertures ( exception du cross Batman Spawn…mais il avait bossé sur quel personnage le petit Greg juste avant déja ? ).
McFarlane referme toujours un peu plus le grand éventail des possibilités qui lui a été donné. Et son management est grandement responsable de cela.
J’ignore pourquoi je continue cette série malgré ses défauts criants.
Ses qualités existent sous la crasse. Mais je me demande si mon attachement presque masochiste ne provient pas d’un choc fondamental dans mon adolescence : Spawn, c’est mon premier comics ( chez Bethy, défuntes éditions : triste, elles étaient bien foutues ). Ce qui m’a mené direct vers Spider-Man ( et ce choc,toujours chez Bethy tellement différent du dessin animé et en même temps grâce au-dit programme télé, j’avais mes repères. Et de là, le dernier album de Spidey chez eux m’a mené vers ma perte : La saga du clone et donc, dans l’univers Marvel tout entier avec Panini. Merci mamy d’avoir fait vivre ton libraire ).
Je raconte ma vie là oui. Sorry, j’ai viré mon psy il y a quelques semaines ( et les médocs avec. Il avait raison, j’ai plus besoin de parler que je ne suis prêt à l’avouer )