J’en salive d’avance.
Jim
J’en salive d’avance.
Jim
Mais non ça c’est lintro de Bendis !
ça me rappelle les discussions sur Civil War et McNiven, ça.
Tom King n’en est pas si loin. C’est de la masturbation narrative qui enjolive une mono-intrigue d’une platitude sans nom à destination de lecteurs qui se prennent pour des esthètes, de la part d’un auteur qui s’écoute parler (c’est d’ailleurs très flagrant dans la dernière interview qu’il a donné avec le reste du staff du renouveau DC sur comicbookresources, au point qu’on a presque l’impression que les autres se foutent un peu de sa gueule). C’est aussi simple.
Bat ? Cat ? Bat ! Cat !
Clin d’œil
Mais la mini bat/cat est tout de même très bonne.
Bon moi je suis comme Jim. Je trouve que tu le ressens pas la confrontation quand elle traine sur 3 cases un pauvre mec solo, ni la puissance ni rien. C’est pas épique ça ne rend pas Diana « déesse » comme tu dis.
En plus j’ai toujours trouvé que Diana en mode déesse était ne pas comprendre le personnage.
A un moment, ca va bien se diffuser jusqu’à spidey.
Il y a toujours l’option du Spider-bébé de Schrödinger (celui qui disparaît à la fin de la saga du clone).
GLENN GREENBERG’S COMMENTS : I vividly remember all the little bits and story elements that Bob Harras absolutely insisted had to be in the « Revelations » story line. Among them was the sequence where the Parker baby is apparently delivered to Alison Mongrain, and Norman Osborn tells her to make sure it’s never seen again.
Some of us on the editorial staff (myself included) absolutely disagreed with this sequence being included, because it raised a question that shouldn’t have been raised. We strongly felt that the baby story line should have a clean, clear, definitive ending, and that there should be no lingering doubts or mysteries about the baby’s status. If the baby’s dead, then let’s say the baby’s dead and move on. I remember discussing this matter with Harras, and his response was that his way of ending the baby story line « gives hope to the readers who have been waiting for the birth of the baby, it lets them believe that the baby is still out there somewhere, alive, and maybe Peter will find her someday. It’ll keep them coming back. »
Je me demande si Spencer ne s’est pas fait débarqué du titre Amazing Spider-Man parce qu’il voulait revenir sur ce « bébé disparu ».
Pourquoi le debarquer pour cela alors que de lui dire non suffit ?
Pourquoi annoncer et ne pas laisser découvrir…
Moi ou DC ?
DC
Parce que le suspense est mort et enterré.
Totu à fait, c’est d’ailleurs à mon avis l’un des plus gros problème actuel. la mort de tout suspens.
Si tu travailles chez DC, les deux mon Capitaine!!
THE AMAZON WARRIOR IS NOW A WANTED OUTLAW! A NEW ERA FOR THE AMAZON WARRIOR BEGINS, FROM THE SUPERSTAR TEAM OF TOM KING AND DANIEL SAMPERE! After a mysterious Amazonian is accused of mass murder, Congress passes the Amazon Safety Act, barring all Amazons from U.S. soil. To carry out their plans, the government starts a task force, the Amazon Extradition Entity (A.X.E.), to remove those who don’t comply, by any means necessary. Now, in her search for the truth behind the killing, Wonder Woman finds herself an outlaw in the world she once swore to protect! Writer Tom King (Batman, Mister Miracle, Supergirl: Woman of Tomorrow) and superstar artist in the making Daniel Sampere (Dark Crisis, Action Comics) join forces for this action-packed relaunch and the beginning of what will undoubtedly become a groundbreaking run on the character.
Writer: Tom King
Artist: Daniel Sampere
Cover Artist: Daniel Sampere
Très réussi.
Tom King arrive sur le titre et la franchise, et livre un #1 très intéressant et pertinent. Il débute avec une altercation violente dans un bar à billard, où une Amazone s’en prend brutalement à des types qui la tripotaient. Bilan ? Dix-neuf morts, masculins ; deux seules survivantes, des femmes. L’enquête patine, l’opinion s’emballe. La piste amazone est lancée, Themyscira répond à peine. L’Amérique s’emporte, le gouvernement exige le retrait des Amazones invitées / laissées libres sur son sol. Les récalcitrantes sont emprisonnées ou tuées par l’A.X.E., organisme chargé de les exfiltrer et mené par un Sarge Steel encore enragé par l’événement Amazons Attack de jadis. L’heure est grave, l’opinion est divisée. Diana est absente de quasi tout le numéro, échangeant en off avec Steve Trevor puis confrontant et savatant Sarge Steel et ses hommes dans la neige. L’Amérique livre un mandat d’arrêt contre Wonder Woman, tandis que la voix-off évoque longuement la « défaite » de l’Amérique à venir contre elle. Une défaite narrée par The Sovereign, qui s’avère être un « roi secret » d’Amérique, héritier du premier monarque secret, qui maintient son pouvoir grâce au Lasso des Mensonges !
C’est très bien, oui. Tom King gère très bien son #1, en tirant intelligemment les conséquences d’un événement précis dans le contexte américain actuel. L’emballement médiatique et politique est pertinent, car extrêmement cohérent, et ça fait froid dans le dos. La quasi absence de Diana est aussi pertinente, déjà car ça permet une magnifique scène d’action et de révélation quand elle apparaît, ensuite car le numéro ne parle que d’elle mais quasiment sans le voir ; fort et juste. L’ensemble est très fluide, très politique mais aussi très lié à Wonder Woman, sa posture de guerrière et surtout sa lutte pour la paix et la vérité. Le final, d’ailleurs, surprend agréablement sur deux aspects. D’une part, opposer une royauté cachée et manipulatrice à une Princesse publique et « transparente » dans son discours, c’est intelligent. De l’autre, opposer Wonder Woman à un monarque des mensonges, c’est très juste. Ca donne envie.
Graphiquement, Daniel Sampere propose des planches superbes, très fluides, très dynamiques, très jolies. Un grand plaisir visuel.
Je suis emballé, et ça fait plaisir.