Peut-être pas :
Ils ont de l’humour.
C’est toujours ça.
X-Men: Before the Fall – Mutant First Strike #1
KRAKOA STRIKES?!
Ever since mutants declared themselves humanity’s new gods, certain circles have been waiting for the other shoe to drop—the wrath. When a small New England town is hit by a devastating mutant attack, it seems the wrath is here. But all isn’t as it appears. And Krakoa doesn’t hesitate to save lives—so it’s time for BISHOP to lead Krakoa’s biggest rescue effort yet!
Creative Team
- Writer: Steve Orlando
- Artist: Valentina Pinti
- Colorist: Frank William
- Letterer:
- Designer: Tom Muller
- Cover Artist: Israel Silva & David Baldeón
- Variant Cover Artists: Lucas Werneck; Oscar Vega
- Editor: Jordan D. White
- Assistant Editor:
- Associate Editor:
- Format: Oneshot
- Cover Price/Page Count: $4.99/36 Pages
De hickman à orlando.
Y a comme un petit foutage de gueule quand même.
C est white l editeur des x men depuis alonso, non ?
Pas super glorieux tout ça.
Et la multiplication des titres, pour profiter tant qu on peut puisqu on sait que ça ne va pas durer vu la qualité.
de bois ?
Tu m etonnes.
Et sévère.
Très sympathique.
Avant la Chute, prévue au Hellfire Gala, Marvel multiplie les one-shots sur des aspects de l’univers Krakoa, avec les manipulations d’Orchis. Ici, Orchis lance un faux Mutant sur une petite ville américaine, qu’il explose. Choc, consternation et polémiques, avant que Bishop n’obtienne du Conseil Silencieux l’envoi de Mutant First Strike, la ligne de défense et de solidarité de Krakoa. On voit ainsi quantité de Mutants, similaires à la Croix Rouge, qui viennent aider, soutenir, sauver, enquêter aussi ; avec ceux qui soignent en interne, ceux qui apaisent les tensions nerveuses, ceux qui absorbent les produits chimiques, ceux qui chantent pour calmer, etc. Bishop révèle l’action d’Orchis, la Maire locale y croit mais pas le monde et les polémistes. Orchis a réussi, le ver est dans le fruit.
C’est très bien, oui. Steve Orlando gère bien ce petit récit, où il utilise intelligemment énormément de Mutants (beaucoup que je ne connaissais pas), pour montrer comment Krakoa peut vouloir aider au-delà des bagarres homériques. C’est pertinent, intelligent et même touchant dans cet élan global de sympathie et de gentillesse, même si Marvel n’oublie pas de rappeler combien l’ère Krakoa peut crisper (car les Mutants se disent que, s’ils doivent être des « dieux » comme certains le disent, autant qu’ils soient de « bons dieux »…).
Graphiquement, Valentina Pinti propose des planches solides. Ca ne brille pas, mais c’est assez joli et fluide, très efficace.
Un bon one-shot, un peu inspirant quand même.
X-MEN: BEFORE THE FALL – HERALDS OF APOCALYPSE #1
- AL EWING (W) • LUCA PIZZARI (A)
- Cover by PEPE LARRAZ
- STORMBREAKERS VARIANT COVER BY C.F. VILLA
- VARIANT COVER BY LEINIL FRANCIS YU
- THE ORIGIN OF ARAKKO!
- In ancient days, Genesis turned back the hordes of Amenth. In ancient days, Genesis forced Annihilationin to a parley. What words were spoken in her mind? Now, finally, Apocalypse will know…and the echoes of those words might destroy him…and Arakko with him.
- 40 PGS./ONE-SHOT/Rated T+ …$4.99
X-MEN: BEFORE THE FALL – SINISTER FOUR #1
FALL OF X IS COMING!
As the nineteenth century drew to a close, the dying Nathaniel Essex unleashed four clones of himself into the world. They’ve been haunting it ever since, while lurking in the shadows. We know what Sinister has been up to. What about the others? In this issue, we delve into their past…and discover their latest atrocity.
When they start to…date?
Creative Team
- Writer: Kieron Gillen
- Artists: Paco Medina
- Colorists: Edgar Delgado & Photobunker
- Letterer: Ariana Maher
- Designer(s): Tom Muller & Jay Bowen
- Standard Cover Artist(s): Lucas Werneck
- Variant Cover Artist(s): Rafael de Latorre; Martín Cóccolo; Michele Bandini
- Editor(s): Jordan D. White
- Ass0ciate Editor: Lauren Amaro
- Format: One-shot
- Cover Price/Page Count: $4.99/ 36 pages
Delve into their past and discover their latest atrocity of the clones of Nathaniel Essex as the Fall of X nears with X-MEN: BEFORE THE FALL – SINISTER FOUR #1, on shelves & digital platforms Wednesday, July 5, 2023, from Marvel Comics
Al Ewing poursuit et complète ce qui, à mon sens, demeure la plus grande réussite de l’ère Krakoa : la redéfinition complète du personnage d’Apocalypse, passé de super-vilain basique et peu intéressant, à personnage tragique et passionnant.
Ici, Al Ewing livre un récit long et posé, où Apocalypse échange d’abord avec un Daemon d’Amenth puis avec Genesis. L’on voit ainsi pleinement la naissance de leurs enfants, comment Apocalypse a été transformé par Okkara pour découvrir le bonheur de la paix, puis la violence de l’attaque d’Amenth. L’on comprend que Genesis s’attendait à la guerre, l’espérait au fond, et s’est gorgée de la gloire de la bataille, au point de l’épouser. L’on voit comment ORCHIS a pu « appeler » Genesis pour la retourner contre Krakoa, trop faible, et Genesis en vient à frapper et vaincre Apocalypse, qui cependant prépare un autre plan, lui finalement « le mage » dans leur couple, et de loin pas le plus terrible.
Et c’est bien. Al Ewing poursuit l’approche de Jonathan Hickman, avec un peu plus de grandiloquence, là où l’écriture sèche et brute de Hickman apportait beaucoup à la redéfinition d’Apocalypse. Ca blablate un peu, ici, mais ça fonctionne, et j’aime définitivement beaucoup ces ajouts, qui ne trahissent pas mais étendent tellement En Sabah Nur, complètement passionnant maintenant.
Graphiquement, Luca Pizzari, Stefano Landini et Raphael Pimento se succèdent dans des styles proches, sans briller mais en restant très solides.
Agréable et passionnant pour la redéfinition d’Apocalypse.
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Un bon one-shot sur des « Variants » de Mr Sinistre, et sûrement l’une des rares fois où je les trouve « supportables ».
Ici, on a Dr Stasis (qui se pense le « digne » héritier du Nathaniel Essex originel, car il est le pinacle de l’avancée humaine à son niveau) qui invite à un rencard Mother Righetous (elle aussi dérivée d’Essex, mais basée sur sa femme Rebecca décédée). Ca papote, ça flirte, ça se lance quelques piques vu la fin du couple Essex (leur premier fils malade, Nathaniel se perd dans ses recherches pour le sauver, l’enfant décède, un deuxième arrive mais Nathaniel est hanté par ses travaux, Rebecca décède…). Finalement, Mother Righetous apprend à Stasis qu’un quatrième existe (Orbis Stellaris), puis ils reviennent dans la maison du premier couple, et conviennent d’une alliance. En vérité, Stasis savait déjà pour Orbis, ils collaborent, et là veulent piéger Mother pour lui rappeler qu’elle doit… obéir.
C’est bien, oui. Kieron Gillen gère bien l’ensemble et, sans le côtéd décadent de Mr Sinistre, ses « Variants » et leurs intrigues me sont plus agréables. Stasis est bien écrit, il est pertinent de le voir lié à des grandes expériences humaines (le Sérum du Super-Soldat, par exemple), et l’échange avec Mother Righetous est intense et très réussi.
C’est très bien, oui, et Paco Medina assure, dans un style classique et solide, sans briller mais avec efficacité.
Un bon one-shot, avec une intrigue maîtrisée et débarrassée du style décadent de Mr Sinistre, fun mais devenu lourd.
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