X-MEN: BEFORE THE FALL: SONS OF X #1
A BATTLE OF THE TITANS OF THE X-UNIVERSE!
A man of innumerable personalities and powers vs. the most powerful artificial intelligence in this universe: Legion vs. Nimrod! With Nightcrawler in Orchis’ clutches, David Haller and his allies will have to confront the mastermind who destroyed Warlock and nearly took Krakoa with him. But Nightcrawler is not himself… and Legion’s allies aren’t all they seem to be either. Mutant monsters roam the Earth… Banshee, broken once again, dreams of lost vengeance… Mother Righteous, her role in SINS OF SINISTER unrevealed, takes another stab at universal control…
Creative Team
- Writer: Si Spurrier
- Artist: Phil Noto
- Colorist:
- Inker:
- Letterer: Clayton Cowles
- Designer: Tom Muller, Clayton Cowles & Jay Bowen
- Standard Cover Artist(s): Phil Noto
- Variant Cover Artists: Yanick Paquette;
- Senior Editor(s): Jordan D. White
- Editor: Sarah Brunstad
- Associate Editor: Anita Okoye
- Format: Oneshot
- Page Count/Cover Price: 36 pages/$4.99
Ah ouais !
Euh…
Je suis honnête : je ne suis venu ici que pour voir si Jackie Chopra, la Black Knight fille de Dane Whitman, survivait après la parenthèse Sins of Sinister.
Et… oui. Bonne nouvelle : Jackie survit à sa rencontre brutale après Mother Righteous ! Bon, en soi, elle a ressuscité via l’Epée d’Ebène, mais l’idée est là. Mauvaise nouvelle : Simon Spurrier l’intègre à la famille-équipe autour de Légion, donc je me force à suivre tout ce bordel…
Clairement, je n’ai pas grand-chose à dire. Jackie fait tapisserie, tandis que Légion s’entraîne pour stopper Nimrod. Un Banshee fracassé par Mother Rigtheous est aidé par Légion, aussi, alors que la même Mother Righteous rôde gentiment et prépare ses plans. En parallèle, Kurt parvient à se libérer de son aspect démoniaque, grâce à ses proches et un affrontement avec Mother Righteous. C’est bien mais Kurt traverse une crise, et quitte le Conseil pour se retrouver et protéger l’âme de Krakoa.
Bon… je ne sais pas quoi dire. Clairement, le fond de la saga est pertinent, mais l’approche de Spurrier est lourde, maladroite, désagréable. Mother Rigtheous me gave déjà, et l’ensemble me paraît vraiment crispant. D’autant que Phil Noto n’est pas très bon ici, avec des traits moins clairs et réussis.
Quelques avancées, mais tant de maladresses…