En matière de Superman, Soyouz est un baromètre fiable : s’il n’aime pas, il faut le lire.
Jim
En matière de Superman, Soyouz est un baromètre fiable : s’il n’aime pas, il faut le lire.
Jim
oui mais bon, c’est pareil pour moi, j’avais lu des superman où je n’avais pas arrêter de bailler… Vous m’aviez conseillé des Superman à lire, je le ferai, j’ai pris celui de Moore parce que j’aime bien Moore et un parmi vous me l’avait conseillé, je pense que c’est toi, Jim, qui me l’avait conseillé. Il y en a d’autres, aussi, 3 titres je crois. J’ai noté sur un papier que je n’ai pas sur moi.
en tout cas je prendrai en compte que s’il n’aime pas, je dois le lire (lol) en matière de Superman.
@KabFC quand j’ai écris « je suis tes conseils à la lettre. » à Soyouz, c’est à propos de ces x-men blue et gold
Ah, non, Superman, il ne le boycotte pas : il le boy-scout.
Tori.
Je n’ai plus de place, en plus …
Genre, t’as quitté la région parisienne, t’as une grande maison, sinon demande à une de tes filles de prendre son indépendance.
Aux deux même.
(J’étais obligé de prendre un espace de stockage en RP)
Donc dans la continuité de SWORD.
Une nouvelle série sur les ruines de S.W.O.R.D.
La couverture en rouge, c’est pour qu’on soit bien sûr d’avoir compris le titre ?
Parce que ça va se passer sur Mars / Arakko, assurément.
L’après Immortal Hulk/Guardians of the Galaxy/S.W.O.R.D./Defenders se précise pour Al Ewing : en parallèle du relaunch de Venom (en alternance avec Ram V, le préposé aux symbiotes), le scénariste briton va également prendre du galon chez le x-office (suite au départ d’Hickman le « head of x », poste laissé vaquant d’après l’editor Jordan White), à l’instar de la promotion de Duggan pour la reprise du navire amiral (X-Men) et du retour de Gillen pour un titre consacré au Quiet Council (Immortal X-Men).
Après Head of X, Architects of X ?
Ça semblerait.
" Storm impressed herself on me for another reason when I first encountered the X-Men, way back in the UK reprints of the original Secret Wars – because she regularly told Charles Xavier, the alleged head honcho of the X-Men, where exactly he could stick it. That’s intriguing to me – that she rises to challenges on that level, that her power isn’t just automatically put in the service of the most imperious voice in the room. She questions things, questions herself. Honestly, I feel like once you answer the question of mutant power levels, putting her into a battle where that type of power is no longer very meaningful – where it’s political intrigue, not a slugfest – is the best and most interesting way to challenge her."
(W) Al Ewing (A) Stefano Caselli, Federico Blee (CA) Russell Dauterman (CA) Taurin Clarke, David Lopez, Peach Momoko
WHO CAN SAVE THE RED PLANET?
The mutants of Arakko spent millennia scarred by war - but on what was once called Mars, they’re learning to live in peace. STORM knows the red planet needs something greater than a queen. But ABIGAIL BRAND has other plans, along with an unstable VULCAN on her side and CABLE keeping his own secrets. Welcome to X-MEN RED. It’s a new world…and someone has to fight for it.
RATED T+
In Shops: Apr 06, 2022
SRP: $4.99
Fais chier.
Je voulais aimer cette série. J’espérais aimer cette série. Et j’admets que, sur l’essentiel de la lecture, j’ai aimé ce #1.
Mais… mais la fin, pff. La fin s’abandonne aux bêtises crasses et opportunistes de la franchise X-Men actuelle, et ça me gave.
Bon, que dire ? Al Ewing est en forme, en centrant son #1 sur Storm et ses difficultés à gérer le fonctionnement des Arakkii, mais aussi les attentes, exigences des autres intervenants. Il y a un Magneto usé et désabusé, qui vient se construire un palais de solitude sur Mars / Arakko. Il y a Solar, qui a ouvert un bar, où Vulcain joue au débile ; un Vulcain qui tabasse Roberto, puis se fait tabasser par Thunderbird, enragé contre les Summers. Abigail Brand et Cable bloquent tout ça, et John Proudstar rage contre le vieux Nathan. Tout le monde prend Storm pour la Reine, alors qu’elle est Régente, et Abigail Brand exige d’elle qu’elle forme des X-Men de Mars, pour équilibrer l’ensemble. Mais Storm est rongée par son passage dans l’arène d’Arakko, et décide de changer de look et proposer à Sunspot et Magneto de former non pas des X-Men pour Mars… mais une Confrérie, pour Arakko.
Su-per, hein. Alors oui, évidemment : mon retour est hautement subjectif, et est influencé par mon rejet véritable de l’ambiance de la franchise X-Men, transformée depuis plusieurs mois, voire même années maintenant, en un ensemble de salopards, de véritables connards suffisants, arrogants et agressifs. Même si Storm n’est pas Beast, hein, je n’apprécie pas l’orientation finale, bien que je doive admettre que oui, Al Ewing prépare bien la chose.
Donc non, je ne suis pas content de ma lecture, car ce final me gave, me soûle. Mais c’est bien fait, hein. Et j’apprécie le positionnement des personnages, Brand qui manoeuvre, Vulcain qui est insupportable, Thunderbird qui est le nouvel homme en colère, Solar paumé mais sympa’. Et Magneto usé.
Tout ça est bien fait, mais c’est usant ce sous-texte, ces thèmes dégueulasses sur la personnalité des personnages. Je ressors blasé de tout ça, même si Stefano Caselli livre aussi de belles planches, bien cadrées, bien fichues, et bien plus solides que d’autres fois.
C’est essentiellement très bien fait, mais l’orientation finale me gave, m’énerve. Définitivement.