Couverture par Dave Johnson.
Jim
Civil War revu et corrigé par Dave Johnson (je ne sais pas si c’est une commission ou un fanart ou une couverture alternative…) :
Jim
Ce n’est pas la couv d’un what if ?
Moi j’aime bien, surtout son run sur spidey pendant la saga du clone.
J ai commencé son Punisher (avec Ostrander) et je suis assez d acoord avec Jim. C est raide… et les visages un peu toujours grimacants… ca se lit mais …
J’ai pensé à un truc du genre, c’est le format paysage qui me semble étonnant. Mais si c’est une wrap, ça se tient.
Jim
C’est une illustration qui a servi pour une boîte de trading cards :
Hommage de Mack à l’occasion du Memorial Day :
Trop fort, le Doc !
Jim
MARVELS COMICS GROUP : CAPTAIN AMERICA
On sait depuis les premiers épisodes des 4 Fantastiques que la Maison des Idées existe aussi dans son univers fictionnel. Stan Lee et Jack Kirby se mettaient souvent en scène et même si je ne l’ai pas lu depuis longtemps, j’ai toujours en tête cet épisode des F.F. où John Byrne participe au procès de Reed Richards (accusé d’avoir sauvé Galactus dans une histoire précédente) parce qu’il était alors le chroniqueur officiel des aventures des héros.
En 2000, Marvel a publié une série de six one-shots pour montrer à quoi pouvaient bien ressembler les comics du Marvel de fiction, rebaptisé le Marvels Comics Group. Il y a eu Spider-Man par Paul Grist et Kyle Hotz, les X-Men par Mark Millar et Sean Phillips, les F.F. par Karl Kesel, Paul Smith et plusieurs artistes invités, Thor par Ty Templeton et Derec Aucoin, Daredevil par Tony Isabella et Eddy Newell…et le seul qui a eu droit à une V.F., Captain America.
Dans les crédits de l’histoire, Rick Jones est crédité comme scénariste et Steve Rogers comme dessinateur, sympathique référence à la carrière de dessinateur freelance de Cap. Et leurs « assistants » sont Peter David aux dialogues et Ron Frenz et Mark Bagley aux dessins. Ce numéro spécial est une aventure bourrée d’action qui ne perd pas de temps car le récit démarre in media res, au « 5ème chapitre » d’une saga intitulée Faille temporelle. Peter David…euh, Rick Jones donne rapidement les informations qu’il faut pour que l’ensemble soit facile d’accès (après avoir utilisé par accident la machine à remonter le temps de Fatalis, Rick Jones…oui, parce qu’il est aussi le héros du comic…n’arrive pas à retrouver son époque et est projeté en pleine seconde guerre mondiale) et les rebondissements peuvent alors s’enchaîner. 22 pages bien remplies : c’est aussi anecdotique que divertissant, bien dessiné, avec de petites touches d’humour (dont une petite pique lancée au film Captain America de 1990), du drame et de la baston énergique !
Détail amusant : alors que Bucky garde son nom (normal vu qu’il n’a pas eu d’identité secrète pendant la Guerre), le Cap du Marvels Comics Group est quant à lui brun et il s’appelle Roger Stephenson !
Et sur le titre… Il me semble bien qu il est engagé par Mike Carlin pour Captain America quelque part au début du run de Gruenwald.
Yep !
Musique !
Eminem - Untouchable
Fuck your Republican views
Pull ourselves up by our bootstraps, where the fuck are the boots?
And streets act as a narrator, don’t gotta read comics
Or be that into characters, just to see that, just to be black
You better be strapped with a Derringer
Or be « capped in America » like Steve Rogers
'Cause no one oversees these cops and
All we see is 'em beat charges
CAPTAIN AMERICA vol.3 #25 à 27 :
CAPTAIN AMERICA vol.4 #27 et 28 :
Éloge du Cap de DeMatteis :
Tiens, j’ai récemment découvert une réplique de Guy Gardner, dans un Justice League America de 1993, qui précède donc largement la facétie de Millar.
Je me demande si on en trouve beaucoup d’autres, des perles de ce tonneau.
Jim
Zeck swipe Adams :
