Archie rencontre Batman, par Norm Breyfogle :
Jim
Archie rencontre Batman, par Norm Breyfogle :
Jim
Archie écrase (par Dan Parant)
Quand la bande dessinée Chilling Adventures of Sabrina se souvient de Creepshow…
Jim
GI RChie
(Et à en rendre jaloux @Fred_Steinmetz)
(c’est trop facile de trouver des crossovers ou autre mash up, c’est même plus marrant)
Et quand Archie se souvient de Wally Wood :
Le cauchemar d’Archie :
Celui-là, il me semble qu’il est complètement officiel.
(à vérifier, tout de même : Tori nous dira)
Jim
Magnifique clin d’œil !
Jim
Tiens, pour ceux qui ne savent pas :
Ce qui renvoie à ça, à la base :
Jim
Ne pas croiser les effluves… c’est mal !
Jim
Ah voilà, merci. Je me demandais si le Archie n’était pas plus vieux.
Tant pis … maintenant, ils sauront.
C’était inévitable :
Et plus récent :
Non.
Probablement le besoin de diversifier les histoires (et aussi, peut-être, qu’en la rendant plus anonyme, on permettait que le lecteur s’identifie plus facilement aux personnages).
Comme je le disais, sa géographie est variable : selon qu’on a besoin d’avoir la plage, des collines, de la haute montagne, une forêt épaisse, un fleuve, des rapides, un lac, le coffre-fort d’un personnage, la centrale nucléaire où travaille un autre…
Tori.
ça faisait longtemps qu’on n’avait pas parlé du Phénix :
Je l’avais oublié, celle-ci :
(et y en a d’autres, chez Marvel)
Il est même sorti il y a moins de deux ans…
Je crois que toutes celles que Soy a postées sont officielles, d’ailleurs.
Tori.
J’ai toujours pensé qu’il y avait un mouvement de balancier dans la géographie des comics (de super-héros ou non). En gros, les années 1930 et 1940 parlent d’une Amérique idéalisée, fantasmée, et les récits se situent dans des villes fictives. Et puis, les années 1960, qui marquent une prise de distance par rapport à l’idéal (au rêve américain, au mythe de la prospérité), favorisent l’émergence d’une géographie « réaliste » : en quelques épisodes, les Fantastiques passent d’une localisation floue à New York, et tout l’univers Marvel s’enracine dans des décors « réels ». Au point de contaminer l’univers DC en retour puisque des super-héros déménageront dans des vraies villes (Wonder Woman à Washington puis à New York, la Ligue à Detroit, Green Arrow à Seattle…). Mais dans le même temps, la fiction audiovisuelle impose de nouvelles déclinaisons (Hill Valley, Sunnydale…), qui reviennent au pan fictif.
Dans les deux cas, il y a un mécanisme d’identification possible : s’identifier à quelque chose de générique dans lequel on peut reconnaître des choses, ou s’identifier à un écho de la réalité.
Je sais pas du tout quoi en penser, ni quelle conclusion en tirer, mais je trouve que c’est intéressant, ce balancement. Je me demande si Riverdale est l’archétype de ça. Ou bien s’il faut tout simplement chercher la base dans la dialectique Metropolis / Smallville…
Si ça se trouve, en fait, Riverdale, Hill Valley, Sunnydale, Springfield et tous les autres sont des quartiers différents d’une seule et même ville provinciale…
Astro City !!!
Jim