Y a Marko et le Doc aussi. Faudrait pas les freiner.

13 COVERS: The Wonderfully Weird World of H.G. PETER
A birthday salute to Wonder Woman’s first artist…
Y a Marko et le Doc aussi. Faudrait pas les freiner.
Ça fonctionne super bien.
Bon, après, faut dire que ce générique, hyper jazzy, c’est un peu comme celui du Batman d’Adam West ou celui du vieux dessin animé Spider-Man, c’est super accrocheur, excellemment rythmé, ça se prête à des tas de remix…
Jim
Wouah.
Miller
Allez, une autre fournée de dessins de José Luis Garcia-Lopez, parce qu’on ne s’en lasse jamais :
Jim
Tout frais d’hier sur youtube, la version pour WW 84, toujours avec le générique de la série TV et cette fois avec un visuel comme celui de la série.
Attention, pour ceux qui n’ont pas vu le film, on y aperçoit le perso de la scène post-générique (même si depuis le temps on sait de qui il s’agit).
excellent cette vidéo, le seul soucis c’est qu’elle me donne envie de revoir le film qui je sais est moyen.
Dessin de Keith Pollard et Joe Rubinstein représentant les membres du Squadron Supreme, à destination de l’Official Handbook of the Marvel Universe Master Edition #28. On y reconnaît donc la Power Princess, équivalent marvelien de Wonder Woman.
Jim
Wonder Woman par John Bolton :
Jim
Peinture de John Bolton représentant Wonder Woman pour la collection de trading cards DC Masterpieces Trading Cards, Skybox, 1994 :
Jim
Steve Trevor dans le cartoon The Brave and the Bold / L’Alliance des héros :
Jim
Très beau
On a déjà évoqué, ici, Femzine, un fanzine édité par Bill Black sur la quatrième de couverture duquel Wonder Woman apparaît, avec Black Canary et Supergirl, dessinées par Terry Austin.
Bill Black n’en était pas à son galop d’essai puisqu’il a édité, en 1971, 1975 et 1978, trois numéros de Fem Fantastique. Wonder Woman apparaît en couverture de la troisième livraison, au milieu d’autres héroïnes, dessinée par Dick Giordano.
Cover by Dick Giordano. Edited by Bill Black. One of the first publications by AC Comics, showcasing the lines early emphasis on Good Girl art. This issue focues on the female superheroes of past eras, including Wonder Woman, Phantom Lady, and Sheena, Queen of the Jungle. 8.5-in. x 11-in. 48 pages, B&W.
Un aperçu du mag :
Jim
Wonder Woman par Dick Giordano :
Et Wonder Woman et Black Canary contre Red Sonja :
Jim
En Australie, à partir de 1965 le label Colour Comics publie Superman Presents Wonder Comic Monthly, où évoluent différents personnages DC, dont Tomahawk (qui fait la une de certains des premiers numéros), Elongated Man, Aquaman, Jimmy Olsen, Superboy, Lois Lane, Congorilla…
Wonder Woman apparaît dans le sommaire au numéro 25 de mai 1967, et a droit à sa première couverture au numéro suivant.
Le titre changera d’éditeur au numéro 104 en 1973, passant aux mains de la K. G. Murray Publishing Company (collection « Planet Comics »).
Puis il changera de titre au 128 de novembre 1975, devenant simplement Wonder Woman, avant de s’arrêter au #132, de juillet 1976.
Jim
Illustration de Mike Wieringo pour Wonder Woman Gallery #1, de 1996 :
Jim
Wonder Woman par Arvell Jones :
Jim
A birthday salute to Wonder Woman’s first artist…
« Wonder Woman 1984 » : c’est le titre du deuxième film consacré à l’Amazone, mais ça renvoie immanquablement à un millésime précis dans l’histoire de sa série. Tim Hanley s’interroge donc sur ce à quoi ressemblaient les parutions de l’Amazone en 1984… et ce n’est pas joli-joli.
The Wonder Woman of actual 1984 was totally bizarre
Besides Cheetah, the new movie won’t have a ton to lift from in period-appropriate comics
Entre un bazar monumental en matière de continuité (Steve Trevor est mort, ressuscité, re-mort, effacé des souvenirs de Diana, remplacé par un double d’une autre dimension…), une chute des ventes qui conduit à passer le titre en bimestriel, Wonder Woman connaît une fuite des lecteurs et un désintérêt global des créateurs qui ne cesseront qu’à l’arrivée de Pérez deux bonnes années plus tard.
Merci pour le partage de cet article vraiment intéressant, dans lequel on peut trouver l’adresse d’un autre bon moment de lecture : George Perez nous raconte comment il s’est donné pour mission d’empêcher la série Wonder Woman post- Crisis de devenir un titre vulgaire aux mains d’un dessinateur qu’il ne nomme pas, la manœuvre aboutissant au mythique run que l’on connaît.
Donc, au milieu des années 1980, Pérez découvre que DC a es plans pour Wonder Woman… des plans pas bien clairs, ils ne savent pas où ils vont, ils cherchent, et notamment ils envisagent de confier le destin graphique du personnage à un dessinateur qui, selon lui, est « davantage habitué à dessiner comme dans Penthouse » (“The man is more used to drawing stuff like a Penthouse magazine”).
Je me suis demandé de qui il pouvait s’agir, et j’avais deux noms en tête : d’une part Mark Texeira, qui à l’époque avait fait des adaptations des Maîtres de l’Univers dans les mini-comics accompagnant les jouets (avec Gary Cohn, collaborateur régulier de Dan Mishkin, lui-même scénariste de Wonder Woman peu de temps avant Crisis), ainsi que la version futuriste de Jonah Hex. Il était donc connu des services, chez DC.
L’autre nom auquel je pensais, c’était Mark Beachum, qui a fait des Web of Spider-Man avec Peter David, par exemple, et qui, comme Texeira, a un style assez reconnaissable (il y a des similitudes entre les deux, d’ailleurs), avec des cases éclatées et de jolies nanas sexys, cambrées et sur hauts talons).
Je n’avais pas bien regardé les dates, afin de vérifier si cela pouvait coller… et j’avais un peu oublié tout ça. Et puis là, en cherchant autre chose (comme toujours), je découvre que Mark Beachum a dessiné des épisodes de la back-up consacrée à Huntress, dans Wonder Woman #314 à 318, sous la direction éditoriale d’Alan Gold.
Au début, avec l’encrage limpide de Gary Martin, le trait de Beachum est encore timide. Les positions sont lascives, on sent bien qu’il aime cadrer ses personnages féminins de dos, mais au final, ça ne dépasse pas tellement le stade du fameux « good girl art » qui, dans l’esprit des lecteurs Américains, est presque un genre en soi.
Mais bien vite, l’illustrateur gagne en hardiesse et s’ingénie à multiplier les cases afin de représenter son héroïne sous tous les angles (et quand le script de Joey Cavalieri implique qu’elle doive être ligotée, c’est la fête).
Dans le cinquième épisode qu’il livre pour la série, Beachum s’en donne à cœur joie en représentant des jolies femmes sculpturales dans des tenues à la mode (pas obligatoirement dénudées, d’ailleurs, ce qui témoigne d’un talent évident dans le suggestif…).
Et Helena Wayne continue à prendre la pose, dans des attitudes qui ne sont pas particulièrement narratives, c’est certain.
Le dernier chapitre livré par Mark Beachum est encré par Stan Woch. Le résultat est très beau, alliant des ombres travaillées, des trames qui donnent du cachet, des cernés qui délimitent bien les plans, des drapés qui donnent de la vie à l’ensemble, plein d’effets de matière du meilleur goût. D’ailleurs, Woch réalisera quelques chapitres tout seul après le départ de Beachum, et ce sera également très beau.
Bref, si les épisodes que Mark Beachum consacre à Huntress sont plutôt sympathiques, l’illustrateur cède bien souvent à la tentation de réaliser une case où l’héroïne prend la pose, dans une logique illustrative qui met en valeur la séduction du personnage et ses atouts physiques, mais pas tellement l’histoire.
Sa présence au générique de Wonder Woman #314 à 318, en 1984, démontre que Beachum était en relation avec la rédaction. Son style, dont les traits racoleurs vont s’amplifier avec le temps (on peut le voir ici), est déjà présent, et comme il dessine très bien les jolies femmes, il n’est pas saugrenu de penser que l’équipe éditoriale songe à lui… et que ce soit à lui que pense Pérez quand il parle d’un illustrateur « davantage habitué à dessiner comme dans Penthouse ».
Jim