C’est ce que semble confirmer un commentaire sur le blog de Tim Hanley.
J’avoue que je connais trop mal pour me hasarder à quelques spéculations.
Jim
C’est ce que semble confirmer un commentaire sur le blog de Tim Hanley.
J’avoue que je connais trop mal pour me hasarder à quelques spéculations.
Jim
Et je confirme que c’est ce que j’ai trouvé aussi.
Pour le sommaire, en revanche, je ne sais pas.
Tori.
Il confirme lui-même :
I illustrated the cover art to this 1980 Annual. Gouache and Indian ink. I was given the original comic books used in the reprints to adapt to a new cover. – Paul Green.
Jim
Je pense aussi que le succès aidant, on a cette impression et une caisse de résonance comme pour les scénario alors que les 90’s il y a de très très bon dessinateur et d’excellentes histoires.
Les 90’s c’est aussi l’explosion d’Alex Ross, de Bagley, les frères Kubert, Romita Jr est à son sommet, Chris Bacchalo, Carlos Pacheco, Travis Charest, Jae Lee…
Bien sur mais c est aussi l époque de dessins impubliables
Et des
Armures horribles
En 1982 paraît Superman and Wonder Woman in « The Computer Masters of Metropolis! », un comic book gratuit édité par DC pour le compte de la chaîne de magasins Radioshack spécialisée dans le matériel audio et l’électro-ménager.
Le récit est réalisé par Cary Bates, Curt Swan et Frank Chiaramonte, sous couverture de Rich Buckler et Dick Giordano. C’est la troisième publication dans le partenariat entre DC et Radioshack, après Superman in « The Computers That Saved Metropolis » en 1980 (par Cary Bates, Jim Starlin et Dick Giordano, couverture de Ross Andru et Dick Giordano) et Superman in « Victory by Computer » en 1981 (par Cary Bates, Curt Swan et Vince Colletta, couverture de Ross Andru et Dick Giordano).
Les Whiz Kids, jeune héros de l’histoire, apparaissent dans les deux précédents récits, et seront par la suite les héros d’une série de récits cette fois-ci publiés par Archie Comics toujours pour le compte de Radioshack.
Dans la logique pédagogique de ces parutions, ce troisième fascicule inclut également deux pages d’information et de quiz destinées aux jeunes lecteurs.
Jim
Mon premier flash aussi
J adorais cette idée de mechant
Ouais, chouette récit. Je sais plus si c’était dans ce numéro, y avait aussi des épisodes avec la patineuse dorée, qui constituent mon premier contact avec les Lascars…
Jim
En 1980, Jim Starlin signe quelques couvertures pour la série Justice League of America. Et notamment, celles des numéros 183 et 185, soit le début et la fin de la trilogie opposant les justiciers à Darkseid, dont les intérieurs sont respectivement dessinés par Dick Dillin et George Pérez (qui arrive sur la série au 184).
Wonder Woman figure en bonne place sur ces illustrations.
Jim
Dessin de George Pérez destiné au module Wonder Woman: Stranger in Paradise pour le jeu de rôle DC Role Playing Game. Édité par Mayfair Games Inc. en 1988.
Guide couleurs.
Objet final.
Jim
Wonder Woman par Jim Lee :
Jim
Crayonné de Brian Bolland pour la couverture de Wonder Woman #88 :
On notera la présence du logo et du corner box dans la composition d’origine.
Et surtout, on notera que l’image a été inversée pour l’impression :
Jim
j’en ai compté 5 qui date des années 2000, 2 des années 80 voir avant et 1 que j’aime bien (oui la DD je suis fan).
10 ans c’est long, faut pas que se focuser sur une période qui durera 2-4 ans.
Ce qui me semble logique. Dans l’inconscient collectif, regarder vers la gauche, c’est regarder vers le passé. Hors superman est un surhomme de demain, il doit donc regarder vers la droite.
Bolland, qui a aussi dessiné une illustration pour le Superman #400, ne serait peut-être pas tout à fait d’accord avec toi !
Jim
Il regarde les 399 derniers épisodes. Et il a l’air de faire la gueule en les voyant.
Wonder Woman par Brian Bolland.
Jim
Wonder Woman par Steve McNiven :
Et Wonder Girl :
Jim
Jim a déjà posté la couverture du Wonder Woman #300 par Ed Hannigam et Dick Giordano.
C’est dans ce numéro qu’a lieu la fameuse rencontre entre la Wonder Woman de Terre 1 et celle de Terre 2, plus précisément dans la 2ème histoire de ce numéro, intitulée My Sister, My Self!, avec au scénario Roy et Danette Thomas, au dessin Ross Andru, à l’encrage Dick Giordano et Carl Gafford pour les couleurs.
Aux commandes de son avion invisible dont elle a perdu le contrôle, Wonder Woman (Terre 1) voit avec surprise un lasso semblable au sien, s’enrouler autour de l’avion pour le freiner et se retrouve face à Wonder Woman (Terre 2). Elle croit que cette dernière est venu sur sa Terre, mais Wonder Woman (T2) la détrompe, c’est le contraire.
Wonder Woman (T1) pose donc le pied sur Terre 2 et se rend au domicile de son homologue où elle fait la connaissance de celui qui est devenu son mari, Steve Trevor, et l’on s’aperçoit que le temps a passé puisque c’est un Steve dans la soixantaine qu’elle rencontre.
En visitant la maison de son double, Wonder Woman (T1) fait la connaissance de la fille de Steve et Diana, Hippolyta, surnomée Lyta, et tout ce petit monde se retrouve à table.
C’est l’heure du départ et les deux « soeurs » échangent quelques mots avant que Wonder Woman (T1) ne reprenne le chemin de son monde.
On y apprend au passage que Wonder Woman Terre 2 n’est plus immortelle.
Dans ce même numéro on retrouve The Queen Is Dead! Long Live the Queen! (scénaristes Roy et Danette Thomas, dessin par Jan Duursema, encrage par Tom Mandrake et couleurs par Carl Gafford), une histoire où Diana, bien qu’ayant gagné le concours face à son amie Mala pour ramener Steve chez lui, restera sur son île. Sa mère Hippolyte ne veut pas qu’elle parte, et préfère mourir pour l’en empêcher, faisant ainsi de Diana la nouvelle reine de l’île, et de Mala la nouvelle Wonder Woman.
Mais ce n’était qu’un rêve, et une fois revenue à la réalité, Diana s’interroge sur ce qui aurait pu être. En racontant l’histoire à sa mère, cette dernière lui révèle qu’elle a effectivement pensé à cette solution mais y a finalement renoncé.
Toujours dans ce numéro, dans l’histoire intitulée …Let No Superman Put Asunder! (Scénaristes Roy et Danette Thomas, dessin et encrage par Rich Buckler et couleurs toujours par Carl Gafford) , Wonder Woman fait un autre rêve, et dans celui-ci elle épouse Superman !
Ici, ce n’est pas Steve qui s’écrase sur Paradise Island, mais Superman. Le concours est organisé et Diana victorieuse devient Wonder Woman (en créant elle-même son costume en s’inspirant de celui de Superman). Kal-El propose à Diana de l’épouser, elle accepte et l’accompagne dans le monde des hommes.
Leur vie à deux commence, mais elle est dominée par leur « travail ». La protection du monde prend le pas sur leur vie de couple, et ce qui devait arriver arrive, ils décident de se séparer, cette vie n’étant pas celle à laquelle l’un et l’autre rêvaient.
Revenant à la réalité, Wonder Woman est encore une fois secouée et de retour sur son île c’est auprès de Steve qu’elle cherchera du réconfort.
Ah là là, Andru et Giordano, c’est tout de même impérial.
Jim