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Jim
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Jim
Magnifique. Merci Jim.
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Du genre qu’on n’est pas prêts de revoir, vu qu’on y trouve des personnages venus de deux catalogues différents.
Jim
Et la couverture du deuxième recueil :
Jim
La Ligue et la Société, par George Pérez. On est en 1981, avant Crisis donc, et cela nous donne le droit à une double ration de Wonder Woman :
Jim
La Ligue et la Société par Carlos Pacheco, à la fin des années 1990 (donc avec une seule Wonder Woman) :
Jim
Wonder Woman par Phil Noto :
Wonder Woman et Batman :
Jim
Wonder Woman par Aaron Lopresti :
Artemis :
Wonder Girl :
Jim
Wonder Woman par Bruce Timm (en noir & blanc) :
Jim
Wonder Woman par Bruce Timm (en couleurs) :
Et une petite Wonder Girl pour la route :
Jim
Bruce Timm a dessiné Wonder Woman, Ty Templeton a fait tout le reste. Ça donne ça :
Et voilà le dessin préliminaire de Timm :
Jim
Je découvre que Rima the Jungle Girl, qui a eu droit à sa propre série chez DC en 1974, fera quelques apparitions dans le dessin animé All New Super Friends Hour, comme le prouve ce carton de début d’épisode :
Jim
Une petite sélection de dessins de Darwyn Cooke :
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Ça dépend (catalogue de cette année… Bon, OK, ils sont sur la même page, mais pas dans la même case, c’est vrai… On doit pouvoir en trouver de plus probantes) :
Tori.
Au milieu des années 1990, les éditions du Fleuve Noir publient une collection de livres consacrés à des super-héros DC. Wonder Woman compte dans le lot, et aura droit à deux tomes, Les Rives du matin et Le Djinn.
En fait, il s’agit de la version française d’un recueil de nouvelle supervisé par Martin H. Greenberg, The Further Adventures of Wonder Woman, publié en 1993 aux États-Unis chez Spectra. Fleuve Noir a décidé de couper le sommaire en deux et de le publier en deux tomes dans la version française, méthode également adoptée pour The Further Adventures of Superman (dont j’ai la VO en un tome et la VF en deux tomes, ce qui m’a permis de vérifier).
Je n’ai que le deuxième tome, pour ma part, et je crois avoir lu une ou deux nouvelles dans les années suivant sa publication, lecture qui m’a laissé l’impression que les super-héros en prose, c’est pas ça. Mais il faudrait que je replonge dedans pour être sûr.
Ah, dernier point : Fleuve Noir reprenant la couverture américaine pour le premier volet de ses différents diptyques, l’éditeur a commandité de nouvelles illustrations pour les tomes 2, à un illustrateur français dont il va falloir que je vérifie le nom avant de faire un ajout à ce poste.
Jim
Superman contre Wonder Woman : le fameux duel, qui a fait l’objet d’une publication en format géant aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour arriver chez Sagédition, dans un format géant également.
Le dessinateur, José Luis Garcia-Lopez, dit avoir été impressionné par la perspective d’illustrer cette histoire, dans un format géant, ce qui représentait un défi. Mais également, dans son esprit, il y a l’ombre du premier Superman / Spider-Man, dessiné par l’une de ses idoles, Ross Andru. Pour lui, cela revenait à se mesurer à celui qu’il considérait comme une influence incontournable.
L’histoire se déroule durant la Seconde Guerre mondiale, et les deux héros doivent affronter des menaces qui pèsent d’abord sur l’Amérique avant de s’élargir à la Terre entière (une double page donne d’ailleurs le ton). Ils sont opposés à des ennemis représentant l’axe (« le Baron et le Samourai », pour reprendre l’un des titres de chapitre).
L’intrigue tissée par Conway permet de faire se battre les héros puis de les lancer dans des missions séparées afin qu’aucun n’éclipse l’autre.
Sacré souvenir de lecture que cet album à la couverture souple. Le format agrandi permettra d’éviter les traductions parfois elliptiques (et maladroites) de l’éditeur (c’était le cas aussi pour la rencontre entre le protecteur de Metropolis et le Tisseur de Toile : les grands formats sont pas trop mal traduits), malgré quelques tournures bizarres et l’absence de finesse caractéristiques de l’éditeur.
Graphiquement, c’est très bon, même si l’encrage parfois trop fin de Dan Adkins ne convient pas toujours à l’énergie du dessinateur. Reste une mise en scène élégante, des personnages crédibles et des doubles pages de première bourre.
Jim
C’est ça, merci !
Le bouquin n’est pas dans la même pièce, et j’avais la flemme d’aller vérifier.
Remarquons que son illustration du Djinn est fortement inspirée de la couverture de Wonder Woman #72, dessinée par Brian Bolland. Le fascicule est daté de mars 1993, il a dû donc sortir vers décembre 1992, et se trouvait par conséquent complètement disponible au moment où l’illustrateur a travaillé.
Jim