1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

La formule utilisée pour la datation change : parfois ils mettent les deux mois, parfois ils ne marquent que le dernier mois de la période concernée. Ici, c’est novembre en couverture, mais octobre-novembre en page de sommaire.

Et avec le décalage entre les dates affichées (annonçant le mois où les kiosquiers retournent les invendus) et les dates de mise en place réelle, je pense que c’était le Wonder Woman #216 en rayon, au moment de ta naissance.

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Très chouette couverture de Nick Cardy.

Jim

Allez je joue aussi au numéro du mois de ma naissance.
Comme Jim, j’ai droit à la période Diana Prince, avec le Wonder Woman #193.

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Chouette épisode aussi.

Jim

Il est effectivement sorti le 14 novembre 1974.

Pour moi, celui daté de mon mois de naissance :

Et celui qui était dans les kiosques quand je suis né (sorti la veille de ma naissance) :

Tori.

Ah, le début de la période Terre-2 !

Jim

Et (si j’ai bien compris les dates), spécial dédicace à @n.n.nemo, né en octobre 1978 :

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Jim

5 mois avant la date de couverture ? Moi qui pensais que c’était surtout deux ou trois mois…

WW 256 pour ma part. Levitz et Delbo. Une histoire de rebelote si je comprends bien … (Pas vu la couverture).

Sourire

Merci

Ça, c’est pour les mensuels… Pour les bimestriels, c’est apparemment multiplié par 2 !

Tori.

Oh, mon mois de naissance est plutôt une jolie date :

Pour les bimestriels, c’est sans doute plus compliqué. Ou bien ça autorisait une marge plus grande pour les retours.
D’autant que les comics des années 1970 souffraient notoirement de retards à répétition, ce qui ne devait pas arranger la logistique.

Jim

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Je viens de parcourir rapidement : pas lu.
Tiens, je le lirai à l’occasion.

Jim

Ça a l’air sérieux, dis donc.

Tout simplement.
On peut comprendre que dans ces décennies-là, ils n’hésitent pas à adopter cette périodicité : plus longtemps en rayon, ça signifie une petite poussée des ventes qui permettent de rendre le titre rentable.

Jim

Pas mal !

Jim

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Visiblement, c’est un récit d’un seul tenant. Ce qui m’a permis de découvrir que Paul Levitz a donc fait l’intérim entre Jack C. Harris et Gerry Conway, et que l’histoire courant des #159 à 161 (où Diana « goes berserk ») constituait la rampe de lancement du travail de ce dernier. Alors que je pensais qu’on était en milieu de prestation.

Jim

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Jim

Supposition : pour paraître plus cool/edgy ?

Si Deodato avait su lire correctement l’anglais à l’époque (et donc les scénarios) je suis sûr que ça aurait donné un truc vraiment intéressant. Hélas, ça sent le bâclage et le rattrapage aux branches éditoriales.
Mais c’était encore bien joli, quand même.

Jim