WW 256 pour ma part. Levitz et Delbo. Une histoire de rebelote si je comprends bien … (Pas vu la couverture).
Sourire
Merci
Ça, c’est pour les mensuels… Pour les bimestriels, c’est apparemment multiplié par 2 !
Tori.
Oh, mon mois de naissance est plutôt une jolie date :
Pour les bimestriels, c’est sans doute plus compliqué. Ou bien ça autorisait une marge plus grande pour les retours.
D’autant que les comics des années 1970 souffraient notoirement de retards à répétition, ce qui ne devait pas arranger la logistique.
Jim
Je viens de parcourir rapidement : pas lu.
Tiens, je le lirai à l’occasion.
Jim
Ça a l’air sérieux, dis donc.
Tout simplement.
On peut comprendre que dans ces décennies-là, ils n’hésitent pas à adopter cette périodicité : plus longtemps en rayon, ça signifie une petite poussée des ventes qui permettent de rendre le titre rentable.
Jim
Pas mal !
Jim
Visiblement, c’est un récit d’un seul tenant. Ce qui m’a permis de découvrir que Paul Levitz a donc fait l’intérim entre Jack C. Harris et Gerry Conway, et que l’histoire courant des #159 à 161 (où Diana « goes berserk ») constituait la rampe de lancement du travail de ce dernier. Alors que je pensais qu’on était en milieu de prestation.
Jim
Jim
Supposition : pour paraître plus cool/edgy ?
Si Deodato avait su lire correctement l’anglais à l’époque (et donc les scénarios) je suis sûr que ça aurait donné un truc vraiment intéressant. Hélas, ça sent le bâclage et le rattrapage aux branches éditoriales.
Mais c’était encore bien joli, quand même.
Jim
Au moins il fait preuve d’auto-dérision (c’est déjà ça).
Well, the Thor design is my fault only — I take the blame [laughs] . In my defense: it was the 90s, people — it was the 90s! Everybody looked ridiculous back then! if you weren’t ten years old back then, if you were older, you were ridiculous. You were wearing those big shoulders, that hair that looked like an animal in front of your head and those colors like lemon yellow and everything was too much. Everything was ridiculous, so why not Thor? Why? [laughs] Because he’s a god? That’s my defense.
But you know if there is a list of worst uniforms in the history, my Thor design is there. The other characters, like the Wasp — I think it was Joe Madureira who created them. People think it was me but I would have made them even worse [laughs] .
https://comicartistevolution.tumblr.com/tagged/mike_deodato_jr./chrono
Le truc qui est dommage avec ses deux collaborations avec Bill Messner-Loeb, c’est qu’à chaque fois le scénariste (qui manque de pot, sur ces coups-là, faut dire) lance de super idées, notamment autour du thème qu’il affectionne, celui de la rédemption, et qu’à chaque fois, il se retrouve avec un dessinateur en roue libre et un environnement éditorial qui ne lui est pas favorable (pour Wonder Woman, l’arrivée de Byrne, pour Thor, la relance des séries Vengeurs). Dans les deux cas, on sent qu’il est plus ou moins obligé de tasser ses idées et de boucler ses subplots plus vite que de raison.
Jim
Pauvre Enchanteresse (la façon dont elle est dégagé du casting vers le #500, c’est assez abrupte).
Un peu pressé, sur ce coup-là, Carmine !
Jim
Complètement. Il a pris le temps de l’installer, de rendre crédible cette relation, et paf, évacuée. Certes reprise par DeFalco dans la version « Journey Into Mystery », mais quand même.
C’est un peu la même chanson pour le White Magician dans Wonder Woman. On sent qu’on pourrait aller quelque part, ou que la conclusion pourrait être épique. Mais en fait c’est rapidement évacué. Et ça donne un résultat assez bof.
Jim
Wonder Woman par George Tuska :
Jim