Y a de bien jolis dessins là-dedans ! Je serais curieux d’avoir le nom des auteurs !
Une Wonder Woman pas commode par Paul Pope :
Et par Tanino Liberatore :
Un article dans Ouest-France, consacré au boulot des auteurs durant le deuxième confinement et l’après…
Avec des vrais morceaux de Wonder Woman dedans !
Jim
Wonder Woman par Jason Ratliff :
Jim
Wonder Woman par Laurent Zimny :
Jim
Faudrait que tu nous précises qui sont les auteurs. Je crois reconnaître le style et la signature de Phil Briones et de Nicola Scott, peut-être Goran Sudzuka, mais les autres…
Jim
Ce qui est marrant, c’est que c’est présenté de manière à bien insister sur le fait qu’il y a une poupée pour tout le monde : Steve Trevor pour le garçon (le « damoiseau en détresse » : « Wonder Woman, help me ! »), Nubia pour la petite fille de couleur…
Une pub d’une autre époque, héhé…
Allez, une autre :
Et une dernière pour la route (avec la musique de la série télé) :
Jim
Garde-robe !
La série télé a été l’occasion d’inaugurer quelques costumes rigolos, que certains préféreraient peut-être oublier, mais qui ont un charme rétro-kitsch succulent.
Bon, la cape, ça passe encore (de toutes façons, Lynda Carter, tu lui mets une serpillière sur les épaules, elle porte ça comme une reine) :
Y a pire. Genre, la tenue de plongée :
L’équipement de skate-board :
La tenue de moto :
Ou encore le masque doré :
Jim
Deodato Jr (1994) :
Même encore maintenant, une classe folle.
Complètement.
En directrice d’école dans Sky High (oui, le film a déjà quinze ans, je sais), elle est juste wahou (comme diraient les jeunes).
Jim
Hum … Des jeunes de quand ?
Même encore aujourd’hui, mais j’en dis déjà trop.
Moi qui suis sensible au charme de la maturité…
Jim
Les Wonder Women alternatives, chapitre 3 : Warrior Woman
« Superman » veut dire « Surhomme ». En allemand, cela se dit « Übermensch ». Le thème du surhomme chez les Nazis est palpable aussi dans l’idée de la « race des maîtres », ou « race des seigneurs », la fameuse « Master Race » dont Bernie Krigstein a tiré une BD émouvante chez EC, dans le premier numéro d’Impact.
Tout ceci cumulé, il est donc naturel que, lorsque Master Man, l’un des ennemis des Envahisseurs, fait son apparition dans la série Invaders de Roy Thomas (précisément dans le Giant-Size Invaders #1 daté de juin 1975), on y voit un décalque amusé de Superman, en plus d’une réflexion sur le thème de l’être supérieur (réflexion à sa place dans une série présentant des super-héros en pleine Seconde Guerre mondiale).
Master Man ne tarde pas à trouver son double féminin, plus précisément dans Invaders #16, daté de mai 1977.
La cruelle espionne Julia Koenig profite d’expériences « d’améliorations » de l’être humain et acquiert des pouvoirs surhumains. Elle figure au centre de la couverture de l’épisode 17, dessinée par Gil Kane.
En plus de ses initiales, WW, la méchante est brune comme Wonder Woman, visiblement peu encline à fréquenter de trop près la gent masculine (Master Man est disposé à procréer une race de surhomme, mais son équipière semble révulsée à l’idée) ce qui, dans l’esprit du scénariste Roy Thomas, en fait peut-être une sorte d’Amazone, et elle se sert d’un fouet comme l’héroïne de DC de son lasso (au demeurant, Julia Koenig cherche à faire avouer la vérité à son prisonnier, un soldat également auteur de comics dont elle suppose qu’il est au courant de certaines choses).
Non contente de figurer dans une histoire en plusieurs parties, rondement menées, et de jeter Captain America depuis les remparts du château (ce n’est pas donné à tout le monde), elle refera quelques apparitions dans la série, sera profondément associée à cette partie de la chronologie de l’univers Marvel, et fera, sous une forme ou sous une autre, des apparitions, notamment dans la série Namor de John Byrne.
Jim
Pour plus d’informations sur les épisodes avec Warrior Woman, entre autres :
Wonder Woman par Paul Smith :
Wonder Girl :
Et la « Trinité DC » :
Jim
Wonder Woman par Jean-Jacques Dzialowski :
Jim
Wonder Woman par le regretté Mike Wieringo :
Jim