Un aperçu des « tatouages » édités par Topps au verso des emballages de chewing-gums, en 1967.
Les emballages proposent une couleur différente par personnage, Wonder Woman étant en bleu.
Jim
Un aperçu des « tatouages » édités par Topps au verso des emballages de chewing-gums, en 1967.
Les emballages proposent une couleur différente par personnage, Wonder Woman étant en bleu.
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En 1969, la société Fleer édite des tatouages comparables dans les paquets de chewing-gums.
Cette fois, le tatouage en décalcomanie ne se trouve pas à l’intérieur de l’emballage mais sur une feuille distincte emballé avec la friandise.
Les personnages de la Ligue sont assemblés, avec une mise à jour puisque Hawkman est présent, par exemple. Et bien sûr, nous retrouvons notre Amazone.
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L’année suivante, donc en 1975, Wonder Bread réitère l’opération. Mais plutôt qu’une illustration flanquée d’une mini BD au dos, la marque de viennoiseries industrielles opte pour des cartes au format similaire, mais présentant un jeu, souvent un labyrinthe. L’opération concerne deux types de personnages Warner : les héros DC et les personnages des Looney Tunes. Rappelons que le cartoon Super Friends remporte, depuis septembre 1973, un vif succès à la télévision, rendant populaires ces personnages auprès des jeunes.
Wonder Woman apparaît dans sa carte dédiée, mais également dans une autre, aux côtés de Batman, Robin et Superman.
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La lampe de poche Wonder Woman, fabriquée par Nasta en 1974 :
En pleine période Super Friends, là encore.
On notera que, quand la mode sera passée, le nom restera mais le style graphique employé sera plus proche des comic books, à l’exemple de cette lampes de poche produites en 1980.
Et en 1984, on retrouve l’appellation « Super Powers », en lien avec la série de bande dessinée et la collection de poupées produite par Kenner. Le style graphique est plus réaliste (sans doute un travail de Garcia-Lopez).
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Le jouet Wonder Woman issue de la ligne Super Powers produite par Kenner en 1984 :
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Livre de coloriage Super Friends, édité par Whitman en 1975.
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Lunettes de soleil Wonder Woman, produites par Nasta en 1976 :
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Jeu de cartes Wonder Woman, produit par Nasta en 1980-1981 :
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Inspiré du pachisi indien, le jeu du parcheesi est très populaire en Amérique. Il s’apparente assez vaguement au jeu des petits chevaux chez nous. Il se joue d’ordinaire à quatre personnes. Nasta en a édité en 1980 une version où les quatre joueurs peuvent endosser les couleurs de Batman, Robin, Superman et, bien sûr, Wonder Woman.
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Catalogue du fabricant de jouets Nasta, en 1977 :
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Dansons avec les Super Amis !
Disque sorti par Warner Records en 1978, ambiance disco.
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En 1977, Russell sort une gamme de cartes à jouer accompagnées de feutres, à l’effigie des super-héros DC. Wonder Woman a droit à sa version.
(Bon, j’ai vu quelques images de celui de Batman, et les cartes semblent déjà en couleurs, dont je ne sais pas trop à quoi servent les crayons, peut-être à colorier les propres dessins des enfants, ou à noter les points de chacun des joueurs de la partie de cartes…)
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En 1977 toujours, Russell sort un jeu de cartes pour le rami, sous un packaging voisin de celui qui précède :
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Wonder Woman par Al Milgrom :
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Wonder Woman par Rick Leonardi :
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Wonder Woman par Dave Ross :
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Pin-up de Wonder Woman par P. Craig Russell, dans Wonder Woman #50 :
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Wonder Woman par Jerry Ordway :
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Wonder Woman et la Société de Justice, par Carmine Infantino et Jerry Ordway :
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Wonder Woman par Mike Vosburg :
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