Inspiré de la baigneuse assise de William Bouguereau :
Tori.
Allez, une autre fournée de dessins de José Luis Garcia-Lopez, parce qu’on ne s’en lasse jamais :
Jim
Les héros DC vus par José Luis Garcia-Lopez, image promotionnelle, 1985 :
Jim
Comme dirait Monsieur Lainé : un style élégant.
Spéciale machistes : paillasson Wonder Woman :
Je rassure les féministes (et Soyouz), on peut aussi se frotter les godasses sur Superman :
Jim
Wonder Woman par Bryan Hitch :
Recherche pour la couverture de JLA: Heaven’s Ladder :
Jim
Wonder Woman par Ivan Reis :
Superman et Wonder Woman par Ivan Reis :
La « trinité DC » par Ivan Reis :
Recherche d’Ivan Reis en prévision d’une statue :
Jim
Il y a aussi Batman :
Tori.
Jim
Décès de la Reine Hippolyte (sur le petit écran…) :
Et puisque l’on parle d’Hippolyte, le jouet Mego à son effigie, en 1976 :
Jim
Les posts de Marko sur le sujet consacré aux FF m’ont amené à découvrir ça :
Jim
Dans The All New Batman: The Brave and the Bold #4 (adaptation d’une série animée où Batman faisait équipe avec tous les héros DC à chaque épisode), Wonder Woman épouse Batman !
Dans ce récit de Sholly Fisch illustré par Rick Burchett, les deux justiciers arrêtent les criminels main dans la main, étalant leur amour au grand jour, sous l’effet d’une flèche tirée par Eros.
La perspective d’un mariage imminent est l’occasion de scènes amusantes qui laissent le lecteur imaginer la vie du couple, mais elle éveille aussi soit la jalousie soit le sentiment de vengeance dans le petit cœur racorni des super-vilains.
Selon la tradition propre aux comics de super-héros, le mariage est donc un grand événement, qui est l’occasion d’une grosse baston entre tous les ennemis des deux héros et tous les alliés de la Ligue.
À la fin de ce pugilat, Aphrodite apparaît, sermonnant Eros à qui elle explique qu’on ne force pas les gens à s’aimer.
Cependant, les héros avaient devancé la déesse, et Batman s’était servi du lasso de vérité de son équipière afin de faire ressortir ses vrais sentiments (d’amitié) et de déjouer le sort d’Eros. Leur but était en réalité de forcer les super-vilains à sortir de leur tanière afin d’opérer un grand coup de filet. Opération réussie.
Car au final, Batman n’a qu’une maîtresse : la justice.
Jim
Sacré Batman. Il couche pas inutilement
Tiens, tiens, ne serait-ce pas là un des marronniers du forum ?
Avec George Perez aussi pour les 80’s, non ?
Merci pour ce lien (ou pas, ça va me faire une excuse pour ne pas avancer dans mes copies à corriger !), c’est vraiment de toute beauté !
Marvel a-t-il eu un équivalent ? J’ai l’impression que non, puisque dans l’épisode consacré aux jouets de la série documentaire Marvel 616 une créatrice montre qu’elle utilise comme modèle et sources d’information le bon vieux Handbook des années 80 !
L’Uncle Sam me fait beaucoup pensé au style de Neal Adams de ces dernières années.
Voir du monde des fans de comics.
Je t’en prie, c’est avec plaisir !
C’est la réponse que j’allais te faire : le Marvel from A to Z.
Mais peut-être que quelque chose m’échappe, que j’oublie un truc. Je ne crois pas.
Jim
Ils montrent bien la version des Official Handbooks que tout le monde connaît.
Tu oublies un usage essentiel qui n’existait absolument pas à l’époque : de superbes fonds d’écrans !
On trouve d’ailleurs quelques créations étonnantes dans l’ouvrage de José Garcia Lopes :
Ces Super Jrs sont-ils des créations de l’artiste pour l’occasion, où on les a vu ailleurs avant (ou même après) ?
D’ailleurs en parlant de l’influence du DC Comics Style Guide, suis-je le seul à voir une forte parenté ici :
Je crois qu’on les a vus ailleurs, il me semble en avoir parlé dans mon ancienne rubrique, faut que je retrouve ça…
Jim