1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

Oui, c’est l’époque où elle se transforme via son lasso, et en tant que Diana Prince, elle n’a pas de bracelets.
Une autre planche du #307 où on la voit se changer

C’est apparu dans le Wonder Woman #212 en mars 1974 (même si par la suite on a eu aussi le changement ressemblant à la première version « slow motion » de la Série TV puis à la 2ème version « tournoyante »), le 1er numéro des fameux « Twelve Labors » qu’elle doit accomplir pour réintégrer la Justice League.

Oui, j’ai le Hercule 10 d’Artima à portée de la main, dans lequel il y a ce numéro (la page que tu as mise y est d’ailleurs coupée en deux)…
Mais, du coup, c’est une illusion d’optique, qui la fait apparaître aux yeux des gens en tant que Diana Prince ?
Parce que si ça lui enlève réellement les bracelets, ça pose problème… ~___^

Tori.

Ca je ne sais plus, je ne me souviens plus si j’ai lu une explication ou pas, il y a tellement de variantes avec le temps.^^’

Fan-film :

Ah oui, je me souviens de l’avoir vu, ça.

Dans le genre, j’ai une préférence pour celui-ci :

Je ne suis pas fan de la réalisation.

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Pub !

VIDEO GAME :

Wonde Woman fait partie des personnages jouables du jeu Justice League Heroes sorti en 2006.

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Au sujet de Dorothy Woolfolk, éditrice de comics, également scénariste, dont la légende veut qu’elle ait participé à la création de la Kryptonite :

Jim

Musique !

Ramona Silver - Wonder Woman

Dans Wonder Woman #188, Mike Sekowsky ajoute à son chapitre consacré à la trilogie de Cyber (où I Ching retrouve sa maléfique fille Lu Shan) une petite histoire de deux pages intitulée « Crime Does Not Pay! » qui, sous ses allures de petit récit anecdotique, confine au règlement de comptes.

Tout commence alors que Diana Prince fait des courses dans un grand magasin, au rayon parfums pour hommes. Mais un pickpocket sévit et subtilise son sac… avant d’être prestement rattrapé par l’héroïne, qui arrête le voleur devant tous les clients. Elle passe pour une courageuse visiteuse…

… jusqu’à ce qu’une autre cliente s’en prenne à elle. On comprend qu’il s’agit d’une complice du premier détrousseur, puis on découvre qu’il s’agit en fait d’un travesti, recourant à ce subterfuge afin d’approcher plus facilement des victimes qu’il déleste. La police arrive et s’empresse de passer les menottes au redoutable « Creepy Caniguh », un voleur à la tire bien connu de leurs services. Et quand on y regarde de plus près, on voit bien que Sekowsky a donné au voleur les traits de Robert Kanigher.

La volonté de Mike Sekowsky de s’émanciper du modèle Kanigher en donnant à l’héroïne une plus grande profondeur, des aventures modernes loin de la mièvrerie fadasse des années précédentes, et en l’imposant comme une figure féminine émancipée digne d’être un modèle (bref, en revenant aux sources moultoniennes), se teinte ici d’une volonté évidente de prendre position contre Kanigher lui-même. La série devient ici, clairement, le terrain d’opération d’une guerre éditoriale qui n’a pas fini de faire des vagues.

L’affaire est évoquée ici.

Jim

1 « J'aime »

Ça y est, on a dépassé les cent mises à jour de l’index (premier post).

Jim

Tiens, ils ne font pas partie du titre spécial Asie de DC, tous les deux ?

Tori.

Mike Sekowsky dessine d’après modèle pour la série Wonder Woman. La mannequin s’appelle Joyce Miller.

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D’après Scott Shaw!, il s’agit d’une mise en scène organisée par DC, dans le cadre d’une campagne publicitaire.

C’est la même, qui chante ça ?

Tori.

Je ne sais pas.
Je n’ai pas l’impression, mais je n’ai pas encore trouvé d’information claire.

Jim

Le visage ressemble, et c’est la même époque… Le doute est permis.

Tori.