Gamin,ce personnage me fascinait.
Walt Simonson :
Dante Bastianoni :
Dangereuses visions ! Pour les premiers pas vo, un incontournable.
J’adorais cette pub.
Et j’étais client, par correspondance, de la librairie.
Jim
Comme in paquet d entre nous.
J ai commencé la vo avec la pub pour album dans le usa mag coyv du joker de souriez.
Je reçois 2 mois de comics avec cap 350-351, thor 400 et pour min pote les 3 1ers batman avec many death of batman et les detective de Sam hamm…
Album nous envoie ensuite chez DV ou je suis resté jusqu a la fin même si entre-temps j ai découvert klaatu puis l antre ds dragons à bordeaux
John Byrne :
Karl Altstaetter :
Et si Stan Lee y connaissait quelque chose en science ? (plutôt que d’utiliser du « techno-blabla ») par Ty Templeton :
Lee & Kirby :
(extrait du one-shot Fantastic Four - The Legend, 1996)
Sue Richards et Namor par Ron Frenz :
Jim
« Et si les FF avaient continués leur carrière au cinéma (après FF #9) ? » (What The #26, été 1993) par Manny Galan…et Dan Slott !
BOOKS OF DOOM :
Les origines et l’histoire des héros et vilains Marvel sont régulièrement remaniées pour les adapter à l’époque et à la notion particulière du temps dans les comics. Le Docteur Fatalis, l’ennemi juré des 4 Fantastiques, a eu droit à ce traitement dans une mini-série intitulée Books of Doom ( Le Livre de Fatalis en V.F. dans les pages du dernier numéro de la revue Marvel Mega ) et publiée aux Etats-Unis entre janvier et juin 2006. Le scénariste de cette histoire est Ed Brubaker, alors nouvelle valeur sure de Marvel pour sa reprise de la série Captain America , et le dessinateur est Pablo Raimondi, qui a signé un travail de qualité, aussi bien au niveau des décors que de la personnification de Victor Von Fatalis à travers les âges. Le titre ne manque pas de scènes marquantes visuellement parlant, renforcée par la petite astuce qui est de représenter le Fatalis du présent dans les flashbacks afin d’appuyer l’impact de ses commentaires.
Dans Books of Doom , Ed Brubaker s’est livré à un passage en revue exhaustif des étapes importantes la vie de Fatalis, du petit garçon qui perdit une mère sorcière qu’il aimait tant au souverain en armure qui a pris le pouvoir par la force. Les éléments déjà connus sont étendus grâce aux apports de Brubaker, développant notamment les raisons qui ont poussé Fatalis à étudier en Amérique et la longue initiation qui a fait de lui le vilain en armure. La narration est solide et le scénariste a su trouver la « voix » juste pour retranscrire les différentes facettes de la personnalité de cet être fascinant qui combine à la fois génie scientifique et croyances surnaturelles.
Books of Doom a été compilé en album aux Etats-Unis sous le titre Fantastic Four : Books of Doom. Pourtant, on y voit peu ceux qui allaient devenir les F.F., juste Reed Richards et brièvement Ben Grimm dans les scènes se déroulant à l’université. Le mépris de Fatalis envers Reed s’exprime déjà mais Brubaker change là un petit détail précédant la fameuse expérience qui laissa le Latvérien défiguré. L’insert de plans apparemment tournés en vidéo se chevauchent et montrent que d’autres points de vue sont apportés. Ceci amène la révélation finale et un possible nouveau regard sur ce qui a précédé.
Est-ce que le récit raconté était strictement fidèle à ce qui s’est passé ? Après tout, construire sa propre légende, entretenir le doute, tout cela fait partie intégrante du livre de la vie de Victor Von Fatalis…
Paul Gulacy (qui fête ses 68 ans aujourd’hui) avec la 4ème de couv’ de Marvel Comics Presents #68 :
(What the #26)
Dave Gibbons :
pages 50 and 51 from Ultimate Spider-Man Super Special #1 by Dave Gibbons, Digital Chameleon, Brian Michael Bendis and Chris Eliopoulis
Wieringo :