Extrait d’une planche originale de Frank Miller pour Marvel Team-Up #100 (numéro marquant les débuts de la jeune Karma ainsi qu’un back-up par Claremont/Byrne avec les prémisses de la romance entre Ororo et T’Challa), colorisé par Steve « Akira » Oliff (un crime de lèse-majesté pour les collectionneurs).
La colorisation originale de cette case à titre de comparaison :
(What the…?! #7, 1990)
(What the…?! #12, 1991)
Tu peux faire ça sur toutes les planches de Lug …
C’est pas faux…
Natacha Bustos :
Que c’est meugnon !
Rurik Tyler (What the…?! #15) :
(What the…?! #24)
Couverture de What the…?! #13 par John Byrne :
Tu t es trompé de topic, c est pour le sexy one.
Dan Panosian :
WHAT IF…? #6
Observer les êtres et les choses, sans jamais tenter d’intervenir, telle est l’unique fonction du Gardien !
Le #6 de la première série Et si ? débute de manière classique. Uatu le Gardien était en ce temps-là le narrateur régulier du comic-book , sa fonction étant de décrire un événement historique (ou pas, il y a aussi des bases plus anecdotiques) de l’univers Marvel (ici le jour fatidique du vol expérimental qui a donné naissance aux 4 Fantastiques ) avant d’introduire un point de divergence et d’en raconter les conséquences. Dans ce sixième épisode, le scénariste Roy Thomas a donc imaginé ce qui serait arrivé si les Fantastiques avaient eu d’autres pouvoirs.
Les capacités des F.F. sont liées aux dominantes psychologiques des membres de la Première Famille. Ainsi, Ben Grimm le pilote peut maintenant voler grâce aux ailes qui font de lui le Dragon. Comme Johnny Storm ne vivait que pour la mécanique, il est devenu un robot vivant (!), le Mandroïde. Sue Storm hérite de l’élasticité de Mr Fantastic, elle dont la personnalité est souple et s’adapte à toutes les situations. Et Reed Richards est littéralement devenu un Grand Cerveau !
Je n’ai pas lu beaucoup d’épisodes de la série What if de 1977 (et Lug n’en a pas non plus traduit beaucoup, 19 numéros sur 47) et sur ceux que j’ai dans la revue Spidey , celui-là ne vole pas très haut. Mais si l’ensemble est inégal (et la partie graphique signée Jim Craig un peu faiblarde), le récit est tout de même assez divertissant, avec quelques bonnes scènes dans la deuxième moitié (après une exposition un poil trop longue) et un final qui réinvente la place du Docteur Fatalis dans l’univers des 4 Fantastiques.
M’en souviens même pas de celui-ci.
C’était dans Spidey 35 et 36 et dans l’album Panini récent.
J’ai les deux Spidey dans un album relié et quand je les ressort de la bibli pour relire un de ces vieux épisodes, j’aime bien feuilleter le truc et jeter un oeil dans le courrier des lecteurs par exemple. Et dans le Spidey 34, il y a une lettre d’un certain Frank Biancarelli (qui devait avoir 15 ans) qui parle de la série Photonik. Et d’ailleurs, les deux lecteurs publiés avouaient n’acheter Spidey que pour Photonik…^^