L’encrage est magnifique, ici, on dirait du John Paul Leon. Complètement lâché, j’adore.
Jim
L’encrage est magnifique, ici, on dirait du John Paul Leon. Complètement lâché, j’adore.
Jim
Title: Fantastic Four #285 Title: Superman v2 #8 Publisher: Marvel Comics Publisher: DC Comics Cover date: 1982 Cover date: 1987 Artist: John Byrne Artist: John Byrne
Title: Ultraforce v2 #12 Title: Ultraforce #117 Publisher: Malibu Comics Publisher: Marvel Comics Cover date: 1996 Cover date: 1998 Artist: Mike Deodato Jr. Artist: John Cassaday
Title: Box Office Poison Kolor Karnival #1 Title: Hyper·Actives #4 Publisher: Antarctic Press Publisher: Alias Enterprises Cover date: 1999 Cover date: 2006 Artist: Alex Robinson Artist: Clint Hilinski
Title: Trio #2 Publisher: IDW Publishing Cover date: 2012 Artist: John Byrne
AMAZING SPIDER-MAN #64 HEROES REBORN VARIANT COVER by CARLOS PACHECO (FEB210579)
Des visages Byrniens assez familiers sur cette planche de Jae Lee pour Sentry.
F.F. ANNUAL #11/MARVEL 2-IN-1 ANNUAL #1/MARVEL 2-IN-1 #20 :
La Torche fut le premier membre des 4 Fantastiques à vivre des aventures en solo dans les pages de la revue Strange Tales entre 1962 et 1965. Ce fut ensuite le tour de la Chose dans la série Marvel Two-In-One dans les années 70 et 80…même si dans ce cas précis, on ne peut pas vraiment parler d’ « aventures solo » puisque le principe de « 2-en-1 » était de réunir Ben Grimm et un héros Marvel différent à chaque numéro (sur le même modèle que Marvel Team-up pour Spider-Man).
Pour le premier annual de Marvel Two-in-One en 1976, Roy Thomas, accompagné par les frangins Buscema aux dessins, a orchestré un crossover en trois parties qui a envoyé les F.F. dans le passé, en pleine Seconde Guerre Mondiale, à la recherche d’un cylindre de vibranium qui pourrait bien influencer le cours du conflit s’il tombait entre les mains des nazis. La saga temporelle se présente ainsi : le premier chapitre dans le Fantastic Four Annual #11 , la suite dans Marvel Two-In-One #1 et le chapitre final dans Marvel Two-In-One #20 . Bon, à la relecture je me suis dit que l’ensemble aurait pu tenir dans deux annuals bien épais, surtout vu la place que prennent les récapitulatifs des événements précédents…mais je chipote…
Car l’aventure est très divertissante. Dans la partie F.F. dessinée par Big John Buscema, l’équipe au grand complet fait équipe avec les Invaders pour combattre le baron Zemo et récupérer le vibranium. Il y a le passage obligé (assez rapide ici) des deux formations qui se battent avant de se rendre compte qu’ils font partie du même camp et Roy Thomas s’amuse ensuite du passif entre les personnages (Namor craque bien entendu pour Sue) tout en s’interrogant sur les possibles paradoxes de la situation…ce qui ne dure pas longtemps car il faut laisser place à l’action.
Alors que les F.F. pensaient en avoir fini en retournant à leur époque, l’apparition du Gardien montre à Ben qu’il y a encore du boulot. Dans la partie « 2-en-1 » dessinée par Sal Buscema, la Chose est à nouveau envoyé en 1942 (mais sans ses camarades) et rencontre des héros patriotiques moins connus que Cap et compagnie, La Légion de la Liberté. Ben mène la danse avec son style inimitable (j’adore ses dialogues) et si ce second acte s’étire un chouïa trop, les rebondissements ne manquent pas. À noter un amusant clin d’oeil : à peine revenu en 1942, la Chose rencontre un sympathique petit livreur de journaux, un certain Johnny Romita alors âgé de 12 ans.
Ce crossover montre aussi les limites de l’ancrage des héros dans une époque définie. Roy Thomas mentionne plusieurs fois que Reed et Ben ont combattu pendant la Guerre. C’est quelque chose qui avait été établi par Stan Lee & Jack Kirby dans les sixties . Mais comme les dialogues appuient sur le fait que l’action du présent se déroule bien en 1976, cela pose un petit problème…car si Reed et Ben avaient environ 20 ans dans les années 40, ils ont donc déjà dépassé la cinquantaine dans leurs aventures des seventies . Ce qui explique que les origines ont été plusieurs fois remaniées par la suite pour éviter que les héros vieillissent trop vite…
FANTASTIC FOUR #176 :
La fin de Fantastic Four #175 ne représente pas le moment le plus glorieux de l’histoire de Galactus, le dévoreur de planètes s’étant choppé une indigestion carabinée (qui a eu d’étranges effets secondaires) après son dernier repas. Sans s’en rendre compte, le grand G avait boulotté Poppup, la planète de l’Homme-Impossible et ses habitants, ce qui ne semble pas émouvoir Impy et pour une bonne raison. Les Popuppiens avaient évolué en une sorte d’esprit collectif : un seul cerveau, des milliards de corps…donc tout le monde sur Poppup était Impy et Impy était tout le monde sur Poppup. Voilà pourquoi Impy a bien précisé que les Poppupiens n’ont pas besoin de noms lors de sa première apparition…ils savent bien qui ils sont !
L’extraterrestre métamorphe n’était d’ailleurs pas réapparu dans un comic-book Marvel depuis Fantastic Four #11 en 1963 (voir post #301). Stan Lee n’était pas vraiment fier de sa création et il se dit que le numéro était l’un de ceux qui s’étaient le moins bien vendu à l’époque. C’est grâce à Roy Thomas que Impy a fini par faire son retour dans les pages des comics 13 ans après…et à peine arrivé sur Terre, le petit homme vert, qui s’ennuie très facilement, part à l’aventure et tombe sur l’endroit le plus excitant de New York…les bureaux de Marvel Comics !
Roy Thomas s’inscrivait là dans la tradition de Stan & Jack, qui avaient établi dans Fantastic Four #10 (voir post #261) que les F.F. collaboraient avec Marvel pour développer des comics basés sur leurs aventures. Mais quand Impy apprend que les lecteurs n’avaient pas aimé son épisode parce qu’ils le trouvaient trop « stupide », le Poppupien s’énerve et sème le chaos dans les locaux de la Maison des Idées !
Cet épisode très amusant, bourré de private jokes et parfaitement servi par les planches très détaillées de l’excellent George Perez, a été produit parce que Roy Thomas était en retard sur ses délais et que Perez avait besoin d’un scénario à dessiner avant la saga avec les Terrifics prévue pour la suite. Thomas a donc eu l’idée de cette récréation et le résultat est vraiment réjouissant. Sont présents dans les bureaux de Marvel ce fameux jour (avec de chouettes gags et interactions) : Stan, Jack, Roy Thomas, George Perez, Joe Sinnott, John Verpoorten, Marv Wolfman, Gerry Conway, Marie Severin et Archie Goodwin.
Et vu les dégâts, ce n’est pas cette histoire qui a réconcilié Stan the Man avec l’Homme Impossible !
Quand j’ai lu cet épisode dans Nova, il y a genre trente-cinq ans ou plus, je ne me rendais pas compte de la dimension de commentaire du récit. Kirby qui conseille d’inventer des histoires, c’est tout de même énorme.
Jim
Jim
FANTASTIC FOUR ANNUAL #33 :
Quand (la moitié de) la Première Famille rencontre le clan le plus secret de l’univers Marvel…
Le Clan Destine est peut-être bien la famille la plus étrange de la Maison des Idées et elle conserve une certaine aura de mystère même après toutes ces années (leur création remonte à 1994). Cela vient certainement du fait que les apparitions des Destine sont assez rares et quasiment réservées au bon vouloir de leur créateur, le britannique Alan Davis (qui a d’ailleurs annulé rétrospectivement les quelques épisodes dont il ne s’est pas occupé dans les années 90 en les faisant passer pour un « mauvais rêve »).
Les membres du Clan Destine ont été vus pour la dernière fois dans une série de numéros annuels interconnectés concoctés par Alan Davis (avec le fidèle Mar Farmer à l’encrage et Javier Rodriguez aux couleurs) et dont le but était de revenir sur le destin tragique de Vincent, le frère maudit. L’action se déroule sur une seule nuit, commence dans Fantastic Four Annual #33 avant de se poursuivre dans les premiers annuals de Daredevil et de Wolverine. Une nuit…mais surtout une véritable montagne russe temporelle qui va faire des héros impliqués les témoins actifs de l’histoire mouvementée de Vincent Destine en commençant par la Chose et la Torche.
Le récit n’est certainement pas facile d’accès pour ceux qui n’ont jamais lu les comics du Clan Destine , mais pour ma part j’ai beaucoup aimé. C’est très bien mené (Davis s’amuse à balader les personnages et le lecteur d’une époque à l’autre), rythmé, palpitant et restituant bien le caractère dramatique de l’histoire de Vincent…et graphiquement du Alan Davis, c’est toujours l’assurance d’un plaisir visuel immense : des dessins puissants et d’une classe folle, une mise en page élégante, un découpage clair, bref un régal pour les mirettes !
Épatant.
Jim
The Origin of the Fantastic Four poster from the 1980 Coca-Cola Origin of Marvel Heroes poster series remastered by The Marvel Project. This poster was one of three in the series and featured Roger Stern’s script along with art by John Byrne and Joe Sinnott.
Joe Sinnott & John Byrne. 2003.
Mais qui a foutu du blanco sur la planche ?
the cover art for Fantastic Four, Vol. 3 # 67 was penciled by Mike Wieringo, inked by Karl Kesel, and colored by Richard Isanove. the interior artwork was lettered by Chris Eliopoulos, colored by Paul Mounts, and the story was scripted by Mark Waid.
Fantastic Four, Vol. 1 # 500 Pages 20-21 by the late, great Mike Wieringo, with Inks by Karl Kesel and Larry Stucker, Colors by Paul Mounts, Letters by Rus Wooton from Virtual Calligraphy, and Tom Brevoort Edited the Script that Mark Waid wrote.
Fantastic Four, Vol. 1 # 502 by the late, great Mike Wieringo, with Inks by Karl Kesel, and Colors by Richard Isanove.
Fantastic Four, Vol. 1 # 510 Page 04 by the late, great Mike Wieringo, with Inks by Karl Kesel, Colors by Paul Mounts, Letters by Randy Gentile, and a Script by Mark Waid.