1962-2022 : BON ANNIVERSAIRE HULK !

Nic Klein :

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Rod Reis :

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Tom Fowler :

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Walt Simonson :

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Dale Keown & Glynis Wein (1991) :

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Sublime.

A la hauteur de l’histoire

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Pour une participation obligée au proto event de l époque en plus, il me semble, non ?

Yep, pour le Défi de Thanos

Hostess Fruit Pies : The Green Thumb

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Une lecture prévue pour le trône :

Marvel Toilet Paper (1979) with an original story by Jim Salicrup and Michael Higgins

Carrément! Par contre, je pense que c’est Koewn tout seul qui assure l’encrage.

À quoi tu le reconnait ? Les traits sur les mains de Blonsky ?

L’encrage est très gras. Le traitement de l’ombre de la femme de Blonsky ne ressemble pas à ce que faisait Farmer. (les traits auraient été parallèles et plus fins par exemple). L’utilisation de la gouache pour la lumière n’était pas ce que Farmer utilisait. Et je crois que ce n’est pas la seule couverture que Dale Koewn réalisait tout seul.

C’est du coup encore plus frustrant de voir ce qu’il est devenu, et ce, dès Pitt !

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Il y en a comme ça qui sont meilleurs lorsqu ils maitrisent moins. Leurs imperfections sont plus agréables à l œil que leurs reussites.

Steve skroce dans un autre genre…

THE INCREDIBLE HULK #6 :

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Au tout début du renouveau de l’univers Marvel , le succès ne fut pas immédiatement au rendez-vous pour tous les personnages. Ainsi, les chiffres de vente de The Incredible Hulk furent rapidement jugés décevants. Le titre est alors passé par plusieurs " réaménagements" , notamment en passant à un sommaire composé de deux ou trois histoires à partir du #3 avant d’être finalement annulé après un #6 qui retrouvait la formule d’une histoire complète.

La partie graphique de ce dernier épisode a été confiée à Steve Ditko qui a également participé à l’élaboration de l’histoire. D’après une vieille interview du dessinateur de Amazing Spider-Man , il a eu le job parce que Stan Lee ne voulait plus « gaspiller Kirby sur un titre en perte de vitesse » . Il s’agit d’un épisode aussi divertissant qu’étrange dans lequel Hulk affronte un extraterrestre appelé le Maître du Métal. Ditko joue avec les transformations d’un Titan Vert de plus en plus instable au niveau psychologique, donnant ainsi des scènes savoureusement absurdes comme la vision d’un Hulk au visage de Banner obligé d’enfiler un masque pour cacher son identité.

La première série de Hulk a été annulée en janvier 1963 (date de couverture : mars 1963). Stan Lee et Jack Kirby n’en avaient bien évidemment pas fini avec le personnage puisque le colosse est apparu dans Fantastic Four #12 quasiment au même moment avant de croiser à nouveau la route de la Première Famille en 1964 dans le dyptique F.F. 25/26 . Et quelques mois plus tard, Hulk a rejoint la revue Tales to Astonish au #60, un sommaire qu’il partagea avec Giant-Man puis Sub-Mariner. Dans les premiers temps, Steve Ditko a dessiné ces courtes histoires de 10 pages avant le retour du King Kirby à partir de Tales to Astonish #68 .

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FANTASTIC FOUR #12

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Stan Lee et Jack Kirby n’ont pas connu un succès immédiat avec chacune de leurs créations. L’arrêt de la première série de l’ Incroyable Hulk au bout de six numéros en est la preuve. Mais ce premier échec a fait partie des fondations de l’univers partagé. En effet, et en ne tenant compte que des dates de couvertures (pour les véritables dates de sortie, il fallait enlever quelques mois, entre deux ou trois selon les périodes), on se rend compte que Incredible Hulk #6 a été publié en mars 1963, le même mois que Amazing Spider-Man #1 (Spidey s’invite chez les F.F.) et Fantastic Four #12 (Hulk affronte Reed, Sue, Ben et Johnny). L’univers Marvel prenait de plus en plus d’importance et les rencontres entre héros allaient se multiplier.

Pour deux épisodes d’affilée (celui-ci et le #13), le comic-book des F.F. se retrouve en pleine paranoïa anti-communistes pour des histoires pas totalement convaincantes (la peur du « rouge », ça faisait alors partie du zeitgeist mais ce n’est pas ce qui a le mieux vieilli), mais le #12 a ses bons moments, comme la description des relations entre les F.F. et l’armée (qui a bien évolué en à peine dix épisodes) et le combat final entre Hulk et la Chose, le premier d’une longue série et qui finit ici sans que l’un d’eux en sorte victorieux (ben oui puisque je vous dit que le vrai méchant, c’est l’espion communiste).

L’intrigue connaît aussi quelques faiblesses. Malgré la bonne dynamique de l’équipe, l’ensemble traîne un peu en longueur avant le dernier acte. Et il faut aussi noter une scène stupide (mais hélas bien dans le ton du traitement des personnages féminins en ce temps-là) concernant l’Invisible, qui prend peur et devient invisible à la seule vue d’une photo de Hulk…

Les Fantastiques n’attendront pas longtemps pour recroiser le chemin du Titan Vert…un deuxième round dont l’ampleur a nécessité deux épisodes. Fantastic Four #25 et 26 impliquent aussi les Avengers et je préfère d’ailleurs ces deux numéros épiques et palpitants à ce #12.

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Ouais, et y a des hachures très Jim Lee. L’un plus l’autre, c’est du meilleur effet.

Jim

Attention, ça va être violent :

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(John Romita JR dans Hulk 25)

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Size chart for the animated series, The Incredible Hulk (1996).