1962-2022 : BON ANNIVERSAIRE SPIDER-MAN !

Claudio Castellini :

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De l’album Rock Reflections of a Super Hero, Spider-Man par Marty Nelson :

Black Cat par Chrissie Zullo :

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Gennadiy Koufay

Tim Sale

John Romita Jr

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Peter Parker, Spider-Man #72 pgs 4-5

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Mahmud Asrar

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Val Semeiks

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J’en remets une, alors

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Enrico Marini

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SPIDER-MEN :

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En 2012, Brian Michael Bendis a orchestré la rencontre entre Spider-Man et son équivalent de l’univers Ultimate…le jeune Miles Morales, au début de sa carrière de super-héros après le décès prématuré du Peter Parker de cet autre monde. Par l’astuce toute simple de la faille dimensionnelle alimentée par un vieil ennemi, Peter voyage dans un New-York différent du sien, avec ses points communs et aussi ses nombreuses différences.

La lecture de la mini-série Spider-Men ne m’avait pas totalement emballé à l’époque et mon avis n’a pas vraiment évolué. Il y a pourtant tous les ingrédients qu’il faut…de l’action, de l’humour, ces pelletées de dialogues qui collaient très bien à l’aspect soap de Ultimate Spider-Man (et qui m’ennuyaient le plus souvent sur les autres séries de Bendis)…mais ces éléments ne sont pas toujours très bien dosés tout au long d’une histoire qui ressemble à une visite touristique d’une autre dimension dans laquelle Spidey passe une grande partie de son temps à jouer au jeu des 7 différences (genre, mon Tony ne boit plus, mon Nick Fury est blanc…).

Là où le scénariste touche juste, c’est pendant la « réunion familiale », avec des moments bien écrits, très touchants, ce qui s’exprime également par les dessins expressifs de Sara Pichelli. Mais cela ne rend pas ce Spider-Men moins anecdotique pour autant, il y avait matière à en faire un peu plus…

Brian Bendis avait même poussé le bouchon des doubles alternatifs en terminant la mini-série sur un mystère car Peter tape le nom de Miles Morales sur Google pour savoir s’il y en a un dans l’univers classique. Mystère résolu cinq ans plus tard…c’est dire si ça intéressait beaucoup de monde…je n’ai d’ailleurs jamais lu Spider-Men II (et vu la résolution de l’identité de l’autre Miles, Bendis aurait mieux fait de s’abstenir, j’ai l’impression)…

SPIDEY #1-5 :

Publiée entre février 2016 et janvier 2017, Spidey est une maxi-série en 12 épisodes qui permettait de retrouver une version plus jeune de l’Homme Araignée, un Peter moins expérimenté, au tout début de sa carrière super-héroïque. À l’époque de la sortie, j’ai cru que le titre pouvait être une relecture moderne de l’excellent Untold Spider-Man de Kurt Busiek et Pat Olliffe, qui ajoutait des aventures supplémentaires entre les numéros (et même entre les cases) des épisodes classiques de Stan Lee et Steve Ditko…mais en fait Spidey est une série hors-continuité, se déroulant dans un univers parallèle.

Le scénariste Robbie Thompson (Spider-Man/Deadpool) s’est juste contenté de renouveler le casting des années lycées de Peter en y incluant des personnages comme Gwen Stacy (qui arrive ici plus tôt et se rapproche de sa version Ultimate) et Sajani Jaffrey (créée par Dan Slott et Humberto Ramos). Mais cela n’apporte pas grand-chose à un catalogue de situations éculées et à des histoires qui enchaînent les apparitions de super-vilains classiques (Doc Ock, l’Homme Sable, le Lézard, le Bouffon Vert…) en piochant l’inspiration un peu partout (les Lee/Ditko, les films de Sam Raimi…).

L’ensemble est donc un peu creux (j’en suis même resté là et je n’ai pas lu la deuxième et dernière fournée d’épisodes dans la relance suivante de la revue Spider-Man Universe)…mais tout de même très agréable graphiquement grâce aux dessins de Nick Bradshaw, toujours aussi détaillés et énergiques dans ce style qui doit beaucoup à Arthur Adams. Mais le dessinateur n’a fait que lancer le titre et a été remplacé dès le numéro 4 par l’inégal André Araujo…

Super-Team Family : Dick Tracy & Spider-Man

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Jean Frisano

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Effectivement, si, sur le principe, Spider-Men semblait attractif, j’en garde un souvenir mitigé, alors que pour le coup je suis très fan de l’univers d’USM.
Je confirme le côté totalement dispensable du 2nd volume …

Dike Ruan :

Sam Kieth :

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