1963-2023 : BON ANNIVERSAIRE LES AVENGERS !

Brother Voodoo par Ron Frenz :

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Bro… pardon, Doctor Voodoo par Andrew Robinson :

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Vision, Hawkeye et Wonder Man par Mike McKone ::

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Illustration de Samuel Clarke Hawbaker, représentant Crysal et Quicksilver et parue dans Avengers #367 :

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Black Widow et Iron Man par Sean Chen :

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Iron Man par Jim Calafiore :

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Iron Man par Sean Chen :

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War Machine par Jim Calafiore :

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Scarlet Witch par Mike Wieringo :

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Mockingbird et Hawkeye par Cliff Chiang :

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Iron Monger par Jim Calafiore :

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Une position préférentielle pour Sean Chen ?

Ant-Man par Matthew Clark :

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Tigra par Tom Raney :

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Wasp par Craig Rousseau :

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Iron Man par Herb Trimpe :

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Hawkeye par Ale Garza :

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Moon Knight par Bo Hampton :

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Jack of Hearts par Gérald Parel :

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Daté de septembre 1988, Solo Avengers #10 présente un premier récit consacré à Hawkeye, dans lequel Tom DeFalco, Mark Bright et José Marzan envoient l’archer rencontrer un astrologue médium : une fois n’est pas coutume, ce récit est d’un seul tenant, n’invitant pas à un « à suivre ».

En seconde partie, on retrouve Doctor Druid, personnage qui, à l’époque, évolue dans l’équipe régulière. L’explorateur de l’occulte est en tournée promotionnelle pour son nouvel ouvrage (ça écrit beaucoup, parmi les anciens Vengeurs : il y a un épisode évoquant le livre de Rick Jones, il va falloir que je le relise) quand une catastrophe se produit dans le métro. Il se retrouve face à une femme qui s’apprête à commettre un sacrifice humain.

Le héros dégarni se lance à la poursuite de la femme et de sa victime. La course-poursuite les conduit dans une sorte de Stonehenge improvisé, bâti à partir de rames de métro concassées.

Druid et la femme s’affrontent, mais alors que le duel semble tourner en la faveur du sorcier, la construction commence à s’effondrer, rompant le charme alimentant les pouvoirs de son adversaire et menaçant d’écraser la victime et les autres personnes présentes.

Druid décide alors de ne pas poursuivre la sorcière mais au contraire de sauver les vies humaines. Il s’occupe du vieil homme, blessé dans toute cette affaire. Car, comme il l’explique à la fin de l’épisode, Doctor Druid, avant d’être un spécialiste des choses occultes, a été un médecin, et il ne peut imaginer ne pas sauver la vie de son prochain.

Le récit est peut-être un peu creux, mais il prend à rebrousse-poil les habitudes et les attentes de lecture, à savoir notamment arrêter les méchants. Le héros se définit ici par sa morale, non par les exigences de la justice. Si le rythme aurait pu être plus dense, les péripéties plus riches, le récit est illustré par un jeune Lee Weeks qui livre une belle atmosphère, avec un personnage féminin très séduisant et des ambiances souterraines très milleriennes (notamment le début de poursuite, avec des cases horizontales marquées par les poutrelles et les éclairages diffus.

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