Serval par Bill Sienkiewicz
Magneto par Cam Adams
X-Women par Sami Basri
Cary Nord :
C’est la couverture d’un recueil ?
Jim
Ca sort en décembre :
ROM AND THE X-MEN: MARVEL TALES #1
Written by BILL MANTLO
Penciled by SAL BUSCEMA
COVER BY NICK BRADSHAW
VIRGIN VARIANT COVER BY NICK BRADSHAW
Rom meets the Children of the Atom as we celebrate the legacy of the House of Ideas with MARVEL TALES! During his classic adventures hunting the vile Dire Wraiths on Earth, Rom encountered the ever-Uncanny X-Men — and Mystique’s Brotherhood of Evil Mutants! In ROM (1979) #17-18, written by Bill Mantlo and illustrated by Sal Buscema, Rom and the X-Men are searching for the offspring of a Dire Wraith and a human, a creature known as Hybrid – which Cerebro has detected as a mutant! But as they clash over their target, Rom gets a taste of his own medicine courtesy of Kitty Pryde! Then, in ROM (1979) #31-32, the Galadorian hero battles Mystique’s villainous mutant team — including future X-Men stalwart, Rogue – before teaming up with them for a rematch against Hybrid!
104 PGS./Rated T …$7.99
Malicia par Todd Nauck
Serval par John Byrne
Le Byrne que j’adore.
Jim
Miss Sinistre par Scot Eaton
MARVEL TEAM UP #23
Alors voilà à un 'Team up particulier pour moi, puisque Spidey ne fait qu’une apparition au tout début, juste pour l’introduction.
C’est l’époque où il y avait beaucoup d’interactions entre les séries faisant partie du même univers, du même auteur et/ou du même éditeur. Et ici, la référence se fait d’entrée de jeu, puisqu’on nous annonce que Spider-Man récupère un engin des FF pour aller compter fleurette dans le Giant-Size Spider-Man #1 (avec deux portions de frites). Mais j’y reviendrai.
Ce qui est le plus important à savoir; c’est que la Torche est de garde au Baxter Building, qu’il s’ennuie pas mal et qu’il décide donc d’aller sur le lieu d’un forfait presque annoncé par Spidey (là, j’avoue que je n’ai pas trop compris pourquoi le héros arachnide semblait visiblement en avoir rien à faire et de faire comme si c’était une option).
Toujours est-il qu’en s’y rendant, la Torche se fait attaquer par une boule de neige. Recherchant le coupable, il tombe sur Iceberg, qui se balade sur ses toboggans de glace en plein Manhattan (hum ?!), comme l’araignée le fait avec ses toiles. Evidemment, il le croit coupable de l’ensemble des forfait, et alors que le mutant essaie d’expliquer qu’il ne comprend pas ce que la Torche lui veut, tout en se bastonnant avec lui, ses collègues X-Men débarquent dans une limousine et habillés avec leurs anciens costards. Ouais, Nous sommes en 1974 et Gil Kane était pas au courant, il s’est arrêté de lire X-Men au milieu des années 60. Par ailleurs, on les voit clairement agir comme à leurs débuts avec cette autorité propre au prof. Un retour en arrière bien violent. En tout cas, ça donne un alibi à Iceberg.
Donc, maintenant que la tête brûlée et que le glaçon se sont rabibochés, ils retournent sur le lieu du forfait présumé et se font attaquer à la fois par des flammes et des boules de glace puisqu’ils ont en face … Equinoxe, l’homme thermo-dynamique.
C’est ici sa première apparition en entier, mais il est apparu auparavant, dans l’ombre d’une scène (au moins), dans le Giant-Size Spider-Man #1 (nous y revoilà) aussi scénarisé par Len Wein, mais dessiné par Ross Andru. Je me demande donc qui a la paternité du visuel d’Equinoxe.
En tout cas, les attaques combinées des deux héros vont mettre le bazar dans le métabolisme du vilain, qui va finir par imploser (et disparaître), sans qu’on en sache plus sur lui (sauf qu’il essayait de voler de quoi le soigner).
Donc, le scénar’ de Len Wein est bourré de facilités scénaristiques et a une odeur des années 60 pour ce qui concerne les X-Men (alors que la Torche a son costard rouge). C’est dire toutes les considérations que les auteurs pouvaient avoir à l’époque sur cette équipe, alors qu’un an plus tard, le même Wein va complètement les moderniser. Len Wein empile donc les combats, développe absolument rien (même pour son nouveau vilain), mais je ne sais pas pourquoi, ça se laisse lire. Je pense que le dessin de Gil Kane, connu pour être plus anguleux que pas mal de ses contemporains, mais il est un peu adouci par Mike Esposito. Dans l’intégrale Panini X-Men 1972-1975, passer donc de Don Heck à Gil Kane donne un souffle de modernité inattendu et plaisant, ce qui explique aussi la sympathie ressentie lors de la lecture d’un épisode, somme toute, assez creux et facile (et pourtant, j’aime bien les deux perso)