1963-2023 : BON ANNIVERSAIRE LES X-MEN !

Rachel par Casey Jones

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Rachel par Darren Taylor

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Rachel par Christopher Ivy

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Steve Lightle - Marvel Swimsuit '93

Steve Lightle - Rachel Summers Phoenix from Marvel Swimsuit '93 Comic Art

Rachel par Allison Sohn

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Rachel par Buzz Aw

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Les compositions des équipes X au fil des décennies - partie 3 (2000-2004, les années Bill Jemas, du retour de Claremont avec X-Men #100 jusqu’au départ de Morrison suite à New X-Men #154) :

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Uncanny X-Men #234 Cover by Marc Silvestri & Dan Green (1988).

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La réponse (mieux vaut tard que jamais) :

Uncanny X-Men #280 Unused Cover by Marc Silvestri

Intéressant.

Jim

WOLVERINE AND THE X-MEN #1-3 (2011) :

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Après l’inégal event Schism (alternant entre le sérieux chez les X-adultes et la farce chez les ados tarés du Club des Damnés), permettant à Logan & cie de prendre leurs distances avec un Cyclope radicalisé (qui finira par « tuer le père » lors d’AvsX), Jason Aaron a réussi à transformer l’essai de bien belle façon (accompagné d’un Chris Bachalo motivé & en forme ; un duo plus tard réuni sur Doctor Strange). Un run ayant alors eu le mérite d’apporter une bouffée d’air frais chez les titres X, durant cette année où l’aspect « éducatif » était remis en avant par le film X-Men: First Class (que je dois être un des rares à préférer à sa suite, ressemblant plus à un X-Men 4 tardif qu’à un vrai First Class 2).

Alors surtout connu pour ses séries à la tonalité résolument sérieuse (ses creator-owned très sombres et poisseux tel Scalped, ou encore ses runs sur Ghost Rider, Wolverine & PunisherMAX), Aaron dévoile ici une autre de ses facettes (son côté « déconneur », déjà visible peu avant dans Astonishing Spider-Man & Wolverine ainsi qu’un court run impopulaire sur Incredible Hulk, qui aura notamment eu le malheur de débuter le même jour que l’ouverture de cette école, baptisée en l’honneur de Jean).

Plus portée sur l’humour que sur le drame (même si cet élément n’est pas tout à fait absent non plus, comme le démontrera la suite des événements), avec une pagailles de concepts déjantés, dignes des plus grandes heures du Nextwave d’Ellis/Immonen et du Excalibur de Davis (avec ou sans Claremont), le scénariste barbu produit ici un cocktail détonnant, en mixant les jeunes générations avec des figures représentatives de divers runs : de Generation X, déjà avec le même Chris Bachalo au dessin, à Generation Hope, en passant par les deux volumes distincts du titre New X-Men des années 2000 (périodes Morrison et Academy X, avec la génération d’X-23, Pixie, Rockslide, Anole, etc).

Et puis il y a aussi de nouveaux arrivants hauts en couleurs ; un Brood à lunettes aussi sympathique que naïf, un Kid Gladiator hyper-arrogant et une Warbird Shi’ar ayant déjà des vues sur l’homme glaçon ; même l’inénarrable Doop est de la partie (il faudra attendre un numéro illustré par Mike « X-Statix »Allred pour qu’il se retrouve au premier plan). Là où Emma Frost était l’atout dans la manche du premier arc de Grant Morrison, Quentin Quire remplit ici la même fonction narrative à son corps défendant, en formant par la même occasion les prémisses d’un nouveau triangle amoureux inattendu.

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En pointant du doigt l’incongruité de la situation au sein même du récit (Wolverine à la tête d’une école !?) pour mieux faire passer une pilule plus cohérente qu’il n’y paraît de prime abord (Logan a après tout un passif de mentor), Aaron & Bachalo (déjà secondé par un autre dessinateur dès le troisième numéro) lancent ce run d’anthologie sur les chapeaux de roues avec un véritable roller coaster en guise d’entrée en matière, établissant ainsi sans tarder son propre registre. Du fun, de l’action, du soap opera, du chaos, des idées en pagailles et un humour de bon aloi (d’autant plus après la sinistrose des années précédentes) ; autant d’ingrédients d’une très bon début pour cette rentrée mémorable.

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« Fun » is not a dirty word

That was my mantra coming into this series.

The X-Men had just gone trough an ideological split, a Schism, which prompted Wolverine to head back to Westchester, to the X-Men’s old home base, where he reopened the school for young mutants. I was given the chance by my esteemed editors Nick Lowe and Axel Alonso, to create that new school.

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I knew right away, I wanted it to be the wildest, craziest school the Marvel Universe had ever seen.

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I wanted to reclaim the tag line that once ran above the title of the original X-Men series: ’The Strangest Teens of All ! »

And above all else, I wanted it to be fun.

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The X-Men over the years have at time had a penchant for being dour. I should know, I’ve written plenty of those stories myself. At the time of the Schism, I’d actually just finished writing the darkest, most depressing Wolverine solo story I’d ever done, where a group of his old enemies, called the Red Right Hand, literally sent Logan to hell and then tricked him into murdering his own…well, let’s just say it was dark and leave it at that.

Perhaps it was because I was coming off that story, which was enough to disturb even me, that I wanted to swing the pendulum in the opposite direction. I didn’t want to write about dark and serious X-Men. I wanted to write something that was full of joy and laughs but was more than just a series of jokes. Something that was about growing up, about what it means to be an oddball kid in school, to be a parent.

And that all started with Wolverine.

Having Logan become the headmaster of this new school was an idea I felt seemed inevitable, something that his character had been building toward for years, while at the same time, it was a direction that felt fresh and opened up all sorts of new story possibilities.

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The Wolverine School for Gifted Youngsters. That was where the series began. And from there, we were off.

Now here we are, 42 issues and an Annual later, and I still can’t believe I got away with some of this stuff. Krakow as the school’s yard. The world’s most dangerous bathroom. Kitty pregnant with a billion Brood and making out with Iceman. Wolverine fighting Frankenstein. Dog, Snot, Glob, Broo and Doop. Quentin Quire: future Phoenix.

All thanks (or blame) go to Nick Lowe for allowing this series to be such an all-new, all-different sort of X-Men tale and for making each story better with his passion and insights. Thank you to the entire cast of insanely talented folks who brought this series to life, but most especially the ones who did the bulk of the heavy lifting, namely artists Chris Bachalo, Nick Bradshaw, Ramon Perez and Pepe Larraz, and our amazing colonists, Justin Ponsor and Laura Martin. And some special shout-outs go to Irene Lee for the awesome cast pages and class list sprinkled throughout the series and to the great Mike Allred for…well, for Doop.

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I don’t imagine I’ll get to do another book quite like this one anytime soon. Which just makes me all the more grateful for the fans who supported WOLVERINE & THE X-MEN along the way. Thanks for giving me the chance to have some fun.

Hope you had some too.

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JGS Forever.

Jason Aaron (February 2014)

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Peut-être ma dernière grande lecture mutante.

Jim

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Pareil
(avec Uncanny X-Force mais avec le temps je garde surtout en mémoire la belle alchimie de cette nouvelle génération et les interactions avec les anciens)

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Uncanny X-Force, j’ai trouvé ça sympa sans plus : déjà plein de réflexes remenderiens qui me fatiguaient, une certaine violence et des situations répétitives. Et globalement aucun humour.
J’ai chez moi, mais je crois que je ne relirai jamais. Contrairement à la série d’Aaron.

Jim

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Hop! Fantasmes en mode automatique !

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Oui. Après le départ d’Opena, Uncanny X-Force s’essouffle. Et Remender tombe dans la surenchère du meurtre comme seule solution. Ça devenait un peu lourd, et effectivement, certains arcs ont des structures que le scénariste ne cessera de recycler. Je reste persuadé que si un Robbi Rodriguez était resté, j’aurais été plus clément (là où le style aseptisé d’un McKone ou d’un Phil Noto ne correspondait pas vraiment à l’atmosphère mise en place sur la fin du titre)

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La dernière fois que j’ai vibré pour les mutants

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Tout pareil.

Jim

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Pour mutant war ?

Va savoir.