Ils ont laissé un indice puisque dans les crédits, il y a De Falco en chief. Donc ca date bien du début des 90s puisque Tom De Falco a officié à ce poste jusqu’en 1994…
En effet. Ce segment correspondrait bien à la période soupçonnée. L’écart graphique s’explique moins, alors.
L’autre segment, celui de Stern, semble lettré à la main (à part une page qui me semble bien calibrée, trop bien…), et sachant que Dave Sharpe a commencé à bosser comme lettreur en 1991, on peut imaginer que ce récit a été lettré à l’époque du dessin (et peut-être qu’une page avait été écartée pour des raisons de pagination, et récupérée en vue de cette édition tardive), donc aux alentours de 1993.
Jim
Je m’en rends compte. Faut que je regarde de plus près.
Il est sympa, l’Annual #17 : je viens de le survoler, il entremêle deux intrigues et s’avère riche en péripéties, en lancement d’intrigues et en hommages à la continuité.
Si je trouve le temps, je fais une lecture plus détaillée et j’y reviens.
Jim
NEW X-MEN #128-130 (2002) :
Après la galaxie lointaine des Shi’ar puis le quartier de Mutant Town à New-York, Grant Morrison se tourne ensuite vers l’Europe, et la France plus précisément, à l’occasion de cet arc focalisé sur les représentants du X-Corp ainsi que le duo Xavier/Jean (l’occasion de faire le point sur la situation, concernant le retour assez alarmant du Phénix, même si Jean est sûre de pouvoir le maitriser), lors d’un incident impliquant Madrox, Monet, Siryn & Rictor (soit 4 membres emblématiques d’X-Factor).
Cependant, le plus significatif (en dehors du décès d’une Darkstar qui va mieux depuis) est surtout l’entrée en scène de Fantomex (un personnage ensuite ramené sur le devant de la scène lors des années 2010 via Uncanny X-Force). Soit un jalon supplémentaire au programme des supers-soldats (Logan aka l’Arme X s’avère être le 10ème d’une longue succession de cobayes, remontant jusqu’à Cap durant la 2ème guerre mondiale), lorgnant ouvertement sur l’archétype du gentleman cambrioleur. Car celui-ci emprunte diverses caractéristiques à ses ancêtres (Arsène Lupin pour l’attitude, Fantômas pour le nom et Diabolik pour le look, vraisemblablement inspiré par la version « galak » de Mario Bava).
Qui plus est, Fantomex me semble aussi une relecture, à la sauce morrisonnienne (à savoir reprendre les grandes étapes de la série et les réécrire à sa sauce : Cassandra Nova est une nouvelle synthèse du thème du double, porté jadis par le Juggernaut, naguère par Onslaught, les Sentinelles devient microscopiques après avoir été macroscopiques, etc etc), de Gambit : c’est un voleur, il est mystérieux, il se pose un peu en adversaire un peu en allié…
C’est ce qui est fascinant dans sa reprise des mutants : il réécrit, répète, redonde, et ce faisant il commente, et il fait avancer le schmilblick. Il crée du neuf en repeignant l’ancien.
Jim
Oui. La comparaison avec Gambit m’a toujours frappé
Bishop par Yevgeny Sokolov
Kitty Pryde par David Yardin
Kitty Pryde par Stephane de Caneva
Kitty Pryde par Joel Jurion
Kitty Pryde par Philippe Ogaki
Kitty Pryde par Agustin Padilla
Kitty Pryde par Pepe Larraz
Kitty Pryde par Dan Brereton
Kitty Pryde par Scott Koblish
Kitty Pryde par Bob Wiacek
Kitty Pryde par Ed Piskor
Kitty Pryde par Katie Cook