J’en dirais la même chose que Marko. Un run assez fabuleux : on savait que le perso réussissait à Steve Dillon, mais Jason Aaron n’est pas en reste.
C’est souvent d’une noirceur abyssale, mais ça constitue une sacrée réflexion sur le Punisher et les vigilantes en règle générale. Et c’est truffé d’idées très excitantes (parfois réutilisées plus tard, en moins bien, par Aaron lui-même), comme cette phrase « inaudible » au lecteur murmurée à Castle, ou le traitement du Caïd, très astucieux (il joue de sa « légende » à venir comme s’il s’agissait de celle de sa contrepartie dans le Marvelverse « officiel », un peu…).