Ah c’est marrant : il tente de s’inscrire dans l’univers de Miller (de l’époque), et il retrouve un peu de l’énergie de Silvestri dans le mouvement. Ça sent encore l’ambiance « Image première manière », notamment à cause des petits hachures hystériques, mais ça a un certain charme quand même.
Franchement, c’est pas mal du tout.
Sympa de voir que dans les années 1990, les éditeurs espagnols pouvaient proposer des couvertures « locales », chose qui ne se faisait plus en France à l’époque.