1974-2024 : BON ANNIVERSAIRE WOLVERINE !

Oui … telle est la voie, en effet !

Dont un arc de Venom fait office de remake de The Thing.

Betsy Cola :

Robot Chicken !

Robert Broussard

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Leinil Yu & Dave McCaig :

Je ne sais plus si ça a été mis ici, mais… au cas où…

Rediff’ :

HAVOK

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Entre 1988 et 1995, Marvel a publié une revue anthologique intitulée Marvel Comics Presents dont le sommaire était composé de quatre histoires de 8 pages. De nombreux personnages ont eu droit à leur historiette, même les plus obscurs, et même si je n’ai pas compté, celui qui a certainement eu le droit au plus grand nombre d’apparitions dans MCP reste Wolverine. En France, les Marvel Comics Presents choisis par Semic (il reste encore énormément d’inédits) ont souvent servi de bouche-trou et s’il y a eu beaucoup de segments anecdotiques, il y a eu aussi de longues sagas en format serial dans ce comic-book, comme le Black Panther : Panther’s Quest de Don McGregor et surtout le Wolverine - Weapon X de Barry Windsor-Smith.

Pour Havok : Pharaoh’s Legacy (MCP #24 à 31), on est par contre dans le franchement oubliable…et je me suis demandé pourquoi cet arc narratif avait eu sa place à l’époque dans la collection Récit Complet Marvel (peut-être parce que l’omniprésent griffu venait donner un coup de main à Alex Summer dans les derniers chapitres). Graphiquement, c’est assez fade. Ce n’est pas ce que Rich Buckler a fait de mieux et l’encrage donne un résultat plus agréable avec Joe Rubinstein sur les trois premiers chapitres qu’avec Bruce Patterson qui le remplace pour la suite.

Les courts épisodes de 8 pages font que la présentation ne perd pas de temps. Sur la première page, Alex aide une jolie rousse qui vient de tomber en panne de voiture avant d’être attaqué par une bande de mercenaires aéroportés. Havok et la jeune femme qui répond au nom de Leila O’Toole en réchappent et sur le chemin du retour, elle lui apprend qu’elle était la cible des attaquants après s’être échappé des griffes d’une secte d’adorateurs du pharaon. Alex reste auprès de la jeune femme et tombe amoureux d’elle mais ne peut l’empêcher d’être kidnappée par les allumés en costume…et il découvre alors que la secte dont il est question recherche l’héritier de son vieil ennemi Ahmet Abdol, le Pharaon Vivant.

Le scénariste Howard Mackie peine à rendre les rebondissements intéressants, tout le mystère autour du secret de Leila O’Toole est gâché par un design de costume ridicule et un final expédié et Wolverine arrive là-dedans comme un cheveu sur la soupe, comme si Mackie devait obligatoirement intégrer la star habituelle de MCP à un moment ou à un autre…et là, c’est trois épisodes avant la fin. Quant à Havok, il est réduit au rôle du mec qui devrait apprendre à mieux choisir ses petites amies. Bref, coincé entre Thanos Quest et Le Défi de Thanos, Havok fait partie de ces RCM dont il est facile de taire l’existence en le laissant prendre la poussière sur l’étagère (c’est ce que j’avais fait)…

Les deux récits bonus remontent légèrement la note, deux back-up de la série Classic X-Men qui racontent la première rencontre de Christopher Summers et des Starjammers ainsi que le premier contact mental entre Lilandra et Charles Xavier. Chris Claremont maîtrise bien l’exercice de l’histoire courte et les dessins de John Bolton sont très beaux, dans deux ambiances différentes…

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Rediff’ :

UNCANNY X-MEN #172-173 :

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Le dernier épisode de la mini-série Wolverine de Chris Claremont et Frank Miller s’est refermé une scène plus légère que ce qui a précédé, les X-Men tout sourire en recevant le faire-part du mariage de Logan et de Mariko Yashida. Un numéro paru aux U.S.A. en décembre 1982 (date de couverture)…et pour découvrir la suite, les lecteurs américains ont du attendre août 1983, le temps que Chris Claremont intègre les éléments de la mini à la continuité du titre mensuel. La couverture de Uncanny X-Men #172 reprend donc le visuel du faire-part, cette fois-ci dessiné par Paul Smith.

Au début du #172, les X-Men débarquent au Japon et découvrent un Logan apaisé…même s’il ne se réjouit pas vraiment de l’arrivée de Malicia dans l’équipe. Les mutants sont surveillés par le Samouraï d’Argent, qui a lui-même à ses trousses l’impétueuse Yukio. L’occasion d’une bondissante scène d’action avant une discussion sur les luttes du pouvoir au sein du clan Yashida. Demi-frère de Mariko, le Samouraï veut la direction du clan et il est aidé par Vipère. Les vilains droguent les X-Men et il ne reste donc plus qu’une équipe réduite pour régler la question.

Le #173 est bien rythmé et superbement dessiné par Paul Smith. Wolverine et Malicia s’attaquent au Samouraï et à Vipère, la jeune femme prouvant sa valeur au vieux guerrier. La scène qui scelle la confiance établie entre les deux personnages est joliment orchestrée, avec leurs deux petites silhouettes qui se détachent sur un fond blanc. C’est aussi l’épisode qui marque un changement important pour Tornade, sa virée mouvementée avec Yukio lui inspirant un nouveau look radical (qui déstabilise tout le monde…et surtout Kitty).

Après toutes ces péripéties, c’est l’heure du mariage. Mais à la surprise générale, Mariko annule la cérémonie, jugeant Logan indigne d’elle (elle était alors sous l’influence de Jason Wyngarde, le Cerveau). La dernière page se passe de mots, l’effet est très réussi car cela fait partie de ces moments où les silences en disent long…

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Rediff’ :

X-MEN, Saison 5, Episode 11 : Vieux Soldats

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J’ai revu l’épisode Vieux Soldats de la série animée des X-Men des années 90. Un petit trip nostalgique puisque je n’ai pas loupé un seul épisode à l’époque et que je ne les ai jamais revus depuis (pinaise, plus de 20 ans). Bon, je me suis aussi rappelé les défauts que j’avais déjà relevés plus jeune, comme une animation assez pauvre et un doublage médiocre qui réutilisait souvent les mêmes voix (comme la V.O. en fait, puisque l’acteur qui prête sa voix à Captain America doublait aussi Cable et Fabian Cortez).

Mais il y avait aussi (très) souvent de bonnes histoires, comme ce Old Soldiers centré sur Wolverine qui se remémore une mission pendant la Seconde Guerre Mondiale menée aux côtés de Captain America, un épisode rondement mené qui propose un récit original tout en reprenant habilement des éléments tirés de divers comics, comme une amusante référence aux futures griffes en métal de Wolvie; le combat contre le « Sleeper », robot géant du Crâne Rouge et des apparitions de Samuel « Happy Sam » Sawyer et de Nick Fury et ses « Howling Commandos ».

À noter que Vieux Soldats est le quatrième et dernier épisode écrit par le regretté Len Wein pour le dessin animé.

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Super-Team Family : Wolverine & Black Lightning

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Rediff’ :

GIANT-SIZE X-MEN #1 :

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Il y a à peu près 50 ans de cela, les rouages de la renaissance des X-Men (le vilain petit canard du Marvel des 60’s en terme de ventes, en dépit de l’arrivée en renfort de la star Neal Adams) se sont enclenchés lors d’une rencontre entre Stan Lee et son boss du moment Al Landau, alors désireux de lancer une équipe internationale de super-héros (aparté cocorico: il est intéressant de noter que la première version des X-Men semble avoir plus trouvé son public en France qu’aux USA, par le biais des publications Lug).

L’Editor-In-Chief Roy Thomas, alors également présent à cette réunion, n’a pas tardé à proposer la greffe de cette idée sur des revenants, soit les X-Men qu’il avait écrit pendant une bonne partie des 60’s (là où le run de Lee était plus court en comparaison). Or ce caractère international implique le remplacement de ces anciens membres par de tout nouveaux personnages, provenant bien sûr de pays où les séries Marvel se vendaient plutôt bien (de quoi maximiser les chances de succès commercial de ce projet).

La présence du leader Cyclope comme trait d’union avec la précédente version était alors déjà envisagée, éventuellement en faisant en sorte qu’il aille à la rencontre de ces nouveaux mutants par bateau (l’idée refera surface sous d’autres formes chez le titre X-Factor puis Marauders), façon Arche de Noé (avec la capacité de voler incognito à l’intérieur d’un nuage !). La rotation du casting sur le long terme était aussi à l’ordre du jour, ainsi que l’envie de reproduire une dynamique de groupe à la manière des Blackhawks de DC (là-aussi un groupe provenant des quatre coins du Monde, une particularité pas oubliée par Chaykin).

Le regretté Dave Cockrum, auréolé à ce moment-là par son passage sur la Légion des super-héros chez DC et spécialisé dans les designs de costumes, fut le tout premier dessinateur associé à ce projet (tandis que Mike Friedrich se vit proposer le poste de scénariste). L’arrivée de Len Wein au poste d’Editor-In-Chief a ensuite impacté l’avancée du projet, surtout à partir du moment où il s’est lui-même désigné scénariste (comme quoi ça a du bon d’être patron), ayant donc comme contrecoup de revenir à la case départ.

S’accordant tous deux sur le choix de garder seulement Cyclope (de loin le plus intéressant des X-Men originaux selon eux), la paire Wein/Cockrum s’attela ensuite à concevoir l’ensemble de l’intrigue de ce premier Giant-Size (l’idée initiale étant d’en faire plusieurs, en parallèle du recyclage des anciens numéros du côté de la série régulière), avec l’aide d’un certain Chris Claremont (Iron Fist) pour la version publiée (la seconde suite à l’abandon d’une 1ère version à base de dieux aztèques, pas satisfaisante selon Cockrum).

D’emblée, le groupe de candidats est divisé en deux catégories pour leur examen d’entrée/crash-test ; ceux destinés à rester (Tornade, Colossus, Diablo et un Wolverine qui devra attendre Byrne pour être plus mis en avant) et ceux destinés à ne pas faire long feu (Banshee, Sunfire, Thunderbird). Cette idée est finalement abandonnée (sauf pour Sunfire qui jettera vite l’éponge). Ne sachant pas trop quoi faire du peu sociable Épervier (au delà de sa propension à contester l’autorité de Cyke, une fonction qu’il partage avec le griffu canadien), celui-ci finira pas être dégagé peu après d’une manière plus définitive. Quant à Sean Cassidy, il s’accrochera jusqu’à 1979, en finissant par s’en aller en même temps que l’editor Roger Stern.

L’agenda chargé de Wein en tant qu’EIC aura vite raison de son implication comme scénariste, qui cesse juste après la production de l’histoire du second Giant-Size, en raison de l’abandon de ce genre de numéro (le récit avec le comte Nefaria, finalement recyclé et coupé en deux dans X-Men #94-95, tandis que le sommaire du second Giant-Size paru ne contient pas d’histoires inédites). Plus qu’un contretemps dommageable, le départ de Wein s’avérera être une bénédiction déguisée, permettant au jeune Chris Claremont (son assistant editor qui ne manquait pas d’enthousiasme envers cette relance prometteuse) de prendre la relève (Wein préférant écrire Incredible Hulk de toute façon).

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1975 : Tandis que la guerre du Vietnam s’achève enfin, Marvel est bien occupé de son côté. Gwen Stacy revient (en quelque sorte), Mar-Vell & Rick consomment de la drogue par inadvertance (ben tiens !), Jim Starlin débute son run sur Adam Warlock, Don McGregor conclut sa saga « Panther’s Rage », Roy Thomas lance ses Invaders tandis qu’Isabella fait de même avec ses Champions, le Man-Thing de Steve Gerber laisse sa place à Howard the Duck et Oméga l’inconnu, Star-Lord & Moon Knight débarquent dans leurs versions originelles, Daredevil rencontre un certain Bullseye et le Punisher bénéficie de ses première aventures en solo du côté des magazines en N&B (soit 10 ans avant la sortie du titre Circle of Blood).

Alors que le Fauve manque à l’appel (celui-ci vient tout juste de rejoindre les Avengers de Steve Englehart, dans la foulée de la conclusion de l’ample saga de la Madonne Céleste), le reste des X-Men disparaît mystérieusement. Seul Scott Summers échappe à leur assaillant et arrive à trouver son chemin jusqu’à Westchester. L’heure est venue pour le Professeur X (le fondateur du groupe ainsi que le plus puissant télépathe de la planète) d’appeler du renfort, en piochant de nouvelles recrues aux quatre coins du Monde (les revenants que sont le Hurleur & Sunfire, un Serval en provenance de l’Incredible Hulk de Len Wein, plus les nouveaux venus Diablo, Tornade, Colossus et Épervier, tributaires de l’imagination de Cockrum).

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Sur un canevas familier (une nouvelle équipe se forme sous l’impulsion de leur chef, puis se rend sur une île où se trouve leur tout premier adversaire ; presque un remake quelque part du squelette narratif du Fantastic Four #1 de Lee/Kirby, paru moins de 15 ans plus tôt), la paire Wein/Cockrum réussi l’exploit de complètement revigorer un titre auparavant mal en point (au point d’être alors privé d’aventures inédites, un prix de consolation tout de même préférable à un arrêt pur et simple de leur unique série régulière).

Il faudra cependant attendre quelques années pour que le titre (plus de l’ordre de la série culte que d’un succès massif à ce moment-là, tel le tout premier comic-book Star Wars, en mesure de remettre Marvel Comics à flot financièrement) se retrouve au sommet des ventes (une position qu’il occupera tout au long des années 80/90, jusqu’à son détrônement par les Avengers vers le début du 21ème siècle).

Plus encore que l’intrigue (Wein, meilleur « scripter » que « plotter » ?), c’est sur le plan des dialogues, de la caractérisation et de la partie graphique que ce numéro se distingue le plus (pas étonnant du coup que John Byrne, pourtant pas manchot, se soit senti un peu intimidé de passer après Dave Cockrum quelques années plus tard). De la phase de recrutement (définissant de manière concise les représentants de cette nouvelle génération, des plus aimables aux plus antipathiques) jusqu’à la spectaculaire bataille finale (dont la résolution a été inventée par nul autre que Chris Claremont), Dave Cockrum s’en donne à coeur joie avec ces nouvelles fondations (en conservant quand même le mur porteur qu’est le duo Scott/Xavier).

De la dramaturgie (la détresse de Cyclope quand son fardeau optique réapparait), de la tension (dans ce groupe neuf où les membres sont prompts à se chamailler, une part importante de l’ADN des personnages Marvel), des références (cette intro sur Diablo, le chouchou du dessinateur, digne d’un film Universal des années 30) et du monstre géant (l’allure d’Homme-Chose de Krakoa et son origin story façon Godzilla) sont au programme de ce copieux giant-size (il n’y a guère que l’aspect romance qui se fait assez discret, en dehors d’un Havok soucieux de la survie de sa bien-aimée). Par la suite, il aura fallu attendre quelques décennies pour que le conflit entre l’île flottante Krakoa et les mutants de Westchester soit résolu, sous l’impulsion de scénaristes justement nés dans les 70’s, lors du hiatus séparant X-Men #66 & X-Men #94 (d’abord avec Wolverine and the X-Men d’Aaron & Cie puis plus récemment la période « HicXman »).

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Tout est donc réuni pour faire de cette relance une franche réussite, qui remplit à merveille ses objectifs initiaux (après les jalons Lee/Kirby et Thomas/Adams, cette fois c’était la bonne pour ces X-Marginaux).

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Ron Garney :

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Passé récemment chez Aaapoum Bapoum, je suis ressorti avec une petite pile de TPB divers, et un prestige format, Sabretooth - Back to Nature, que je ne connaissais pas (ou dont je ne me souvenais plus) mais dont les planches de Frank Teran m’ont bien intrigué. Connu des services locaux, j’ai eu droit à un cadeau, puisque le fascicule à dos carré, vendu 3,50 euros, m’a été offert. C’est donc lui que je lis en premier.

C’est très sympa sans être génial. L’histoire se situe à une période où Sabretooth est l’agent récalcitrant du groupe X-Factor, cherchant par tous les moyens à reprendre sa liberté. Mais le collier de contrôle qu’il porte au coup risque de lui envoyer des décharges électriques puissantes, susceptibles de le paralyser, ce qui retient ses ardeurs d’évasion.

Au moment où commence l’histoire, Wild Child, également membre de X-Factor, apprend qu’une ancienne amie a été tuée par un psychopathe. L’assassin, Sabretooth l’a identifié, il s’agit d’un russe qu’il a jadis combattu. Le tueur a également un frère, à peu près aussi fréquentable. Les deux « héros » décident de remonter la piste, Sabretooth espérant trouver une occasion de se débarrasser de son collier et de prendre la tangente.

S’ensuit une traque assez longue au Canada où les deux chasseurs aux lourdes vestes de bûcheron se trouvent confrontés aux deux tueurs, qui semblent leur offrir du fil à retordre. Dans l’histoire, on découvre que les tueurs consomment des pilules dont les composés chimiques leur permettent de moins ressentir les choses. Pour Sabretooth, ces drogues sont l’occasion de ne pas ressentir les chocs électriques et donc de pouvoir laisser ses pulsions meurtrières s’exprimer pleinement.

« Pulsions meurtrières », c’est presque une définition du récit. Le prestige, qui s’intitule « Back to Nature » sur la couverture, est titré « Homicidal Tendencies » en couverture intérieure, dernier vestige de précédentes hésitations éditoriales, peut-on imaginer. Une erreur de supervision pour un titre géré par Kelly Corvese (sous les ordres de Bob Harras, le prestige étant sorti en 1998), et pour lequel Jorge Gonzalez signe une intrigue linéaire aux dialogues un peu bavards. Restent les planches impressionnantes de Frank Teran dont l’encrage chargé, sillonné de tâches noires et de rehauts de blancs, n’est pas sans évoquer une sorte de chaînon manquant entre Bill Siekiewicz et Mark Texeira.

Jim

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Couverture signée Éric Hérenguel pour Scarce #21, de l’automne 1989 :

Avec un dossier Japon qui me faisait rêver, tant il listait des mangas que j’avais envie de lire.

Jim

Bullpen Bits par Chris Giarrusso :

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Michel Fiffe :

Rick and Morty, Saison 7 - Episode 1 (How Poopy Got His Poop Back, 2023) :

John Cotterell : « Hugh Jackman has this poster on his wall. »

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Chris Samnee :

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