A WORKING MAN (David Ayer)

Un ancien membre de l’anti-terrorisme reconverti dans le bâtiment se voit contraint de reprendre du service lorsque la fille de son patron disparaît brusquement et se retrouve pris dans une vaste conspiration criminelle…

Après The Beekeeper, Jason Statham tournera à nouveau sous la direction de David Ayer dans Levon’s Trade, l’adaptation du premier volume d’une série de romans signés Chuck Dixon.

Sylvester Stallone et David Ayer sont les scénaristes de ce thriller dont le tournage débutera ce printemps. Sortie prévue en 2025.

Qui promettent une ambiance printanière.

(Si c’est comme ses comics, ça peut être très bien.)

Jim

Tant que c’est pas comme le film tiré de comics de David Ayer. :grin:

Le Chuck Dixon ?

Le même.

Jim

Et il en est à une dizaine de romans dans cette série…tout en continuant d’écrire des comics pour des petits éditeurs, ceux affiliés au ComicsGate et qui détestent les titres soi-disant « woke » de Marvel et DC. Le dernier en date est dessiné par Joe Bennett…

L’adaptation du premier roman Levon Cade de Chuck Dixon a été retitrée A Working Man. La sortie U.S. est prévue pour mars.

David Ayer, c’est l’un des rares gars qui réussit à foirer tous ses films ! (qui ont souvent un potentiel énorme !). Mais il vous dira que ce n’est pas sa faute.

Pas tous (j’ai un bon souvenir de Fury), mais beaucoup, oui.

Jim

Bien aimé Fury aussi…et les bastons bourrines du prévisible Beekeeper. Je sais que j’ai vu Bad Times et End of Watch mais j’avoue que je ne m’en rappelle plus du tout…et son Suicide Squad est tout aussi oubliable.
Pas vu le reste (Au Bout de la Nuit, Sabotage, Bright, The Tax Collector)…et pas vraiment envie d’ailleurs…

J’aurais dû préciser tous les films que j’ai vu* (Bad Times, Bright, Suicide Squad et le pire étant Sabotage, qui possède un très bon casting de gueules et un concept qui aurait pu être jouissif, mais non, c’est la Ayer touch!)

*qui serai-je si je ne faisais pas preuve d’excès et de mauvaise foi ?

Ce qui rend curieux.

Jim

Héhé.

C’est peut être dans un cas comme celui là qu’on note l’état d’esprit des gens : la tolérance aux « défauts » et la capacité à voir le verre à moitié vide ou plein. Vu le casting, j’y croyais vraiment! Je me répétais : « impossible de ne pas aimer ! »

Le verre fut très vide !