Adastra in Africa
Adastra in Africa met en scène une jeune déesse exilée qui se rend dans un village africain et s’efforce d’apporter le salut à cette région frappée par la famine. C’est l’histoire passionnante d’une étrangère qui tente d’utiliser ses propres méthodes non traditionnelles pour aider un peuple fier à retrouver sa vitalité, sans compromettre l’héritage et les valeurs de la tribu.
- Éditeur : Delcourt (23 octobre 2024)
- Langue : Français
- Relié : 52 pages
- ISBN-10 : 2413080872
- ISBN-13 : 978-2413080879
- Prix : 13,50 EUR
Nom d!une déesse.
Tout pareil
BWS & Toth le même mois !!
Quel Toth ?
Zorro chez Urban (pas encore annoncé officiellement sur leur site).
Ah oui.
Alors que j’ai du mal à suivre les annonces sur les sorties, alors si on me parle des sorties sans annonce…
C’est sur les sites de vente…après Urban n’a pas encore communiqué dessus…
Moi… tant que c’est pas sur le boncoin, c’est pas annoncé.
C’est l’automne BWS cette année. C’était pas un projet rejeté qu’il avait proposé sur Tornade ça ? Ou je confonds ?
C’est ça.
Y a un second titre ?
L’édition Prestige en N&B de Weapon X…
Ah…
C’était censé être « Lifedeath III », en fait. Bizarrement, Marvel a fini par rejeter la proposition de BWS, alors que les planches étaient pratiquement terminées, si mes souvenirs sont bons.
Je me demande si le refus de Windsor-Smith de travailler avec un autre scénariste que Claremont n’avait pas braqué Marvel dès le début du projet…
Excellent
J’ai été déçu à la lecture, tout ça pour ça. Si ça avait été publié dans X-Men ça aurait fait un bon numéro, mais là, c’est court, trop court, si on connait pas X-Men c’est pas super compréhensible, les planches sont parfois trop surchargés amenant des problèmes de lisibilité, dommage, après les gens en aurait pas fait tout un pataquès, j’aurais peut-être mieux aimé, mais c’est clairement pas si fou que ça.
C’est trop court, et thématiquement forcément un peu court aussi (et même redondant avec « Lifedeath II » si on y regarde de plus près), c’est aussi un peu daté années 80’s dans ce que je considère être une sorte de métaphore du « charity business » de l’époque, mais par contre :
…j’ai souvent lu ce reproche, et j’avoue que ça me l’a pas du tout fait à la lecture. Oui c’est très chargé, et le noir et blanc accentue l’impression de « masse » dans les cases, mais je trouve ça très lisible quand même pour ma part. C’est le tour de force de Windsor-Smith que de parvenir à maintenir cette limpidité de story-teller même sur ce type de planches très denses ; ça confinait à la maestria pure sur « Monsters », où le placement des bulles de dialogue, incroyablement judicieux, contribuait à renforcer cette fluidité. Y’a deux trois effets de ce type sur « Adastra In Africa », et je trouve ça très fort.