Amazing Grace - Tome 1
19,95 EUR
Le futur n’est pas pour les enfants sagesUSA, 2035. Huit ans après l’apocalypse nucléaire. Personne ne sait qui, pourquoi ou comment les trois quarts des États-Unis ont été ravagés. Seule une bande transversale allant de New York à la Californie a été préservée de l’hiver nucléaire. Dans cette Amérique dévastée, comme des milliers d’autres survivants, John et sa fille Grace errent sur les routes essayant de descendre vers le sud pour y trouver nourriture, travail et un climat plus clément. Sauf que Grace n’est pas une petite fille comme les autres. Elle est ce que l’on appelle une enfant de la bombe : un mutant, un monstre recouvert de poils, muni de crocs et de griffes acérées. Mais un monstre qui aime les poupées, les bonbons et les histoires avant d’aller se coucher. Alors qu’ils entendent parler d’un centre accueillant les enfants comme elle, John et Grace décident de mettre tout en œuvre pour s’y rendre… et découvrir la réalité qui se cache derrière cette légende.
Amazing Grace est à la fois un récit post apocalyptique explorant les restes d’une société détruite et le parcours initiatique d’une enfant en proie au rejet et à la différence. L’errance d’un père et sa fille dans une Amérique en ruine qui, par ses thématiques, n’est pas sans évoquer tant l’horreur que l’émotion sourde et poignante de La Route de Cormac McCarthy.
Scénariste
Dessinateur
Coloriste
Numéro de Tome:
1
Parution :
15.05.2019
Collection :
J’ai lu la preview, j’ai trouvé ça moyen, va falloir que la suite soit meilleur.
Une édition N&B sortira le même jour (au prix de 25 EUR) :
Je chipote, mais je crois que le genre zombie est un genre à part entière, et que citer Walking Dead ne pourrait qu’embrouiller les gens qui ne sont familiers ni à l’un ni à l’autre. Les deux genres possèdent une intersection, c’est sûr, mais je crois que l’exemple est mal choisi.
Après, il est vrai que le genre post-apo couvre un spectre assez large.
Un cantique chrétien.
Au masculin.
À part ça, je ne sais pas pourquoi, mais le feuilletage de l’album ne m’a pas emballé. Je n’arrive pas à mettre le doigt dessus, mais il y a quelque chose qui ne m’alpague pas. Je refeuilleterai à l’occasion…
Jim
ah bah tu vois j’ai toujours considéré le zombie comme un sous genre du post apo, mais là il est plutôt utilisé à bon escient, car la problématique de la série la rapproche du genre… post apo zombie xD
Ah bah merci j’ai toujours fait la faute dis donc : c’est corrigé !
c’est surement ce côté mélange de crayonné et d’encrage, ça donne un p’tit côté granuleux peu conventionnel
J’ai toujours perçu le genre zombie comme plus ancien. À tort au demeurant, parce que si le zombie cinématographique apparaît dans les années 1930, le post-apo littéraire est plus ancien.
Mais vraiment, je crois que le zombie ne s’intéresse que progressivement à l’après (La Nuit des morts-vivants se termine sur une résolution et une fin d’épidémie, avec une sorte de « retour à la normale », et ce n’est qu’au fil de la filmo de Romero que les récits se penchent sur l’après de l’attaque, donnant une impulsion qui ouvre la voix à Walking Dead et à des tas de variations des années 2000), là où c’est tout le propos du post-apo que de nous parler de l’après. Ce n’est pas bien argumenté, c’est plutôt un sentiment général, mais je crois vraiment que ces deux genres s’articulent sur une note d’intention bien différente. Après, les passerelles entre les deux sont nombreuses.
C’est vrai que je connais bien le style de Bruno dans ce qu’il a de rond et de lumineux. Mais je ne crois pas que ce soit ça. Je crois tout bêtement que les histoires d’enfants m’intéressent moins que celles d’adultes.
Jim
C’est une erreur, tu peux avoir des zombies sans être en mode post apocalyptique. Les premiers films zombies ne découlent pas d’une catastrophe post apocalyptique.
Je pense comme monsieur (même si, avant cette discussion, je n’avais pas creusé la question, tellement ça me semblait évident).
Jim
Surtout s’il s’agit de zombis (sans « e » final), et qu’on a, donc, affaire au folklore haïtien et au vaudou.
Par exemple, Bombie le zombi, de Carl Barks, n’est pas un récit post apocalyptique !
Tori.
Les 2 sont corrects de nos jours ^^
Oui, mais c’est un anglicisme, un de plus… Et, surtout, quand on ne met pas le « e », c’est souvent, justement pour parler du folklore vaudou, et pas simplement d’un mort-vivant « quelconque ».
Tori.
En tout cas moi amazing grace j’ai trouvé ça très quelconque, Ducoudray, c’est un sur deux de bons voir un sur trois.
Comme ça canarde, monsieur Kab.
(Bon, moi, je ne connais ni le monsieur ni son travail, je crois que je n’ai lu que son Kidz, que j’ai bien aimé.)
Jim
Non, tu as lu son Namta aussi.
Ah oui, tu as raison.
Que je n’ai pas détesté non plus, même si, fatalement, j’attends que l’essai soit confirmé.
Jim
Tiens oui c’est un peu le même sentiment mais sur le Namta c’est juste beaucoup trop court
J’ai lu pas mal de ces bouquins et si son Amère Russie est très bien son Camp Poutine dans le même genre est déjà plus léger. Son Maiden Love est vraiment pas terrible.
Après a écrire au minimum 4 bouquins par an (l’année est pas finit) il y a forcément à boire et à mangé.
Comme toujours !