C’est moche ce qu’ils disent sur les expositions surtout que ce n’est pas vrai.
Marrant de dire que le monde de la BD est irrévérencieux par vocation, alors que non pas du tout. Par nécessité oui, mais pas par vocation.
Par contre il est vrai que ça fait des années que le festival est en roue libre, mais c’est pas vraiment un secret, je me souviens de lutte intestine qui date du début des années 2000. Marrant comme on en parle qu’une fois par an.
Pour le reste c’est simplement une honte et ce qui n’est pas dit c’est que le festival tient aussi par le bon vouloir des éditeurs, car en dehors du monde, c’est aussi un des plus gros moments pour les acteurs de la BD qui vont se rencontrer, proposer des projets, nouer des connections… Si un jour le festival devient trop entaché, les éditeurs trouveront un autre endroit pour faire venir tous leurs auteurs et le FIBD aura bien du mal à garder sa qualification d’international.
Petite réflexion en passant. Comme souvent, il faut que ce soit un média « extérieur » enfin disons plutôt généraliste qui fasse le gros job pour que ça sorte.
Je suis curieux d’ailleurs de voir ce que va en dire les Cahiers de la BD, parce que l’autrice de l’article du média généraliste fait régulièrement des piges pour eux.
Tu me l’apprends mais voila, il semble que, comme souvent, il vaut mieux se mettre en dehors du « milieu » pour le traiter dans ses aspects déplaisants
Après… pour avoir une meilleure retombée médiatique, ne faut-il pas le faire dans un média suivi par un plus grand nombre ?
(Pas sûr que le mag des cahiers de la.bd soit une vue suffisamment importante)
Ca rejoint ce que tu dis, mais il y a aussi.une logique mathématique.
D’Anouk Rivard, j’avais bien aimé « Coucous Bouzon », mais je n’ai pas accroché à « Animan ».
Je connais mieux et apprécie plus Catherine Meurisse dont j’ai lu une petite dizaine de livres.
Et je reconnais n’avoir jamais lu quoique ce soir d’Alison Bechdel. De quoi faire des découvertes!
