ANT-MAN : FOURMI-VERSAIRE (Al Ewing / Tom Reilly)

100% MARVEL : ANT-MAN – FOURMI-VERSAIRE

Al Ewing, Tom Reilly I 112 pages, 18,00 €

Au fil des décennies, plusieurs personnes se sont relayées pour porter le nom et le costume d’Ant-Man… mais avez-vous déjà rencontré l’Ant-Man de l’an 2549 ? Certainement pas ! Ce dernier arrive du futur pour prévenir ses prédécesseurs d’une terrible menace !

(Contient les épisodes US Ant-Man (2022) 1-4 et Tales to Astonish (1959) 37 et 43, inédits)

15 FEVRIER

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Une très bonne mini série. Ewing maîtrise les persos, la continuité et les codes des différentes époques . La partie graphique n’est pas en reste non plus. Y’a de l’action, de l’humour et de l’émotion. La structure du récit n’offre pas de grandes surprises mais le job est fait et bien. Je recommande chaudement ce volume

Pareil, j’adore, vraiment.
J’ai dit tout le bien que j’en pense en VO, et j’aime aussi la structure, qui surprend, qui déjoue quelques attentes (notamment en n’amenant pas les événements dans l’ordre qu’on pourrait prévoir).
Et Reilly est formidable dans la convocation de styles différents.

Jim

Je l’ai découvert sur la mini sur la Chose, j’aime énormément son style

Également à l’aise dans un registre plus intimiste (dans le one-shot consacré au jeune Scott Summers).

Bon bah, j’suis pas très original, j’ai beaucoup aimé également. J’en ai même écrit une bafouille, c’est dire => Ant-Man : Fourmi-versaire (0), comics chez Panini Comics de Ewing, Reilly

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J’ai acheté la VF récemment pour l’offrir à un pote, et bien entendu, quand je suis arrivé chez lui, on a discuté et l’album est resté dans mon sac. Je lui passerai la prochaine fois. En tout cas, j’ai profité de l’occasion pour relire l’histoire, que j’avais grandement appréciée en VO.
L’aventure, qui assemble quatre héros portant le nom d’Ant-Man, cumule la dimension méta (l’adresse au lecteur), le jeu sur la continuité (en partie fictive, en plus, voir les numéros imaginaires cités à un moment), la référence interne au corpus d’Ewing (c’est la suite, plus ou moins, d’Ultron Forever, que j’adore aussi), les clins d’œil aux collègues (Reilly imite Don Heck avec autant d’aisance qu’Ewing calque l’écriture de Robert Kirkman, par exemple…), bref, c’est réjouissant et étourdissant à plusieurs niveaux de lecture.
Un très grand plaisir à relire.
Avec toutefois un petit bémol : les décalages temporels et les arrivées en ordre décousu des héros amènent à relire des répliques à quelques épisodes d’écart. Or, la traduction ne joue pas à fond la carte du texte repris à l’identique, ce qui atténue les effets de répétitions. Je n’ai pas encore vérifié si, en VO, les textes sont identifiques. Si c’est bien le cas (comme j’en ai le souvenir), il est dommage que le traducteur n’ait pas perçu l’astuce (à moins qu’il ne s’agisse de corrections tardives et mal avisées de la part de la rédaction).

Jim

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Ah, c’est bien dommage.

Tori.

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