Disponible en format Kindle®© (celui que j’ai choisi : 2,99 sans frais de port), poche ou grand format. Bref pour tous les goûts et toutes les bourses ou presque, et un joli choix de couvertures.
Pour ma part, je l’ai commencé, Samuel R. Delany me faisait de l’œil depuis un bail, à cause notamment de son intérêt pour les mots et la langue, qui recoupe un peu le mien - de ce que j’en avais entendu parler du moins ; et l’avis de l’ami **Photonique ** a achevé de me convaincre.
Et pour l’instant une presque 100taine de pages après avoir débuté de lire, je ne peux que me réjouir : c’est incroyablement bien.
Les traducteurs ont dû faire un chouette travail, certainement plutôt difficile, compte tenu de l’importance des langues dans ce roman, et qu’il est écrit originellement en anglais.
Or donc, pour l’instant, un sacré bon début.
À suivre …
Ah, ça n’a pas traîné…
Ah, ça n’a pas traîné…
N’est-ce pas !
Pour les amateurs de S-F je propose un entretien avec Delany, il date de 1979 et il est en français.
Il vient de la revue Univers publiée par J’ai Lu, et il est accessible ici.
Bonne lecture.
Je réécoute la formidable émission Le Code a changé consacrée à Donna Haraway, et je découvre… que Samuel Delany est noir.
C’est une information que je n’avais jamais enregistrée. Je me suis empressé de regarder les quelques romans que j’ai chez moi, et je note qu’il n’y a pas de photo en quatrième de couverture (une habitude que J’Ai Lu SF avait pourtant généralisée, ce qui m’avait permis de découvrir la tête d’un Isaac Asimov ou d’un Clifford Simak, entre autres).
Alors je sais que la photo en C4, c’est quelque chose qui est arrivé au bout d’un certain temps, donc il suffit que j’aie de vieilles éditions pour que je sois passé à côté de l’info visuelle, mais tout de même, ça m’a surpris.
(Je viens de revoir la C4 du Livre de la peur, de John Byrne, qui n’a ni photo ni biographie, ce qui évite à J’Ai Lu d’avouer qu’ils publient le roman d’un auteur de BD… La C4, elle était un peu à géométrie variable, chez eux…)
Jim
La C4 aurait pu être explosive.
Originaire de Harlem, même, si je ne dis pas de bêtises.