DC annonce Batman : Gargoyle of Gotham, une mini-série à venir sous la bannière Black Label. Rafael Grampa scénarise et dessine cette histoire dans laquelle le Chevalier Noir a abandonné pour de bon l’identité de Bruce Wayne.
In a Gotham City where every day feels darker and more irredeemable than the last, Batman makes a definitive choice—to kill off the Bruce Wayne identity for good and embrace the cape and cowl full-time. But though he knows the streets of Gotham, Batman will soon come to find that he hardly knows himself. A serial killer is on the loose, and while the murder victims seem random at first, every clue draws Batman closer to the terrifying truth—that they are all connected, not just to each other, but to him as well. When an all-new rogues gallery of utterly depraved villains begins to emerge from the depths of the city, Batman will have to contend with the very nature of evil—including that which lurks in the darkest corners of his own heart—to face what is coming for the city he has sworn to protect.
C’était quelle année ? Dans mon souvenir, j’ai fait toutes les années du CLF. Je me souviens m’être pointé avec mon Mesmo Delivery, le jour où Grampa devait être présent.
D’ailleurs, je continue de penser qu’on a passé un moment ensemble sur Paris (ou sur Lille) toi et moi. Pratiquement sûr, par l’intermédiaire de Blacki, mais aux dernières nouvelles tu me disais que non.
Tu n’es pas chauffeur ou une merde dans le genre ?
Y avait Crety, Huggonard-Bert, Sudzuka, Ponticelli, Harris (si je ne me trompe pas. Il a créé un foin pas possible d’ailleurs. Mais à cause de l’organisation du festoche)…
Je me souviens bien de cette convention là. 2013 ou 2014. Ponticelli m’a fait un super Centipede tiré de la série Dial H, scénarisée par le brillant China Mieville.
Je me rappelle avoir passé un très bon moment avec Sudzuka avec qui j’avais discuté de sa participation à la série L’Histoire Secrète. Je viens de fouiller dans mes étalages et j’ai ressorti sa BD A.D.D., publié par Vertigo, avec Douglas Rushkoff au scénar’, que j’avais acheté sur sa table.
Bon sang, c’était l’époque où les conventions avaient un caractère de chien.
Mais je ne pense pas qu’on ce soit rencontré à ce moment là. C’était une ou deux années plus tard, à mon sens.
Je ne pousserai pas le vice jusqu’à demander d’un camionneur qu’il comprenne l’humour.
Perso, j’adore toujours autant. La rugosité dans le trait, l’exagération dans les formes, l’efficacité dans les atours lumineux, la souplesse de la position, la simplicité dans le décors. C’est gourmand pour un homme qui tient le crayon depuis 50 ans.