(En tout cas, ça nous fait bien marrer avec @Jack XD)
M’étonne pas, vous avez mauvais fond.
Jim
C’est une phrase, bancale, mais une phrase tout de même.
Il aurait plutôt dû écrire : " Une Catwoman taquine qui surnomme le héros « Batou », trop mignon ! ".
Je retiens aussi la phrase finale : « Un bon thriller que l’on dévore », après nous avoir expliqué qu’il s’agissait d’un recueil d’histoires courtes indépendantes…
Tori.
J’ai lu deux articles de ce site. … Pas plus.
J’avoue poster les liens sans réellement lire les textes : je vérifie s’il s’agit d’un commentaire ou d’une simple mention.
Jim
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c’est plus joli que le boulot dans l’album.
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Joli !
J’ai mis sur 2DG des bat-originaux à vendre,
Pas mal pas mal !!!
Jim
La nuit dernière, c’était la nuit internationale de la chauve-souris. J’allais pas rater l’occasion.
https://www.nuitdelachauvesouris.com/
Alors je ne sais pas ce que les déçus attendaient d’un titre anthologique qui réunit de surcroît toute une armée de scénaristes et de dessinateurs qui n’échangent pas entre eux. (mais je ne les accuse pas d’être déçus, hein. ça peut plaire à tout le monde et c’ets tant mieux comme ça)
Peut être parce que je lis ça quelques années après tout le chambard qu’il y a eu sur cet album, mais j’ai pas trouvé ça si mal que ça, quand on prend en compte l’exercice à fournir.
C’est peut être aussi parce que j’aime les vieux comic books, mais ça m’a rappelé les The Brave & The Bold de Bob Haney et Jim Aparo. Des récits courts qui sont là pour nous divertir. sauf que là, le cahier des charges est quand même d’amener Batman dans un autre pays, donc il y a une excuse à trouver pour lancer l’intrigue et donc de la place prise (contrairement à Haney dont les histoires se situent majoritairement à Gotham). Et sur le principe, je trouve que les auteurs s’en sont pas mal sortis, quand même. Je soupçonne que DC ait demandé à Azzarello de faire une sorte de récit générique introductif, qui rappelle Batman, son univers et ses vilains. Azza le traite presque de psychopathe obsessionnel au passage.
Après, dire qu’il n’y a pas de récit marquant, sur ce nombre de pages, je veux bien qu’on me cite des récits marquants dans le même genre d’exercice. Surtout que là, on veut faire de l’épisode auto-contenu. Moi, je vois quand même un Brésilien qui parle de la corruption dans son pays, d’un Allemand qui évoque l’écologie (avec un tacle rigolo à Trump et sa clique, quand il était président), l’Espagnol qui montre ce qui l’inactivité et l’oisiveté entraînent, le Coréen l’utilisation à de mauvaises fins (ou détournées) de matériels de haute technologie, le Chinois du rachat sauvage de ses rues (je pense que l’histoire n’est pas si anodine, derrière son côté kawai). L’histoire russe est en effet assez sympa en terme d’hommage et d’image du batou et la française est la seule avec un ton humoristique (comme par hasard). Donc, ouais, c’est peut être pas ouf, mais qu’est-ce qui pouvait être attendu ? Et graphiquement, globalement, c’est quand même pas mal (je ne suis pas fan du style du Chinois et encore moins du Mexicain).
Moi, je trouve que ça a été fait avec sérieux et pas par-dessus la jambe. Et que j’en attendais absolument rien vu l’exercice de style et par conséquent, j’ai pris plaisir à lire ça cet après-midi. Me suis pas ennuyé, au contraire.
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Thierry Martin
