Blagounettes

A non, celui sur Descartes est vraiment excellent ! Pas si faux que ça…

[quote=« Tark »]Qui a descendu Jésus ?

C’est Minou …

Parce que Jésus est descendu par Minou …

Celle-là je l’avais déjà entendue.

J’en ai une autre dans le même genre, mais je l’ai oubliée. :laughing:

Un paysan s’arrête au garage du coin pour faire réparer sa camionnette.
On ne peut pas la lui faire immédiatement ! Il dit alors qu’il n’habite pas loin et qu’il va rentrer à pied.

Sur le chemin du retour, il s’arrête dans une boutique et achète un seau et 5 kg de peinture. Puis il s’arrête dans une autre boutique et prend deux poules et une oie.
Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu’à la maison .
Pendant qu’il se gratte la tête, une petite vieille s’approche de lui et lui dit qu’elle est perdue.

Elle lui demande : « Pouvez-vous me dire comment aller au 160 Allée de Partington ? »
Le paysan lui dit :« Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n’arrive pas à porter tout ceci. »
La vieille dame suggère : « Pourquoi ne mettez-vous pas la peinture dans le seau. Portez le seau d’une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l’oie dans l’autre main ? »
« Merci bien », dit-il, et il se mit en route avec la vieille dame.

En cours de route, il dit :« Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps. »
La petite vieille le regarde attentivement et dit :
" Je suis une veuve sans personne pour me défendre… Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n’allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?"

Le paysan dit :« Cré vingt dieux, ma petite dame, je porte un seau, 5 kg de peinture, deux poules et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ? »
La vieille dame répondit : « Posez l’oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la peinture sur le seau, et je tiendrai les poules… »

Edit : 2 petites nouvelles reçues cet-après midi, dont une « d’actualité » :mrgreen:

Une jeune rebelle très libérée entre dans un bar toute nue, va vers le comptoir et demande une bière bien fraîche.
Le barman reste là à la regarder boire son demi.

  • Qu’est-ce qu’il y a, dit-elle, vous n’avez jamais vu une femme nue ?
  • oh si souvent !
  • et alors, qu’est-ce que vous regardez ?
  • je voudrais simplement voir d’où vous allez sortir l’argent pour me payer !

De retour de l’euro 2012 bien sûr !, les joueurs de l’équipe de France (si on peut dire que c’est une équipe) ont tellement honte (je me le demande) qu’ils décident de se déguiser pour ne pas être reconnu.
NASRI se déguise en moine et se promène sur les Champs-Elysées.
Tout à coup une vieille dame lui dit :

  • ça va NASRI ?
    Vexé il repart se déguiser cette fois en émir arabe (!!..)
    Et la même vieille dame lui dit :
  • ça va NASRI ?
    Interloqué, il la rattrape et lui dit :
  • putain, comment tu fais pour me reconnaître la vieille !? (toujours aussi poli)
  • t’es con ou quoi, c’est moi RIBERY !

J’aime beaucoup vos blagues ^^ J’en connais pas autant…
Bon y en a une que mon padre racontait toujours…

"Quelle est la différence entre le 51 (pastis) & le 69 ? "

Le 51 t’as le nez dans l’anis, le 69 le nez dans l’anus.

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Présentée comme une histoire vraie, ça n’en est pas moins un hoax, du moins, c’est un extrait d’une pièce « A Hotel in a Funny Place ».
Ceci relate un incident entre un grand hôtel de Londres et l’un de ses clients.

[quote]Chère femme de chambre,

Je vous prie de ne plus déposer les petites savonnettes de l’hôtel dans ma salle de bains, car j’ai apporté mon propre Palmolive format familial.
Pourriez vous enlever les six savonnettes qui sont sur l’étagère et les trois qui sont dans le porte-savon ? Elles m’encombrent.
Merci.
S. Berman[/quote]

[quote]Chère chambre 635,

Je ne suis pas votre femme de chambre habituelle. Elle sera de retour demain, jeudi, après son jour de congé. J’ai enlevé les trois savonnettes du porte-savon, comme vous l’avez demandé.
J’ai enlevé les six savonnettes de l’étagère pour qu’elles ne vous gênent plus, et je les ai mises sur le distributeur de Kleenex, au cas où vous changeriez d’avis.
Il ne reste que les trois savonnettes que j’ai déposées aujourd’hui, suite aux instructions de déposer trois savonnettes par jour.
J’espère que cela vous conviendra.
Kathy, femme de chambre de relève[/quote]

[quote]Chère femme de chambre,

J’espère que vous êtes ma femme de chambre habituelle. Apparemment Kathy ne vous a rien dit au sujet du message concernant les savonnettes.
En rentrant hier soir, j’ai vu que vous aviez déposé trois petits Camay sur mon étagère. Je vais séjourner à l’hôtel pendant deux semaines et j’ai apporté mon Palmolive familial, je n’aurai donc pas besoin des six petits Camay qui sont sur l’étagère.
Ces savonnettes m’encombrent quand je me rase ou me brosse les dents.
Pourriez-vous les enlever ?
S. Berman[/quote]

[quote]Cher monsieur Berman,

Mon jour de congé était mercredi, donc la femme de chambre de relève a déposé les trois savonnettes que la direction nous ordonne de déposer quotidiennement dans chaque chambre.
J’ai mis les six savonnettes qui vous encombraient dans le porte-savon où votre Palmolive était. J’ai mis votre Palmolive dans l’armoire à pharmacie.
Je n’ai pas enlevé les trois savonnettes que l’on met dans l’armoire à pharmacie à chaque nouvelle arrivée et pour lesquelles vous n’avez rien dit quand vous êtes arrivé lundi dernier.
Je reste à votre disposition.

Votre femme de chambre habituelle, Dotty[/quote]

[quote]Cher monsieur Berman,

Le directeur adjoint, monsieur Kensedder, m’a dit ce matin que vous l’aviez appelé hier soir pour vous plaindre du service de votre femme de chambre.
Je vous présente mes excuses, et vous annonce que j’ai placé une nouvelle femme de chambre à votre service.
Si vous avez d’autres plaintes à l’avenir, veuillez entrer en contact avec moi pour que j’y apporte mon attention personnelle.
Appelez le poste 1108 entre 8 h et 17 h.
Merci.

Elaine Carmen, gouvernante[/quote]

[quote]Chère madame Carmen,

Il m’est impossible de vous téléphoner, car je quitte l’hôtel vers 7 h 45 pour me rendre au travail et ne rentre pas avant 17 h 30 ou 18 h 00. C’est pour cette raison que j’ai appelé M. Kensedder hier soir. Tout ce que je lui ai demandé, c’est s’il pouvait faire quelque chose à propos de ces savonnettes.
La nouvelle femme de chambre a dû penser que je venais juste d’arriver, car elle a déposé trois nouvelles savonnettes dans mon armoire à pharmacie, en plus de sa livraison habituelle de trois savonnettes sur l’étagère.
En cinq jours, j’ai accumulé 24 savonnettes.
Pourquoi me faites-vous subir cela ?

S. Berman[/quote]

[quote]Cher monsieur Berman,

Votre femme de chambre, Kathy, a reçu l’ordre de ne plus déposer de savonnettes dans votre chambre et d’enlever celles qui sont de trop. Je reste à votre disposition (poste 1108 entre 8 h et 17 h). Merci.
Elaine Carmen, gouvernante[/quote]

[quote]Cher monsieur Kensedder,

Mon Palmolive familial a disparu. Toutes les savonnettes ont été enlevées, y compris mon propre savon.
Je suis rentré tard hier soir et ai dû appeler le groom pour qu’il m’apporte quatre petits Dove.
S. Berman[/quote]

[quote]Cher monsieur Berman,

J’ai informé la gouvernante, Elaine Carmen, de votre problème de savon.
Je ne comprends pas pourquoi il n’y avait plus de savon dans votre chambre alors que les femmes de chambre ont l’ordre de déposer trois savonnettes chaque fois qu’elles font une chambre.
Votre problème devrait être immédiatement résolu.
Veuillez accepter mes excuses.

Martin L Kensedder, directeur adjoint[/quote]

[quote]Chère madame Carmen,

Qui a déposé ces 54 fucking savonnettes dans ma chambre ?
J’ai trouvé 54 savonnettes en rentrant hier soir.
Je ne veux pas de 54 Camay, je veux mon putain de Palmolive.
Est-ce que vous réalisez que j’ai 54 savonnettes ici ?
Tout ce que je veux, c’est mon propre savon.
Rendez-moi mon savon !
S. Berman[/quote]

[quote]Cher monsieur Berman,

Vous vous êtes plaint de trop de savon, alors je les ai fait enlever.
Ensuite vous vous êtes plaint à M. Kensedder parce que tout votre savon avait disparu, alors j’ai moi-même tout remis dans votre chambre : les 24 Camay qui avaient été pris et les trois que vous êtes censé recevoir quotidiennement.
Votre femme de chambre, Kathy, ne savait pas que j’avais tout remis à sa place et a elle-même rapporté 24 Camay, plus les trois quotidiens.
Je ne sais pas d’où vous sortez que l’hôtel fournit des Palmolive familiaux.
J’ai réussi à trouver un Monsavon familial que j’ai laissé dans votre chambre.
Elaine Carmen, gouvernante[/quote]

[quote]Chère madame Carmen,

Juste un petit message pour vos fournir un inventaire récent de mon stock de savon.
Aujourd’hui, je possède :

– sur l’étagère de l’armoire à pharmacie : 18 Camay en quatre piles de quatre et une pile de deux;

– sur le distributeur de mouchoirs : 11 Camay en deux piles de quatre et une pile de trois;

– sur la commode de la chambre : une pile de trois Dove, une pile de quatre Monsavon et huit Camay en deux piles de quatre;

– dans l’armoire à pharmacie : 14 Camay en trois piles de quatre et une pile de deux;

– dans le porte-savon : six Camay, très mous;

– au coin nord-est du lavabo : un Dove à moitié utilisé;

– au coin nord-ouest du lavabo : six Camay en deux piles de trois. Pouvez-vous demander à Kathy de s’assurer que les piles sont nettement formées et bien époussetées ?

Faites-lui également savoir que les piles de plus de quatre ont tendance à s’écrouler, puis suggérez-lui que le rebord de ma fenêtre n’est toujours pas utilisé et formerait un excellent entrepôt pour les livraisons à venir.

Une chose encore : j’ai acheté un autre Palmolive familial, que je garde dans le coffre-fort de l’hôtel afin d’éviter tout malentendu.

*S. Berman *[/quote]

Non mais ou tu trouves toutes tes infos sur le net toi :open_mouth:
C’est quoi ton moteur de recherche :laughing:
En tous cas excellent !!!

J’ai rit mais tu n’imagines pas comment j’ai rit en lisant tout ça, :laughing: :laughing: :laughing:

Et tout dans la subtilité, j’adore! :laughing:

Ce ne serait pas plutôt « A hotel is a very funny place» ?
En tout cas, je connais cet extrait depuis très longtemps (avant même de connaître le mot internet), mais ce n’en est pas moins drôle.

Tori.

Il était une fois . . .
Une asiatique qui venait de se marier à un français qui vivait à Paris.
La pauvre fille ne connaissait malheureusement pas beaucoup de mots en français,
mais réussissait quand même à communiquer avec son mari.
Sa difficulté était de se faire comprendre chez les commerçants…
Un jour, elle se rendit chez le boucher pour acheter des cuisses de poulet.
Ne sachant pas comment le demander, elle leva sa jupe jusqu’à ses cuisses en baragouinant…
Le boucher comprit et la dame retourna chez elle avec des cuisses de poulet.
Le lendemain, elle eut besoin de poitrines de porc.
Encore une fois, ne sachant quoi dire au boucher,
elle dégrafa sa blouse, et montra sa poitrine au boucher en baragouinant …
Et encore une fois, la dame obtint ce qu’elle désirait.
Le 3eme jour, la dame eu besoin de saucisses.
Elle amena son mari chez le boucher …
Que va-t-elle faire ?

Laisser son mari parler, il est Français…
A quoi pensiez vous, bande de pervers ?
Vous n’écoutez pas ce qu’on vous dit ???!!!

Excellent Minirop :laughing:

Voila à quoi m’a fait penser un des passages du Dark Knight (je me demande même si je n’ai pas crié Tounga un peu fort dans la salle…). Alors, hommage ou copie?
Ami spectateur, sauras-tu retrouver ce moment du film?
Je vous livre la version romancée vue sur le net.
Mais c’est un des plus grands classiques des blagounettes.

[quote]Trois hommes avancent pas à pas dans la forêt vierge et dangereuse, impénétrable et farouche, timide mais coquine…

Sont-ils fous ? Courageux ? Téméraires ? Non : ils sont Belges. Pas Suisses, Français et Belges, mais tous Belges cette fois, sans quoi on va m’accuser de favoritisme (et tant pis pour les quotas).

Peut-être qu’ils viennent de survivre à un accident d’avion ? Ou qu’ils étaient partis se balader entre copains… ? Qu’importe, mais ce qui est sûr, c’est qu’ils sont beaux et biens perdus, au point de se précipiter vers cette musique qu’ils apercécoutent au loin (du verbe apercécouter) : des tamtams ! Les tamtams de la terrible tribu des dont-on-ne-connait-pas-le-nom, personne n’ayant jamais survécu à une rencontre avec icelle (la présente histoire ne nous est connue que grâce aux concours des satellites de la NASA : Thanks Lucy, I’ll get back on touch later on).

Ni une, ni deux, ni trois, ni quatre, dès qu’ils les aperçoivent, les dont-on-ne-connait-pas-le-nom se jettent sur les étrangers, puis les jettent eux-mêmes en prison, où ils les laissent pourrir plusieurs jours sans nourriture ni eau, les contraignant à s’abaisser aux plus viles bassesses… (je voulais dire qu’ils ont du manger leur pipi et leur caca mais j’ai préféré censurer finalement : trop vulgaire).

Au bout d’une semaine, deux gardes viennent chercher le premier Belge à portée de main. Ils le sortent de sa cage et le trainent au milieu de la foule des leurs jusque sur un autel où le Shaman du village l’attend, en tenue de cérémonie. Le prisonnier est saucissonné sur une sorte de table de pierre et Le Shaman s’approche de lui :

  • Prisonnier, déclare-t-il avec cette emphase propre aux gens de sa profession, pour avoir pénétré notre territoire sans permission, nous allons aujourd’hui t’administrer un châtiment… Que nous te laisserons choisir, alors choisis bien : entre la mort… OU LA TOUNGA !!!

Alors que le Shaman prononce ce dernier mot, ses pupilles se dilatent, sa bouche se couvre d’un rictus fou, et tous les guerriers de la tribu, massés autour de l’autel, se mettent à répéter furieusement : « LA TOUNGA ! LA TOUNGA !! ».

Le prisonnier est embarrassé : voilà qui n’est pas très encourageant ! Néanmoins il ne peut se décider à mourir, et c’est pour cela qu’il décide :

  • Je choisis la Tounga.
  • C’est votre dernier mot ?
  • Oui.

S’étant assuré de la réponse, prononcée du bout des lèvres, le Shaman se tourne vers son peuple et de sa voix la plus puissante, proclame :

  • Le prisonnier a choisi… LA TOUNGA !!!

Une exclamation de joie jaillit depuis la foule, qui peut être entendue jusqu’aux cages où sont enfermés les autres prisonniers. Les indigènes se mettent à danser, à chanter… Ils forment une sorte de procession autour de l’autel sacrificiel… et les voilà qui mettent bas les pagnes : ils se précipitent sur l’Anglais attaché à la table de pierre et le violent abondamment (le Belge est devenu anglais parce qu’en fait j’aime bien les Belges).

Ce viol collectif durera toute la nuit. Tout ce qui est imaginable de faire subir comme sévices sexuels à un homme, cet Anglais le subira. A l’aube, lorsque les indigènes auront assouvi cet appétit lubrique absolument démentiel qui caractérise leur petite tribu, l’Anglais sera détaché de la table de pierre, couverte de miasmes en tous genres, et rendu à sa liberté. C’est là que nous le retrouverons (nous nous étions éloignés par pudeur) marchant en canard, le dos courbé jusqu’aux genoux. Il est dans un tel état qu’il n’entend même pas les appels de ses ex-codétenus qui l’implorent de raconter ce qui vient de lui arriver : le supplicié ne s’attarde pas une seconde de plus dans ce lieu maudit et retourne en boitillant vers la civilisation.

Le lendemain, de nouveau, les gardes extirpent un autre Anglais de sa cage et, comme la veille pour son compatriote, le trainent jusqu’à l’autel où attend le Shaman.

  • Nous allons te punir, lui dit-il, mais pas sans te laisser le choix de ton châtiment. Alors choisis bien, entre la mort… OU LA TOUNGA !!

Inutile de vous répéter qu’à ce simple mot, c’est le frétillement général dans l’assemblée. Tous les guerriers ont les yeux rivés sur le prisonnier dont ils attendent la réponse avec impatience et envie.

Le prisonnier pèse le pour et le contre. Il a vu que, même si ce n’était pas sans mal, son ami était parvenu à sauver sa peau. Aussi se prend-il a espérer en même temps qu’il prend sa décision :

  • Je choisis la Tounga.

Entendant cela, le Shaman se tourne vers son peuple et de sa voix la plus puissante, proclame :

  • Le prisonnier a choisi… LA TOUNGA !!!

Ce cri trouve un écho partout parmi la foule ! Les indigènes chantent, dansent, sacrifient des poules ou entrent en transe. Ils démarrent une longue procession qui s’achève au sommet de l’autel, juste derrière le prisonnier… Alors toute la tribu fait sauter son pagne et c’est à partir de là que s’applique la censure.

Il n’en reste pas moins que notre Anglais prend cher. Au matin, c’est un homme brisé qui rampe devant la cage où désespère le dernier des trois prisonniers… Celui-là sait que le lendemain, ce sera son tour.

En effet, le soleil est à peine levé qu’on le sort de sa cage, à l’aube du matin suivant. Comme ses compatriotes avant lui, il est trainé parmi la foule et attaché à la table de pierre ou le Shaman lui pose sa terrible question :

  • …la mort… OU LA TOUNGA !!

Les réactions de la tribu sont les mêmes que précédemment : ces gens sont décidément insatiables ! Pire, ils sont encore plus excités, comme si leurs deux précédents forfaits ne comptaient que pour du président (j’essaye de décrocher un sponsor).

Le prisonnier hésite. Hésite. Hésite. Finalement il redresse la tête en direction du Shaman et déclare :

  • Je pense qu’il faut savoir partir au bon moment… Mieux vaut mourir que souffrir, je choisis donc la mort !
  • C’est votre dernier mot ?
  • Absolument.

Devant l’inébranlable résolution du prisonnier, le Shaman ne peut que s’incliner. Il se tourne vers son peuple et de sa voix la plus puissante, proclame :

  • Le prisonnier a choisi la mort… PAR LA TOUNGA !!![/quote]

Il existe d’ailleurs deux versions de cette blague : la tienne, et une dont la chute est remplacée par

Tori.

et dans la version « les sales blagues » c’est tchichi

tchetche :wink:

youtube.com/watch?v=LZv1zcDxdWE

Je connaissais avec Tchitchi aussi.
Et ça m’a exactement fait penser à ça à ce moment du film!! xD

Faut avouer ^^

dans la série des sales blagues…

Un élève demande à son maitre qu’elle est la différence entre une femme et une perle? (on se pose tous les jours cette question) :blush:

Le maitre réfléchit et donne cette réponse:

  • la femme ne peut être enfilé que d’un côté alors que la perle se perce des 2 cotés.

l’élève rougit et argumente
-mais on peut aussi enfiler la femme des 2 côtés!

le maitre répond avec un grand sourire :
-C’est que cette femme est une perle :mrgreen:

Pas mal celle du « porc usb » :wink: