BREAKING BAD (Saisons 1-5)

J’ai essayé de commencer Breaking Bad, et le côté inéluctable pour le personnage principal m’empêche complètement de rentrer dans le délire de la série ! Si bien que je n’ai même pas envie de continuer !

Eh bien… que te dire…
À part que tu passes à côté d’une série exceptionnelle.
Il y a des moments où il faut savoir se prendre par la main et pousser la curiosité. Dans le cas présent, ça vaut le coup.
C’est une série que j’ai vu six fois. Et je me referai la boucle encore et encore…

J’en doute pas, c’est ça le mire !
C’est ma psyché qui bloque.

Et si ta psyché me faisait confiance ?
Les deux premières saisons sont bonnes, mais à partir de la troisième, ça monte d’un cran. LE cran, qui a fait du show une référence. Et les saisons 4 et 5 sont vraiment topissimes. Les Emmy glanés pendant les six ans de règne BB ne sont pas volés.
Bats-toi, nom de diou !

Ouais, mais là, sans rentrer dans des détails qui n’intéressent personne, c’est encore un peu difficile pour moi (alors qu’il faudrait qu’il en soit autrement)

:open_mouth:

C’est marrant parce que j’ai moi aussi eu du mal à me mettre à Breaking Bag à cause du cancer de Walter. C’est fou non ? J’en viens à croire que la série est tellement bien faite qu’elle peut mettre mal à l’aise un certain type de personnes.

Par contre, la série reste un sommet du petit écran post-XXIème à mon avis. Peut-être même Le sommet, avec The Wire et Hannibal. Elles partagent ce même niveau d’exigence en terme de jeu, d’écriture, d’enjeux et de mise en boite.

Y a un autre mec aussi sur France-Comics que ça a bloqué (mais comme toi, il a su être fort ! :mrgreen: )

C’est marrant parce que j’ai moi aussi eu du mal à me mettre à Breaking Bag à cause du cancer de Walter. C’est fou non ? J’en viens à croire que la série est tellement bien faite qu’elle peut mettre mal à l’aise un certain type de personnes.

Par contre, la série reste un sommet du petit écran post-XXIème à mon avis. Peut-être même Le sommet, avec The Wire et Hannibal. Elles partagent ce même niveau d’exigence en terme de jeu, d’écriture, d’enjeux et de mise en boite.[/quote]

Je comprends cette réaction, que l’on soit concerné ou pas par le cancer.
Quand j’ai expliqué le pitch à ma femme avant que l’on s’y mette, elle m’a regardé avec un air dubitatif.
Mais comme elle l’a vite compris, le cancer n’est qu’un prétexte. La maladie est un révélateur. Et si elle est assez présente dans la saison 1, elle l’est beaucoup moins par la suite. Bref, c’est tout sauf le récit d’une victime, bien au contraire.
Et comme le dit Jack, c’est un must.
Je la place au-dessus d’Hannibal, à titre personnel. BB est pour moi un monument d’écriture sans équivalent. Et quelle galerie de personnages !

En effet, c’est dommage de rester bloqué sur la maladie qui est surtout un élément déclencheur de l’intrigue. C’est une série magistralement écrite, servie par des acteurs de grande qualité.

Et puis cette série te permet de comprendre un gag dans Zootopie. :mrgreen:

Non, pas mieux que les autres, c’est vraiment de la bonne came (si je puis dire…)

Personnellement, je l’ai mal vécu cette saison 1, ça fait trop écho à certaines choses qui peuvent être dures à vivre au jour le jour.
Alors on peut le prendre comme un élément déclencheur mais il n’empêche que c’est parfois dérangeant. J’ai eu beaucoup de mal à aller au bout de la saison 1 et j’ai du me reprendre à 5 fois pour voir les 3 premiers épisodes de la saison 2. J’ai pas repris depuis.

[quote=« nikohell »]

à cause du cancer de Walter. C’est fou non ? J’en viens à croire que la série est tellement bien faite qu’elle peut mettre mal à l’aise un certain type de personnes…
Je comprends cette réaction, que l’on soit concerné ou pas par le cancer.
Quand j’ai expliqué le pitch à ma femme avant que l’on s’y mette, elle m’a regardé avec un air dubitatif.
Mais comme elle l’a vite compris, le cancer n’est qu’un prétexte. La maladie est un révélateur. Et si elle est assez présente dans la saison 1, elle l’est beaucoup moins par la suite. …

Personnellement, je l’ai mal vécu cette saison 1, ça fait trop écho à certaines choses qui peuvent être dures à vivre au jour le jour.
Alors on peut le prendre comme un élément déclencheur mais il n’empêche que c’est parfois dérangeant. J’ai eu beaucoup de mal à aller au bout de la saison 1 et j’ai du me reprendre à 5 fois pour voir les 3 premiers épisodes de la saison 2. J’ai pas repris depuis.[/quote]

Je le répète, je comprends.
Maintenant, on parle d’une série qui ne fait pas dans l’édulcoré.
Elle assume son propos. Mais elle n’impose pas aux spectateurs une plongée durable dans la maladie. Assez rapidement, toute proportion gardée, elle va au-delà.
BB, c’est le portrait d’un homme que sa maladie libère, pour le meilleur et pour le pire. Et franchement, à partir du milieu de la saison 2, si le cancer n’a pas disparu, il ne passe même pas en second plan, mais en arrière-plan lointain, très lointain. Et le spectateur se tape des tranches de fictions comme il s’en fera rarement. L’intro de l’épisode 7 est un petit bijou, en passant.
La maladie, c’est toujours un sujet sensible. La question est de savoir si le show est assez bon pour « transporter » le spectateur hélas concerné de près ou de loin. Là, on a l’exemple d’une série qui réussit cet exploit.

J’ai bien compris vos messages à tous les deux. Mais comme vous en parliez, alors que ce genre de séries, est quelque chose qui m’intéresse habituellement, j’ai eu du mal à accrocher et à aller au delà de la mise en place du décor.
Plus tard, avec du recul, j’y reviendrais, j’ai pas de soucis là dessus et je ne crains pas les spoilers parce que c’est le parcours qui m’intrigue plus que la finalité et le point d’arrivée.

[quote=« nikohell »]J’ai bien compris vos messages à tous les deux. Mais comme vous en parliez, alors que ce genre de séries, est quelque chose qui m’intéresse habituellement, j’ai eu du mal à accrocher et à aller au delà de la mise en place du décor.
Plus tard, avec du recul, j’y reviendrais, j’ai pas de soucis là dessus et je ne crains pas les spoilers parce que c’est le parcours qui m’intrigue plus que la finalité et le point d’arrivée.[/quote]

C’est un show bien trop riche et inventif pour qu’un spoiler le gâche, en effet.

Diffusée de 2008 à 2013 sur la chaîne câblée AMC, «Breaking Bad» est considérée comme l’une des meilleures séries de l’histoire de la télévision américaine. En cinq saisons seulement, elle a remporté 16 Emmy Awards, les récompenses de la télévision, ainsi que deux Golden Globes. Selon plusieurs médias américains, le titre provisoire du film est «Greenbrier».

«Honnêtement, je n’ai pas lu le script», a expliqué Bryan Cranston, 62 ans, lors d’un passage dans l’émission de radio The Dan Patrick Show. «Donc se pose la question de savoir si Walter White sera ou non dans ce film,» a-t-il ajouté.

Mais il a ajouté qu’il serait «absolument» partant pour reprendre le rôle du professeur devenu chimiste de génie si le créateur de la série et réalisateur du film, Vince Gilligan, le lui proposait. «Si Vince Gilligan me demande de le faire, bien sûr», a-t-il déclaré.

Interrogé, l’office du film de l’Etat du Nouveau-Mexique a indiqué que le tournage d’un film intitulé «Greenbrier» et produit par le studio Sony devait démarrer mi-novembre, et s’achever en février. La série «Breaking Bad» avait elle-même été tournée au Nouveau-Mexique, principalement à Albuquerque et dans ses environs. (ats/nxp)

On parle d’une adaptation avérée pour le grand écran ou on blablate dans le vide ?

Je ne sais pas trop. S’il y a un script, on peut commencer à envisager la chose je pense.

La série culte «Breaking Bad» va être déclinée en un long-métrage, a indiqué mercredi l’acteur américain Bryan Cranston qui incarnait son héros Walter White. Il n’a en revanche pas précisé s’il serait de l’aventure.

Dan Hipp :

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