CHÈRE MAMAN - LES MÈRES AUSSI PEUVENT ÊTRE TOXIQUES (Sophie Adriansen / Mademoiselle Caroline)

Les Éditions Glénat sur leur compte Facebook le 9 décembre 2024 :

⚫️ LUNDI RÉVÉLATION ⚫️ « Quand l’amour maternel devient un poison… »

ℹ️ Sophie Adriansen nous livre un récit foudroyant, à la fois drôle et terrible qui décortique le mécanisme insidieux de l’emprise. Le trait expressif de Mlle Caroline illustre le vertige que la silhouette maternelle, inquiétante et anonyme inspire.

🔜 Le 26 février 2025

Jim

Ho ça j’en connais une que ca va intéresser. Merci

De rien !

Jim

Chère Maman: Les mères aussi peuvent être toxiques

Dis, maman, est-ce que tu m’aimes ? Quand l’amour maternel devient un poison

Mère de 3 enfants, Alix mène une vie plutôt épanouie aux côtés d’un époux aimant et d’amis fidèles. Un jour, au détour d’une conversation, sa mère assène une de ces remarques désobligeantes, dont elle seule a le secret. Mais cette fois, c’est la fille d’Alix qui en est la cible. C’en est trop pour elle. Soudain, toutes les années de souffrances enfouies, les humiliations et les mauvais traitements subis durant l’enfance refont surface. Pourquoi cette femme lui rend-elle la vie impossible ? Les constantes critiques et le manque de considération de la part de cette mère énergivore vont pousser Alix à s’interroger… D’après les spécialistes, 20 % de la population aurait grandi aux côtés d’un parent « toxique ». Commence alors, pour Alix, un long chemin. Sa douloureuse prise de conscience pour briser l’emprise et défaire ses liens va la mettre à rude épreuve. Face à l’adversité et aux désillusions, Alix sent bientôt une boule grossir au fond de sa gorge ; une boule qui l’entrave et qui brûle comme une envie de reprendre le contrôle sur sa vie et de crier tout haut son indépendance… Sophie Adriansen nous livre un récit foudroyant, à la fois drôle et terrible qui décortique le mécanisme insidieux de l’emprise. Le trait expressif de Mlle Caroline illustre le vertige que cette silhouette maternelle, inquiétante et anonyme inspire. Un témoignage libérateur à la mise en scène subtile qui aborde, sans fard, un sujet d’actualité lourd de sens.

  • Éditeur ‏ : ‎ Glénat BD (26 février 2025)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 248 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2344062122
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2344062128
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 788 g

Sophie Adriansen est l’autrice d’une centaine d’ouvrages en littérature générale et littérature jeunesse, dont Max et les poissons (2015, éditions Nathan), roman sélectionné pour 22 prix littéraires et Papa est en bas, roman finaliste du prix Renaudot des benjamins 2019. Autrice à succès, questionnant notamment les libertés des femmes, elle explore pour la première fois en BD le thème tabou du post-partum avec La remplaçante (en collaboration avec Mathou), parue en 2021, traduite dans de nombreux pays et qui a contribué à libérer la parole sur le sujet. Chez Glénat, après le roman pour ados L’Été du changement, dans la collection #Onestprêt (2020), elle signe en 2023, l’album jeunesse La tour de Gustave, un album biopic pour redécouvrir Gustave Eiffel, sélectionné pour le prix Historia jeunesse. Réside en Bretagne.

Mademoiselle Caroline a publié une quinzaine de bandes dessinées, notamment Chute libre, carnets du gouffre, un récit sur la dépression et La Différence invisible avec Julie Dachez, sur le syndrome d’Asperger (éditions Delcourt). En 2020, elle collabore avec Marie Donzelli pour Adoleschiante, et avec Mathou, pour à Volonté, un album sur la grossophobie. En 2021, elle aborde un autre sujet de société avec Le Journal de Célia, infirmière au temps du COVID, et autres récits. Elle est également à l’initiative d’une petite collection, les carnets d’aventures ordinaires, tirée de son blog, avec les volumes L’Homme, La lose, Les potes.Récemment, elle publie Les rescapés du burn-out aux éditions Les Arènes (2023). À part ça, elle skie avec classe et distinction, joue au rugby, avec panache et sévérité, et s’occupe de ses trois enfants, avec un peu de patience mais beaucoup d’amour.